PETITION FRANCAISE BENZODIAZEPINES 2018

ALERTE SUR UN SCANDALE SANITAIRE : LES BENZODIAZEPINES ET LEUR PRESCRIPTION INCONTROLEE

pétition : NOUS AVONS BESOIN DE VOS SIGNATURES, MERCI !

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Mise en garde

«Si s’attaquer aux benzodiazépines revenait à les remplacer par des neuroleptiques de nouvelle génération, poussés par les labos car ils sont encore brevetés et donc lucratifs, et présentés à tort comme plus légers, on remplacerait un désastre par une catastrophe», dénonce Philippe Pignarre,

Note : le problème est quasi le même avec les antidépresseurs.

STOP AUX NEGATIONNISME MEDICAL!!

Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d’utilisateurs, de toxicomanes, à long terme.
 .
 » Je dois dire que ma mère qui prenait du temesta depuis des années aussi a eu un nouveau medecin qui a décidé de la sevrer trop rapidement, elle s’est retrouvé aux urgence en état de confusion mentale, et ils ne lui on pas donné son temesta, 24h après elle a fait une grosse crise d’épilepsie et  s’est retrouvé dans le coma.
A son réveil, elle ne reconnaissait plus personne, et ça a duré 2 mois, pendant ces deux mois, j’ai bassiné les medecins en leur disant que je savais qu’elle avait réagit à un sevrage trop rapide des benzos, aucuns ne m’a prise au sérieux.
Ils y sont aller de diagnostique de possible Alzheimer, Parkinson, les deux ensembles aussi, une forme atypique de démence sénile, enfin, j’ai passé 6 mois a me battre contre eux et ma mère s’est retrouvé avec une sonde pour pouvoir manger car elle ne pouvait plus déglutir, les muscles inexistants car elle ne pouvait plus bouger, c’était horrible. »
 » Pour ma mère, elle va bien mieux on pourrait dire, mais au prix de deux ans de rééducation pour tout, incontinence, ne plus pouvoir déglutir, ne plus savoir marcher, elle a été très forte.

Mais elle est maintenant considéré comme épileptique, et a un traitement à vie contre l’épilepsie et évidement « 

  Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l’anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
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« Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir »
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NE PAS UTILISER SEROQUEL ET AUTRES NEUROLEPTIQUES POUR LE SOMMEIL OU CONTRE L’INSOMNIE !
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

« Avec les médicaments psychotropes, les médecins créé la maladie faussement diagnostiquée »

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Hôpitaux, cliniques, sevrage : DANGER !

Mise en garde : En France aussi, hélas, on torture jusqu’au suicide les victimes des benzodiazépines / somnifères / anxiolytiques, dans les cliniques et hôpitaux. Et pas que….. : les généralistes font la même chose…(reportage RTS 11 / 2022)

Des désintoxications rapides dans des centres de désintoxication sont totalement inappropriées

Publié dans benzodiazepine, Sevrage, Torture sur ordonnances | Laisser un commentaire

Principales adresses internet benzodiazépines : havlane, seresta, rivotril, tranxène, lysanxia, Rohypnol, valium, temesta, xanax, lexomil, myolastan…et assimillés : stilnox, imovane, stresam, atarax, lyrica, neurontin, équanil…

Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, le 7 septembre 2001
Respecter la durée de prescription Elle doit être aussi brève que possible, notamment de 8 à 12 semaines dans les troubles anxieux, réduction de posologie comprise, de 2 à 5 jours en cas d’insomnie occasionnelle et 2 à 3 semaines en cas d’insomnie  transitoire (excepté pour flunitrazépam et triazolam, dont la durée de prescription ne doit pas excéder 14 jours).
Arrêté du 7 octobre 1991 fixant la liste des substances de la liste I des substances vénéneuses à propriétés hypnotiques et/ou anxiolytiques dont la durée de prescription est réduite1
Le site mondial le plus complet en ce qui concerne les benzodiazépines.
Le groupe de soutien s’appelleront benzodiazépines : coopération pas Confrontation (BCNC). Il s’adressera principalement à ceux qui sont touchés par les prescriptions de benzodiazépines qui fourni une aide partout où c’est nécessaire.
site d’aide au sevrage et d’informations
11 juillet
11 juillet journée mondiale de sensibilisation aux benzos
RESOLUTION AP (90) 3 RELATIVE A LA PRESCRIPTION DES BENZODIAZEPINES 18 octobre 1990
une surprescription et une consommation prolongée des benzodiazépines (médicaments anxiolytiques et hypnotiques) dans les troubles du sommeil et de l’anxiété, alors que les risques liés à ces médicaments sont supérieurs aux bénéfices
Le fait que les modalités de déclaration n’aient pas encore été fixées par l’arrêté du ministre chargé de la santé, pris sur proposition du directeur général de l’Afssaps, prévu à l’article R. 5219-15 ne dispense en rien les médecins de cette obligation
« Au total on peut paradoxalement considérer tous les sédatifs comme des anti-sommeils puisque que leur effet inhibiteur de l’éveil s’exerce tout autant sur les mécanismes produisant le sommeil. »
L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment, douleurs osseuses…), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil
En raison du risque de pharmacodépendance, d’abus et d’usage détourné du Rivotril, un arrêté paru au Journal Officiel du 6 septembre 2011 précise que la délivrance de clonazépam par voie orale est désormais soumise à prescription sur ordonnance sécurisée.
La posologie et le dosage doivent être rédigés en toutes lettres. Les chevauchements sont interdits sauf mention expresse du prescripteur. La copie de l’ordonnance doit être conservée 3 ans.
La durée maximale de prescription reste de 12 semaines.
« Nous sommes unis en esprit par le désir que la vérité éclate enfin au grand jour et pour que d’autres soient épargnés par la douleur que nous avons éprouvée. »
Tout sur les benzos et le sevrage par le professeur heather Asthon (français)
Ne surtout pas tenir compte du chapitre sur les antidépresseurs : il est totalement obsolète.
Prévention des toxicomanies liées aux médicaments psychotropes chez les personnes agées, les femmes et les enfants.
sans commentaire
Les effets secondaire des médicaments : dépendance aux médicaments, syndrome de sevrage aux médicaments,dommages produient par les médicaments, morts par médicaments.
Benzodiazépine: l’histoire a une manière inexorable de se répéter. Cela a toujours été une surprise pour moi que nous ayons permis à l’histoire de se répéter en matière de médecine, quand nous pourrions tellement facilement apprendre de nos erreurs.
L’ANALYSE DES PRESCRIPTIONS MONTRE QU’IL N’EST ACTUELLEMENT PAS FAIT UN BON USAGE DES MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES EN FRANCE
« 80 % des prescriptions sont le fait de médecins généralistes. Un tiers des prescriptions de psychotropes sont faites de façon inappropriée. Deux tiers des personnes prenant des anxiolytiques n’ont aucun problème psychique particulier »
Le manque d’information objective fourni aux consommateurs. Manque de responsabilité légale. Manque d’infrastructure sérieuse et confortable pour le sevrage et surtout de compétences et de connaissances.Les directives de prescription non suivies.
Pour certains utilisateurs chroniques de benzodiazépine, le sevrage peut être trés long. Une importante minorité, peut-être 10% à 15% développent un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines
« C’est un grand problème pour la santé humaine que tant de gens à travers le monde consomment ce type de drogue »
Environ 60% des utilisateurs de tranquillisants et de somnifères souffre des effets nuisibles et de sevrage après 2 – 4 semaines d’utilisation.(60 à 80% selon gurli Bagnail, New Zealand
Ce Tableau d’équivalence des benzodiazépines est basé sur la recherche et l’expérience clinique du professeur C Heather Ashton
Comment les drogues psychiatriques fonctionnent vraiment Effets défavorables des drogues sur le cerveau et l’esprit Le rôle de la FDA Pratiques des compagnies pharmaceutiques en matière de médicament. Développements médicaux et légaux récents
Un sevrage brusque aux benzodiazépines a comme conséquence un syndrome plus grave et beaucoup plus handicapant. En plus il peut y avoir comme conséquence : Convulsions, qui peuvent avoir comme conséquence la mort 3 4
La théorie: l’éthique. La réalité: le cauchemar
références anglaises qui prouve que c’est en parfaite connaissance des choses que les toubibs ont prescrit, prescrivent encore et toujours sur le long terme les benzodiazépines
Des avertissements doivent êtres donnés à la premiére prescription!
la réglementation concernant le Rohypnol ®, le Subutex ®, le Temgésic ® et le Tranxène ®.
Il est prouvé que l’utilisation régulière de benzodiazépine n’est plus efficace après quelques semaines à quelques mois
Il est prouvé, par de nombreuses études, que les hypnotiques deviennent objectivement inefficaces lors de l’administration chronique. Cette inefficacité se voit objectivement sur les enregistrementd de sommeil. Après un temps variable allant de 2 semaines
Professeure C Heather Ashton, DM, FRCP
En d’autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé  » drogue  » et un autre appelé  » médicament « par le professeur david Cohen
antidépresseurs, somnifères, anxiolytiques…
Êtes-vous conscient des graves à courts et à long terme indésirables effets secondaires potentiels de tranquillisants et somnifères, y compris des troubles cognitifs ou des lésions cérébrales qui peut être permanentes, la dépendances croisés avec d’autres médicaments, les effets psycho-moteur, réactions paradoxales, création d’anxiété, dépression, surdoses, idées suicidaires, émoussement affectif, dépendance et de sevrage etc.. ?
de Patrick Lemoine. Des sources bibliographiques et les principaux sites Internet sur la question
symptoms of dependence withdrawal …
L’article synoptique récent édité par Dupont (soutenu par Upjohn) a reconnu que l’utilisation de benzodiazépine est problématique
Les objectifs de la campagne de Beat The Benzo’s
Benzodiazépines, effets secondaires et risques
« j’ai vu des personnes qui n’étaient pas retablis de leur sevrage aux benzodiazépines et avaient toujours des symptomes des mois et meme des années aprés prés l’arret du traitement.
BENZODIAZÉPINES par ray Nimmo
NE PAS EMPLOYER Eszopiclone (LUNESTA) : Un Non-Ainsi-Nouveau comprimé somnifère(Juillet 2005) Nous recommandons que vous pas employez cette drogue parce qu’elle n’a aucun avantage unique, est coûteuse et a causé le cancer dan
The benzodiazepine withdrawal syndrome
De tous les problèmes produits par les médicaments que les médecins prescrivent, la toxicomanie est sans doute l’un des plus gênants. C’est avec le soi-disant tranquillisants «mineur» et somnifères que les médecins ont fait plus de dégâts
les effets de ces drogues légales sont généralement supérieurs à ceux des drogues illégales et génèrent donc des effets plus dévastateurs et débilitant …
il est démontré que les somnifères ne sont efficaces que sur une très courte durée
le concept «d’attaques de panique», qui est classé dans le DSM4, avait été spécifiquement élaboré par Donald Klein pour le laboratoire Upjohn qui allait mettre sur le marché le médicament Xanax.
la mise en circulation des benzodiazépines devenues trop souvent  » remède miracle  » ou  » drogue légale  » ou parfois même à la base de massacres, tueries familiales et d’une multitude d’accidents médico-légaux du travail et de la circulation
plus de 15 % les auteurs et victimes d’accidents de la route dans ce pays sous l’influence de médicaments psychotropes cette proportion serait de 20 % aux Etats-Unis
Une revue de la littérature internationale portant sur les cinq dernières années montre que l’exposition à un médicament potentiellement responsable est retrouvée chez 1 % à 10 % des accidentés de la route
L’utilisation d’une « aide au sommeil » induit rapidement un état de tolérance
25 à 30 % des adultes en population générale utilisent des anxiolytiques ou des hypnotiques occasionnellement ou régulièrement sur une année
Le sevrage des benzodiazépines est difficile, parfois plus difficile pour le patient qu’un sevrage d’opiacés ou d’alcool. Il doit se faire selon un schéma individualisé et lent, sur des semaines voire des mois (Frare & Perugi 2000).
le fait de supprimer l’indication de ce médicament pour les formes chroniques d’insomnie en 2005 n’a eu aucun effet sur la quantité vendue durant les 5 années suivantes.
il faut retenir que la diminution des doses de Noctran ne doit pas dépasser 10 % de la quantité habituelle pendant les 15 premiers jours. On renouvelle l’expérience pendant 2 autres semaines en respectant la même proportion de diminution. Le patient procèdera ainsi jusqu’à obtenir une dose journalière négligeable au point de pouvoir s’en passer sans séquelle
Benzodiazépine: un traitement datant de plusieurs semaines ne doit pas être arrêté brutalement.
un site web conçu pour rendre conscient le public des dangers de l’Ambien, Ambien CR et Zolpidem. C’est aussi une base de données mondiale de certaines des victimes de l’Ambien, Ambien CR et Zolpidem.
La prescription des hypnotiques et des anxiolytiques doit reposer sur une analyse soigneuse de la situation clinique, en cherchant à séparer ce qui relève des difficultés transitoires et des réactions à une pathologie somatique, de la pathologie psychiatrique confirmée. Elle doit être régulièrement réévaluée et tenir compte des indications de l’AMM, de la fiche de transparence et de l’arrêté du 7 Octobre 1991. Un traitement datant de plusieurs semaines ne doit pas être arrêté brutalement. Dans le cadre de cette prescription :
– Il n’y a pas lieu, dans le traitement de l’anxiété, d’associer deux anxiolytiques (benzodiazépine ou autre).
– Il n’y a pas lieu d’associer deux hypnotiques. – Il n’y a pas lieu de prescrire des anxiolytiques et/ou des hypnotiques sans tenir compte des durées de prescription maximales réglementaires (incluant la période de sevrage) et sans réévaluation régulière. Les durées de prescription doivent être courtes et ne pas excéder : – 4 à 12 semaines pour les anxiolytiques, – 2 à 4 semaines pour les hypnotiques (2 semaines pour le triazolam).
– Il n’y a pas lieu de prescrire un anxiolytique ou un hypnotique sans débuter par la posologie la plus faible, sans rechercher la posologie minimale efficace pour chaque patient, ni de dépasser les posologies maximales recommandées.
La durée du traitement doit être la plus courte possible, à la dose efficace la plus faible, sauf si le médecin prescripteur l’indique expressément :pas plus de 12 semaines (y compris la période de sevrage) pour le traitement de l’anxiétépas plus de 4 semaines (y compris la période de sevrage) pour le traitement de l’insomnie.Au-delà de ces durées, les effets favorables des benzodiazépines s’épuisent et des effets secondaires peuvent apparaître.
La plus faible dose efficace, individuelle, doit être recherchée et prescrite pour une période limitée, de quelques jours à 4 semaines maximum incluant la période de diminution de la dose.Le cumul de plusieurs médicaments àeffet sédatif est à proscrire : il n’apporte pas d’effet supplémentaire mais potentialise les effets indésirables parfois graves
Une personne sur 2 de plus de 70 ans fait usage de psychotropes en France. 20% des 10 millions de personnes âgées consomment de façon chronique des hypnotiques ou anxiolytiques, tandis que la balance bénéfice/risque leur est clairement défavorable, qu’il s’agisse des troubles du sommeil ou des troubles anxieux.
« Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila. »
le site de wayne Douglas
facebook
20 % des 10 millions de personnes âgées consomment de façon chronique des hypnotiques ou des anxiolytiques
La commission d’AMM a reconsidéré le bénéfice/risque de ce médicament et a voté contre son maintien sur le marché
tous les dérivés des benzodiazépines interdisent la conduite des véhicules. Tout médecin doit informer son patient des effets indésirables du médicament prescrit sur la conduite des véhicules.
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Ce blog n’est ni possédé ni créé par un médecin ou n’importe quelle autre forme de personnel médical .

Les conseils obtenus à partir dans ce blog ne devront pas être substituées aux conseils d’un médecin qui est bien informé concernant ces thèmes (il n’y en a pas encore en France…). Toutes les informations obtenuent ici seront employées à vos propres risques.Afin d’être en conformité avec la loi française : Nous vous signalons que vous ne devez tenir aucun compte de tout ce qui est dit dans ce site. En cas de maladie, vous devez consulter un médecin et vous conformer à ses prescriptions

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Sevrage benzodiazépine : NE JAMAIS STOPPER BRUSQUEMENT ! et ne pas toucher aux antidépresseurs ou neuroleptiques ou autres drogues psychiatriques !

70% des sevrages ce passent assez bien si ils sont effectués selon les méthodes Ashton ou Peart. En aucun cas ils ne faut suivre la méthode employée par les médecins français, beaucoup trop rapide. Cela concerne : havlane®, seresta®, tranxène®, lysanxia®, mogadon®, nordaz® valium®, temesta®, lexomil®, urbanyl®, veratran®, xanax® noctamide®, normison®, nuctalon®, rohypnol®, halcion®, rivotril®, victan®…et drogues Z imovane® stilnox® et autres…et assimilés, lyrica, neurontin, baclofène, atarax, équanil, stresam… IMPORTANT : « Le mode d’action des antidépresseurs est complètement différent de celle des benzodiazépines et donc ils sont généralement inefficaces à atténuer les effets des benzodiazépines. lors d’un sevrage  » : NE TOUCHEZ PAS AUX ANTIDEPRESSEURS !

« Malheureusement, il n’existe aucun médicament pour le sevrage des benzos et ceux qui ont recoure à l’aide d’autres médicaments psychotropes découvrent toujours qu’il y a un prix à payer en terme de santé. »
La règle d’or à respecter pour le sevrage est de faire des diminutions n’excédant pas 10% de votre dose en cours toutes les deux à trois semaines
Tout sur les benzos et le sevrage par le professeur heather Asthon (français)
Ne surtout pas tenir compte du chapitre sur les antidépresseurs : il est totalement obsolète.
Un mécanisme qui pourrait être impliqué dans les effets à long terme (et peut-être permanents) des benzodiazépines est une altération de l’activité des récepteurs de benzodiazépines dans les neurones GABA du cerveau. Ces récepteurs régulent négativement (deviennent moins) à mesure que la tolérance aux benzodiazépines se développe avec une utilisation chronique. Une telle régulation à la baisse est une réponse homéostatique du corps à la présence constante des médicaments. Étant donné que les benzodiazépines elles-mêmes renforcent l’action du GABA, il n’est plus nécessaire de disposer de récepteurs de benzodiazépines supplémentaires, de sorte que bon nombre d’entre elles sont en réalité rejetées. Ces récepteurs régulés à la baisse sont absorbés par les neurones où, au fil du temps, ils subissent divers changements, notamment des altérations de l’expression des gènes. Lorsque ces récepteurs sont rétablis lentement après le retrait du médicament, ils peuvent revenir sous une forme légèrement modifiée. Ils ne seront peut-être plus aussi efficaces qu’avant pour augmenter les actions de GABA, le neurotransmetteur naturel «calmant». En conséquence, le cerveau peut être généralement moins sensible au GABA et l’individu se retrouve avec une excitabilité accrue du système nerveux central et une sensibilité accrue au stress. Les biologistes moléculaires soulignent que les changements dans l’expression des gènes peuvent être très lents, voire impossibles, à s’inverser. (L’action des benzodiazépines sur les récepteurs GABA est expliquée plus en détail dans le Manuel ).
site consacré a la dépendance et aux sevrage des benzodiazépines
professeur Asthon
Le mode d’action des antidépresseurs est complètement différent de celle des benzodiazépines et donc ils sont généralement inefficaces à atténuer les effets de sevrage des benzodiazépines.
non-benzodiazepines le site de ross
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La meilleure manière de minimiser les risques de réactions graves de sevrage est de ne jamais prendre de produits psychiatriques
La titration mélange simplement votre pillule avec de l’eau pour vous permettre de mesurer avec précision votre dose.
équivalence automatique des benzos
A note of explanation goes with Dr. Reg Peart’s sample schedules and suggestions. Dr. Peart is head coordinator of VOT (Victim of Tranquilizers).
Vous ne devriez boire aucun alcool
le professeur peter Gotzsche « recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs »
Attention: Ce forum est maintenant en archive. Vous ne pouvez plus poster de nouveaux messages.
Index des symptômes de sevrage aux benzodiazépines sur le site de ray Nimmo
Une importante minorité, peut-être un 10% à des 15% développent un « syndrome de poste-sevrage, « qui peuvent s’attarder pendant des mois ou même des années
Les réponses les plus courantes aux problèmes posés par les benzodiazépines
Manger bien et en évitant tous les stimulants est crucial
la liste des drogues médicales de worstpills
équivalence : Cette valeur est de 1 gramme Neurontin est équivalent à environ 5 mg. de rivotril.
Les médecins doivent, autant que possible, éviter les fluoroquinolones chez les patients qui sont sous la dépendance ou en sevrage des benzodiazépines chronique
« Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse. » professeurs Peter Breggin et David Cohen
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Les symptômes du sevrage aux benzodiazépines

havlane®, seresta®, tranxène®, lysanxia®, mogadon®, nordaz® valium®, temesta®, lexomil®, urbanyl®, veratran®, xanax® noctamide®, normison®, nuctalon®, rohypnol®, halcion®, rivotril®, victan®…et drogues Z imovane® stilnox® et autres…

INDEX de ray Nimmo en traduction google
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Liens forum benzodiazépine en français et en anglais

Forum sur le sevrage aux benzodiazépines
Maintenant uniquement réservé aux activixtes. Ce forum a pour vocation d’assurer un soutien en ligne aux personnes dépendantes aux benzodiazépines et aux personnes souffrant du syndrome de sevrage aux benzodiazépines (classique ou prolongé), ainsi qu’à leurs proches. (il remplace le groupe yahoo)
réservé aux symptomes prolongés. groupe yahoo
Benzodiazepine Addiction Withdrawal International Support Forum (anglais)
Ce site Web est conçu pour aider et soutenir ceux qui passent par le sevrage, diminue , ou récupèrent des benzodiazapines. Nous avons essayé de créer un emplacement où vous pouvez communiquer avec d’autres et en faire un endroit pour passer le temps
Benzo Island (fermé)
BAN : l’aide en ligne. Bienvenue sur benzoisland où nous nous consacrons à aider les individus qui souhaitent se libérer d’une dépendance aux benzodiazépines.(anglais)
benzo free (fermé)
Réseau de soutien en ligne pour ceux qui veulent en finir avec les benzodiazépines (traduction google)
France: discution au sujet des benzodiazépines
benzodiazépines, tramadol, codéine, méprobamate, méthadone, Stresam, modiodal, subutex, prozac
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Les dangers des drogues dures de la famille des benzodiazépines

havlane®, seresta®, tranxène®, lysanxia®, mogadon®, nordaz® valium®, temesta®, lexomil®, urbanyl®, veratran®, xanax® noctamide®, normison®, nuctalon®, rohypnol®, halcion®, rivotril®, victan®…et drogues Z imovane® stilnox® et assimilés : stresam, neurontin, lyrica, atarax… et autres
« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE »
AVERTISSEMENT : Les comprimés somnifères peuvent être dangereux pour votre santé ou causer la mort par cancer, ou maladie de coeur, ou d’autres maladies
Beaucoup de mensonges de la part du docteur Lemoine patrick, mais aussi quelques vérités, dont: « Cette nouvelle n’est pas passée inaperçue dans le monde de la psychiatrie. Elle dit ni plus ni moins que la plupart des psychotropes seraient potentiellement cancérigènes. C’est ainsi que la FDA américaine vient de demander des études de carcinogénicité particulières pour les psychotropes.».
The Independent on Sunday vient de lâcher une bombe. Le canard britannique s’est procuré des documents confidentiels plutôt gênants. En 1981, suite aux trouvailles du professeur (aujourd’hui émérite) Malcolm Lader, chercheur de renom dans le domaine de la psychiatrie, le Medical Research Council (MRC, institut gouvernemental) avait organisé un brainstorming scientifique pour évoquer le rétrécissement du cerveau survenu chez certains patients gobant des benzodiazépines. L’année suivante, le MRC décidait d’approfondir le sujet pour évaluer l’impact à long terme de ces molécules. Puis, plus rien. Le ministère de la Santé n’a pas donné suite.
«Si s’attaquer aux benzodiazépines revenait à les remplacer par des neuroleptiques de nouvelle génération, poussés par les labos car ils sont encore brevetés et donc lucratifs, et présentés à tort comme plus légers, on remplacerait un désastre par une catastrophe», dénonce Philippe Pignarre,
« …benzodiazépines entraînent des symptômes de sevrage, elles conduisent à l’instabilité affective [et] ils semblent être associés à automutilation…. la baisse des taux de suicide en prison..nous avons cessé de prescrire des benzodiazépines en prison
benzodiazépines / somnifères et alcoolisme iatrogène
réponse : barbituriques/benzodiazépines, alcool
Environ 163000 anciens Américains souffrent de graves déficiences mentales (pertes de mémoire, démence), soit causée ou aggravée par la drogue
Attention, il est inutile et dangereux de prendre simultanément deux anxiolytiques.
certaines personnes deviennent rapidement et sensiblement dépendant physiquement des benzodiazépines après seulement quelques semaines d’utilisation
les généralistes, responsables de 8O% des prescriptions de psychotropes, sont insuffisamment formés au sujet de ces produit
Mais plus vous les prenez plus ils augmentent votre anxiété et perturber votre sommeil.
Dans cette étude, les personnes prenant des benzodiazépines à demi-vie longue ont un risque de démence augmenté de 60%.
L’étude montre que la prise de médicaments de la famille des benzodiazépines durant plus de trois mois pouvait être associée à une augmentation de 51% du risque de développer la maladie d’Alzheimer. Pour une utilisation de plus de six mois, le risque de provoquer la maladie d’Alzheimer augmenterait de 70 à 80 %. En France, plus de 11 millions de Français consomment chaque année des anxiolytiques ou des somnifères. La France est d’ailleurs championne d’Europe ! Pire : le traitement en France dure en moyenne quatre à cinq mois, au lieu des trois recommandés au maximum. Une surconsommation souvent critiquée par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
Benzodiazépines et démence : limiter les risques par un strict respect des règles de prescription et de bon usage – Lettre aux professionnels de santé
« il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. Il semble juste que la dépendance est si encrassé et les symptômes de sevrage que vous obtenez soyez si intolérable que les gens aient beaucoup de problème a se dégager
« La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine. »
Néanmoins, si tous ces produits sont excellents quand ils sont pris d’une manière discontinue ou occasionnelle, ils deviennent catastrophiques quand on les prend d’une manière régulière
Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine – La plupart de ces anciens drogués par prescription n’avaient jamais employé ou eu de problème ni avec l’alcool ni avec d’autres
Ne jamais se sevrer brutalement
Les militants veulent que les drogues soit reclassifiées pour refléter à quel point ils sont dangereux Entre 1990 et 1996 les drogues benzodiazépines ont causé 1.810 décès
Clairement, l’URSS n’a pas eu le monopole sur la torture chimique. La différence est que dans le monde démocratique, les personnes visées étaient et sont les citoyens innocents
Les psychotropes seraient en cause dans un quart de ces accidents liés à une interaction entre plusieurs médicaments13
benzoinfo
« Deux tiers des personnes prenant des anxiolytiques n’ont aucun problème psychique particulier…
La dépendance aux Benzodizepine est une dépendance physique….Si le benzo produit chimique est enlevé ou réduit le système nerveux ne peut pas fonctionner correctement. Les produits chimiques normaux peuvent régénérer lentement ou pas du tout
Et pourtant, ces médicaments ne sont pas inoffensifs. Consommés de façon régulière, ils peuvent entraîner des troubles de l’équilibre, des vertiges, des palpitations, des problèmes gastriques… et paradoxalement provoquer de la dépression, de l’anxiété et
« La littérature, les avertissements, et les raisons d’éviter l’exposition prolongée aux benzos sont étendus, bien documentés, et entièrement à la disposition de n’importe quel médecin de famille. »
« Récemment, un jeune est mort d’avoir associé du Rohypnol à sa dose de Méthadone … C’est le Rohypnol qui est dangereux ! « 
La consommation de tranquillisants et de somnifères peut entraîner une dépendance physique et psychique. On a cru jadis qu’il fallait en prendre longtemps et à doses élevées. Or, il ressort de plus en plus qu’à doses thérapeutiques et pour de courtes périodes, ces médicaments sont sources de problèmes. Même une consommation irrégulière à court ou long termes (par exemple, prendre une pilule de 4 à 5 fois la semaine) peut être cause de dépendance. Les quantités consommées, bien qu’ayant leur importance, ne sont pas aussi déterminantes qu’on le dit souvent.
Un avertissement doit être publié au sujet d’un tranquillisant employé couramment Ativan (temesta), il a été demontré qu’il pouvait avoir un impact rare mais potentiellement mortel sur la respiration des patients.
Ces substances hautement toxicomanogènes agissent sur le système nerveux central. Une consommation prolongée engendre une forte dépendance.
Après quelques semaines, elles peuvent entraîner un dysfonctionnement cognitif et des problèmes de mémoire et d’équilibre (risque de chutes accru). Leur usage continu, sur plusieurs mois, peut causer de l’anxiété, des hallucinations, de la rage ou de l’excitation, de la panique, de l’insomnie, des rigidités musculaires, les troubles digestifs, des problèmes touchant le cœur et les poumons, de la dépression pouvant aller jusqu’au suicide.
Ceux qui prennent des somnifères s’endorment plus rapidement et se réveillent moins la nuit. Mais les études montrent que  la qualité du sommeil est réduite : elle est moins profonde et une phase importante, le REM, est plus courte. De plus, l’addiction survient après quatre semaines. La pilule n’a plus aucun effet et l’endormissement est à nouveau aussi long, comme avant le début de la prise des somnifères. Il faut donc s’en défaire. Mais c’ est un long processus, dit le professeur. Mieux vaut donc de ne pas commencez du tout.
L’action des drogues sur un système de NT ne ressemble en rien à l activité biologique spontanée de ce système
Les mèdicaments, pas simplement l’âge et la maladie , tuent des seniors canadiens
les soi-disant anxiolytiques ne guérissent rien mais sont plutôt des substances handicapant le cerveau. Lors d’un essai clinique, 70 pour-cent des personnes prenant de l’Halcion “ont développés des pertes de mémoire, de la dépression et de la paranoïa
« Le chirurgien m’a regardé et m’a dit que les médicaments avec lesquels j’avais été intoxiqué avait affécté mon système autoimmun – j’ai été assommé. »
Pour le psychiatre Patrick Lemoine, le lien entre la consommation excessive de somnifères et d’anxiolytiques et le risque de démence s’explique. En cause: une aggravation de l’apnée du sommeil. Il estime que certaines benzodiazépines devraient être retirées du marché.
Parce que, pour vous, ce lien entre consommation de benzodiazépines et entrée dans la démence est donc une évidence ? Oui. Et je pense qu’il y a une explication, qui est liée à l’augmentation des arrêts respiratoires (en durée et en fréquence) que provoquent les benzodiazépines pendant le sommeil. Or, on sait parfaitement que ce syndrome d’apnée du sommeil aboutit à des tableaux démentiels.
Sciences et Avenir : Quel enseignement tirer des résultats de votre étude ?
Bernard Bégaud : En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer
Les politiques se doivent-ils de réagir ?
Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…
A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?
Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […]  Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête.
La durée de prescription des antidépresseurs excède un an dans plus de la moitié des cas, contrairement aux recommandations en vigueur
Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové dans son cabinet
L’ABUS DE MÉDICAMENTS DÉLIVRÉS SUR ORDONNANCE VA DÉPASSER LA CONSOMMATION DE DROGUES ILLICITES, INDIQUE L’OICS L’Organe met en garde contre l’augmentation des décès par surdose de médicaments délivrés sur ordonnance
Autre complication grave liée à l’usage des tranquillisants: les réactions dites « paradoxales » (15, 16). Selon certaines pharmacopées européennes, leur incidence serait inférieure à un pour mille, mais leur fréquence réelle reste inconnue. Malcolm Lader, de l’Institute of Psychiatry à Londres, estime à quelque 5% la fréquence de ces effets secondaires, même lors d’un usage des substances pendant une courte période (17). Les réactions « paradoxales » consistent en dépression (18), accompagnée ou non de tendances suicidaires (19), en états phobiques, (20) en agressivité (21, 22) et en comportement violent (23, 24, 25) ainsi que, dans certains cas, en symptômes que les médecins, par une erreur de diagnostic, attribuent à une psychose (26, 27).
Le mensonge sur les chiffres: Dans les années 80, un taux global de 5.9 morts par million de prescriptions pour BZDs s’est produit en Grande-Bretagne. Alors que les décès sont beaucoup plus nombreux!!
MEDICAMENTS PSYCHOACTIFS
Les tranquillisants et les antidépresseurs. Un autre mécanisme utilisé par les accusés pour élargir leurs marchés consiste à créer délibérément une dépendance afin d’augmenter les ventes de médicaments. De nombreux tranquillisants et antidépresseurs, y com
Une statistique intéressante montre très bien les décès attribués aux drogues au Royaume-Uni entre 1990 et 1995: – 1,810 · Benzodiazépines – 1810 · Méthadone – 676 · Héroïne – 291
e diazépam s’accumule dans le foie, le cerveau, le cœur et les poumons du fœtus.
« Il peut être très dangereux, voire mortel, d’arrêter brusquement la consommation de certains psychotropes consommés régulièrement ou de façon soutenue. Ainsi, le sevrage d’anxiolytiques ou de somnifères doit se faire sur l’avis et sous la supervision d’u
agence française de securite sanitaire des produits de sante
« cela peut prendre aussi peu que deux semaines d’une utilisation régulière pour devenir dépendant de la drogue. »
PSYCHOPHARMACOLOGIE ET LE GOUVERNEMENT DE L’INDIVIDU professeur DAVID HEALY
Environ 75.000 cas de sénilité induite par drogue aux USA sont probablement provoqué par cette catégorie de drogue.
Le nombre de morts causées par les antidépresseurs ou les sédatifs à presque doublé, passant de 671 à 1300.
« Valium, Librium et Mogadon une fois semblaient fournir la réponse parfaite au stress. Nous savons maintenant comment ce groupe de médicaments affecte la chimie du cerveau; Rien d’étonnant, ils créent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent.
Nous savons aussi que certains benzodiazépines, notamment Halcion et Xanax, causent de graves effets secondaires, notamment la dépression, des hallucinations, l’amnésie et des comportements violents.
En outre, les benzodiazépines peuvent être liés à la démence sénile (démence, 1992; 3:232-8)…Ernest Guinness Saunders, qui a récupéré de la maladie d’Alzheimer « dès qu’il sort de son tranquillisants
Les effets contraires chez les personnes âgées. Le système nerveux central des gens plus âgés est plus affecté par les effets dépressants des benzodiazépines que celui des personnes plus jeunes. Les benzodiazépines peuvent causer de la confusion, de l’amné
Au Québec, 80 % des personnes âgées consomment des benzodiazépines (Bzd):
benzo japon
Il s’agit ici de souligner le danger de ces produits, prescrits massivement par des médecins généralistes et sur des périodes très longues. Ils font la fortune des multinationales du médicament.
J’ai commencé à boire trop. Je n’ai pas su pourquoi, mais je sais maintenant. Benzos et alcool utilisent les mêmes récepteurs
Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine – La plupart de ces anciens drogués par prescription n’avaient jamais employé ou eu de problème ni avec l’alcool ni avec d’autres
Les phénomènes d’accoutumance et/ou de dépendance, qui peuvent survenir après une semaine déjà, sont beaucoup plus alarmants
CEIP
Les patients âgés semblent particulièrement sensibles au syndrome de sevrage.
La prégabaline (successeur du la gabapentine) est analogue structural de l’acide gamma-amino-butyrique (GABA).
Le neurotin n’est pas une benzo .équivalence : Cette valeur est de 1 gramme Neurontin est équivalent à environ 5 mg. de rivotril
Pubmed
Il existerait, selon une étude de cohorte rétrospective taïwanaise récente, d’une durée de 5 ans et portant sur 59.647 sujets (17), une relation statistiquement significative entre la prise de benzodiazépines et le risque de can – cer, plus particulièrement du cancer hépatique, rénal et du cancer de la prostate et de la vessie. Une forte association existerait également chez les hommes entre la prise de benzodiazépines et le cancer du cerveau. Une telle association avec le cancer a aussi été retrouvée dans une étude longitudinale (2,5 ans en moyenne) américaine de 2012 sur 10.529 sujets (18), qui estime que le risque de cancer est augmenté de 35% chez les consommateurs à hautes doses de benzo – diazépines. Globalement, la prise de benzodia – zépines amènerait une mortalité au minimum trois fois plus importante selon cette dernière étude. Les biais n’ont cependant pas pu être entièrement exclus de cette recherche et ces résultats doivent être corroborés par d’autres études à venir.
Les consommateurs de médicaments hypnotiques sont plus à risque de cancers et de décès que les non consommateurs selon une étude américaine publiée dans la revue anglaise British Medical Journal Open.
Que de crimes ont été commis sous l’emprise des psychotropes ! Il n’est que de visiter la prison pour mineurs de Oukacha, à Casablanca, pour s’en rendre compte : selon les membres de certaines associations, qui tirent depuis quelque temps la sonnette d’alarme sur le danger du karkoubi, 80% des jeunes sont embastillés pour avoir commis des infractions sous l’effet des psychotropes. Pire, la dépendance pousse certains à commettre l’irréparable pour avoir de quoi acheter sa dose. A l’instar de ce garçon de 14 ans qui, dans une crise de folie, a étranglé son père avec le câble d’une antenne parabolique, ou de cet adolescent de 15 ans, arrêté pour avoir planté un couteau dans le ventre de son copain au cours d’une rixe banale à cause d’un demi-litre de vin rouge. Sans parler de ces centaines d’enfants de 10 à 18 ans, aux corps couturés de cicatrices, qui se sont mutilé les bras et le visage.
«.. .notre constatations concernant la récente et dernière utilisation des benzodiazépines peuvent fournir une implication importante, que l’arrêt de l’utilisation des benzodiazépines ne peut réduire considérablement le risque de développer une démence. » En d’autres termes, le mal est déjà fait. Les personnes qui ont utilisé des benzos dans le passé courent un risque accru de développer la démence même s’ils n’ont pas utilisé les médicaments récemment.
Les somnifères, les benzodiazépines [anxiolytiques]C’est un scandale, ça tue les vieux !
Le 14 mars 2007, la FDA a décidé d’émettre une mise en garde sur 14 somnifères très courants aux États-Unis et en Europe. En effet, ces médicaments provoquent chez certaines personnes des suffocations et des œdèmes du visage. D’autres, pendant leur sommeil, se lèvent, téléphonent, préparent un repas, conduisent même, sans en être conscients (c). Cette mise en garde a été amplement couverte dans la presse aux États-Unis, mais pas dans la plupart des journaux et des émissions d’information télévisée en Europe. Pourquoi ? On me dit que les Européens font confiance à leurs médecins et aux autorités de contrôle de leur pays et supposent que tout va pour le mieux. Si c’est effectivement le cas, ils sont naïfs, et ce manque d’information les maintient dans l’ignorance. Il semble que les Européens ne puissent pas compter sur leurs organismes de surveillance pour protéger activement leur santé publique.
Les benzodiazépines sont des médicaments psychotropes utilisés pour traiter l’anxiété, les attaques de panique, la dépression, l’insomnie, les convulsions, les nausées, et les vomissements. Ils sont un groupe de médicaments connus sous le nom de tranquillisants ou sédatifs, et cela est facile d’imaginer pourquoi tant de gens deviennent accros à ces médicaments. Le Xanax, ou l’Alprazolam, ont été la cause de 112 552 visites aux urgences en 2009 aux États-Unis. Le Xanax, le Klonopin, l’Ativan, le Valium , ainsi que le Diazépam, sont parmi les 100 médicaments les plus couramment prescrits. Les effets secondaires les plus courants sont les étourdissements, la sédation, et la faiblesse. Cependant, les études montrent que les personnes souffrant de dépendance aux analgésiques ont également tendance à abuser de sédatifs. Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila.
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« Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur donne »

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Le syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines

Ils ont également admis que l’arrêt brutal des médicaments ou la réduction trop rapide de la posologie peuvent provoquer de graves réactions de sevrage, «y compris des convulsions qui peuvent mettre la vie en danger». Ils acceptent aussi finalement que ces effets secondaires de sévères sévères peuvent durer de «semaines à années».
Chez 10 à 15% des patients, les manifestations de sevrage ne disparaissent qu’après plusieurs mois, voire plusieurs années. On n’en connaît pas clairement la raison. Les principaux symptômes de sevrage de longue durée sont l’angoisse, l’insomnie, la dépression
benzodiazépines, antidépresseurs, neuroleptiques
On estime que peut-être entre 10 et 15 pour cent de consommateurs à long terme d’une benzodiazépine développent « un syndrome post-sevrage ».
Ce n’est manifestement pas le syndrome d’une maladie morale Professeur Ashton
J’ai vu des patients qui ont estimé qu’ils n’avaient pas retrouvé leur état prcédent la prise de drogue benzodiazépines avant de nombreux mois ou années plus tard
« Certains de ces groupes de victimes des tranquillisants peuvent documenter sur des personnes qui ont encore des symptômes de sevrage dix ans après l’arrêt.  » – Professeur Malcolm H Lader , Royal Maudesley Hospital, BBC Radio 4, Face The Facts , March 16
Pour certains utilisateurs chroniques de benzodiazépine, le sevrage peut être trés long. Une importante minorité, peut-être 10% à 15% développent un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines
par le docteur Peart
Ashton H. Department of Pharmacological Sciences, The University, Newcastle upon Tyne, England. Département de pharmacologie Sciences, The University, la Newcastle upon Tyne, en Angleterre
Therefore, Protracted Withdrawal Syndrome (PWS) is just a label to indicate that you have not been lucky enough for your withdrawal symptoms to have cleared up (or largely cleared up) within some weeks or a few months of your having taken your last dose of
Une étude pilote sur les effets de flumazénil sur les symptômes qui persistent après le sevrage des benzodiazépines. Sur des patients ayant arété leur traitement aux benzodiazépines depuis 1 mois a 5 ans.
« Il est temps de juger les compagnies pharmaceutiques et les médecins responsables de prendre la solution de facilité aux dépens de leurs patients. »
« l’enfer » du syndrôme prolongé de sevrage aux benzodiazépines. Décrit par les victimes
le syndrome prolongé de sevrage dure des mois, des années, ou toute une vie
Les symptômes de sevrage : le type de symptômes de sevrage aux barbituriques ont eu lieu après l’arrêt des benzodiazépines
Des centaines de témoignages et bientot des milliers.
Il a été conclu que PWS (post withdrawal symdrome) est susceptible d’être un véritable état iatrogène, une complication à long terme du traitement aux benzodiazépines
Le gène, Mpdz, est impliqué dans la dépendance physique à une classe de médicaments connue sous le nom de sédatifs, hypnotiques, qui sont largement utilisées pour leurs effets euphorisants et sédatifs. La drogue dans cette catégorie comprennentl les benzod
Il est devenu évident que les symptômes de sevrage des benzodiazépines peuvent être longues, qui durent des mois ou des années, dans quelque 15% des utilisateurs à long terme (6).
Le sevrage aux benzodiazépines peut durer des mois, voire des années.
en anglais forum yahoo
Une fois au large de la drogue (sauvegarde), il peut prendre un certain temps pour que le cerveau se remettre de dommages causés par un benzo; 6 à 18 mois est la durée moyenne des symptômes de sevrage, cependant, beaucoup de gens, surtout ceux qui étaient sur le médicament pendant une longue période, et ceux qui ont été sevré brutalement, peuvent avoir des symptomes pendant des années.
Je suis 26 mois hors de la drogue, et ne ai toujours brûlant dans ma colonne vertébrale, des picotements, faiblesse, fatigue, douleur osseuse et musculaire, problèmes de mémoire, problèmes cognitifs, problèmes émotionnels (pas de mes questions avant) et des problèmes gastro-intestinaux. Mon retrait, comme tant d’autres, me fit être incapable de travailler ou de se engager dans la vie que je ai fait normalement. Beaucoup de gens en retrait face à un divorce, la faillite et la perte d’amis et de statut social. Une population importante en retrait sont poussé au suicide.
pub med
Malheureusement, le flumazénil n’est pas, actuellement, un remède pratique pour des symptômes prolongés
Effets à long terme des benzodiazépines
Un mécanisme qui pourrait être impliqué dans les effets à long terme (et peut-être permanents) des benzodiazépines est une altération de l’activité des récepteurs de benzodiazépines dans les neurones GABA du cerveau. Ces récepteurs régulent négativement (deviennent moins) à mesure que la tolérance aux benzodiazépines se développe avec une utilisation chronique. Une telle régulation à la baisse est une réponse homéostatique du corps à la présence constante des médicaments. Étant donné que les benzodiazépines elles-mêmes renforcent l’action du GABA, il n’est plus nécessaire de disposer de récepteurs de benzodiazépines supplémentaires, de sorte que bon nombre d’entre elles sont en réalité rejetées. Ces récepteurs régulés à la baisse sont absorbés par les neurones où, au fil du temps, ils subissent divers changements, notamment des altérations de l’expression des gènes. Lorsque ces récepteurs sont rétablis lentement après le retrait du médicament, ils peuvent revenir sous une forme légèrement modifiée. Ils ne seront peut-être plus aussi efficaces qu’avant pour augmenter les actions de GABA, le neurotransmetteur naturel «calmant». En conséquence, le cerveau peut être généralement moins sensible au GABA et l’individu se retrouve avec une excitabilité accrue du système nerveux central et une sensibilité accrue au stress. Les biologistes moléculaires soulignent que les changements dans l’expression des gènes peuvent être très lents, voire impossibles, à s’inverser. (L’action des benzodiazépines sur les récepteurs GABA est expliquée plus en détail dans le Manuel ).
 
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Alerte : Les antidépresseurs, le tryptophane, le millepertuis, 5-htp, huiles essentiels sérotoninergiques… peuvent être mortels lors d’un sevrage ou post-sevrage des benzodiazépines ! (syndrome sérotoninergique)

Comme indiqué dans cette vidéo, le sevrage de l’alcool ou de l’héroïne, donc des benzodiazépines également (non mentionné), peut engendrer un syndrome sérotoninergique potentiellement mortel.

Syndrome sérotoninergique
« potentiellement mortel »

Les médicaments et drogues qui causent un syndrome sérotoninergique

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

AVERTISSEMENT 5-HTP: DANGEREUX, PEUT CAUSER LE SYNDROME SÉROTONINERGIQUE, LES MALADIES CARDIAQUES ET LA MORT

Attention au NEGATIONNISME DES MEDECINS !

« L’intoxication aiguë est caractérisée par une hyperactivité, un état confusionnel, une angoisse, des hallucinations, une agressivité et un syndrome sérotoninergique (délires, augmentation de la température corporelle, défaillance cardio-respiratoire) »

Sevrage : « on va avoir tous les effets excitateurs qui vont être révélés »

Insomnie : hypersensibilité à la sérotonine et syndrome de sevrage ? Attention à l’alimentation et compléments alimentaires (tryptophane) !

L’insomnie est un symptôme quasi systématique du sevrage aux benzodiazépines. Mais, certaines victimes deviennent hypersensibles à la sérotonine, ce qui aggrave les symptômes, dans ce cas, attention aux médicaments sérotoninergiques, à l’alimentation et aux compléments alimentaires contenant du tryptophane (précurseur de la sérotonine).

Extrait de : Insomnie chronique sur ordonnances

Attention au syndrome sérotoninergique !

Sommeil (sauvegarde) : « La sérotonine est un neurotransmetteur sécrété par le cerveau pour maintenir la phase d’éveil. Elle joue aussi un rôle important dans l’endormissement. En effet, la diminution du taux de sérotonine contribue à atteindre la phase de somnolence, juste avant le sommeil. »

Les antidépresseurs et les ISRS détruisent votre sommeil : Il est bien établi que le sommeil complet et rafraîchissant est essentiel à l’humeur globale et à la réduction des symptômes de dépression. Et pourtant, on sait aussi comment les antidépresseurs tels que le Prozac réduisent la qualité du sommeil. Si on vous a déjà prescrit un antidépresseur, posez-vous cette question : le médecin ou le pharmacien vous a-t-il déjà mentionné que le médicament que vous étiez sur le point de prendre est connu pour supprimer le REM réparateur? non? Lisez la suite.

Insomnie chronique : Les antidépresseurs inhibent le sommeil paradoxal et allongent sa latence de survenue 

L’AUGMENTATION DE LA SEROTONINE EST LE PROBLÈME, PAS LA SOLUTION

CBD : Ce stupéfiant n’est pas classé comme stupéfiant : « La recherche a révélé que le CBD est un «inhibiteur puissant» de deux enzymes (CYP3A4 et CYP2D6) qui affectent de nombreux médicaments courants. »

15 aliments riches en tryptophane

Cent grammes de noix par exemple contient à peu près 318 mg de tryptophane

La sérotonine, connue pour agir en tant que stabilisateur de l’humeur, n’est pas présente dans les aliments. C’est une substance produite via un procédé de conversion biochimique à partir du tryptophane, un élément constitutif des protéines.  

Les graines de chia sont riches en tryptophane, un acide animé capable de produire la sérotonine

Vous pouvez utiliser des compléments alimentaires contenant du L-Tryptophane ou du 5-HTP pour augmenter la sérotonine  

Le tryptophane est un acide aminé présent en petites quantités dans le chocolat et est également le précurseur de la sérotonine.

Spiruline : L’un des principaux ingrédients de la spiruline est le tryptophane. La fonction de ce dernier est de synthétiser les protéines et de stabiliser le système nerveux. Le tryptophane est un acide aminé qui permet au corps de sécréter la sérotonineLa chlorella contient beaucoup de tryptophane

Millepertuis : Les principes actifs vont agir sur trois particules chimiques du système nerveux, la dopamine, la noradrénaline et principalement sur la sérotonine

Garcinia cambodgia : Parce qu’elle augmente les niveaux de sérotonine dans le sang, Garcinia Cambogia réduit également le stress  

Le thym : Le thym possède également du lithium, un minéral aux vertus antidépressives, et du tryptophane, précurseur de la sérotonine.  

Curcuma : il semblerait que la curcumine ait des effets antidépresseurs comparables voir même supérieurs à la fluoxétine (le générique du Prozac). « Elle semble faire augmenter le niveau de neurotransmetteurs tels que la sérotonine

La sérotonine, c’est dans le griffonia que vous en trouverez

Ect…Il y en a beaucoup d’autres.

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L’information fiable sur les medicaments.

LA MEILLEUR INFORMATION MONDIALE. Public citizen, organisation d’intéret public sans but lucratif.Nos médecins et pharmaciens analysent les données propres de la FDA.Notre conseil : NE PAS EMPLOYER 214 médicaments comprenant :… opinion d’indépendant
Diabète Le cancer du sein Le cancer de la prostate Les maladies cardiaques Dépression Un taux élevé de cholestérol Ostéoporose L’hypertension artérielle
Tout les sujets importants de santé. Médicaments, cancer, sida, hopitaux, vaccins, médecins, ritaline, benzodiazépines… Tout savoir pour ne pas se faire tuer par son médecin
le site du Dr Mercola est un élément essentiel pour tous ceux qui aspirent à être équilibré
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Les responsables : les médecins

La honte des 32 secondes ! c’est le temps moyen qui a été calculé entre la plainte du patient et la rédaction d’une ordonnance contenant un hypnotique
 » La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur
De tous les problèmes produits par les médicaments que les médecins prescrivent, la toxicomanie est sans doute l’un des plus gênants. C’est avec le soi-disant tranquillisants «mineur» et somnifères que les médecins ont fait plus de dégâts
les médecins sont intoxiqués aux prescriptions de benzodiazépines
A coté de l’inadéquation de nos méthodes d’essais cliniques, des professeurs de psychiatrie sont maintenant en prison pour avoir créé des patients de toute pièce
Il est prouvé que l’utilisation régulière de benzodiazépines n’est plus efficace après quelques semaines à quelques mois
un dealer (le médecin) et un consommateur de drogues (l’assuré), sous la surveillance de deux organisations criminelles nationales (l’Etat et l’Industrie du médicament
Des médecins ont été accusés hier par des millions de personnes drogués dependantes aux tranquillisants. Les drogues prescrites détruisent plus de vies à travers l’Europe que la cocaïne, l’héroïne et …?, a indiqué MPE Chris Davies
« distribués aux usagers qui ne sont pas forcément tous atteints de maladie psychiatrique, n’importe quand, n’importe comment et pour n’importe quoi ».
Et des médecins pourraient à peine être blâmés de croire que ces médicaments étaient efficaces et sûres. Mais depuis des années maintenant il n’y a plus aucune excuse
Honnêtement la reponsabilité doit incomber entièrement à la profession médicale qui, maintenant qu’elle est ravalée au rang de subalterne recevant des instructions et acceptant des ordres donnés par une entreprise commerciale, ne peut quasiment plus préten
les médecins généralistes ou les médecins de famille étaient pour prescrire des benzodiazépines des prescriptions à long terme en dépit des directives établies
« Nous sommes rendus malades par les médecins, qui sont payés par l’état, mais nous sommes rejeté des avantages qu’ont les malades, »
ASSEMBLÉE NATIONALE SÉNAT médicaments psychotropes
Or la meilleur façon de mettre fin à une consultation, c’est de rédiger une ordonnance.  » En particulier, il est plus rapide de prescrire un tranquillisant que de prendre le temps d’écouter son patient « .
Il y a beaucoup de personnes emprisonnées pour cela chaque année, simplement pour être en désaccord avec les médecins allopathiques et leurs politiques
” Ce qui est dangereux, ce n’est pas d’être malade, c’est d’être soigné ” Molière

danger pour la santé

« On m’a appris depuis mon enfance a faire confiance aux médecins, beaucoup de gens disent « il faut faire confiance aux médecins, ils savent ce qu’il font » et APRES, TU APPRENDS QUE CE N’EST PAS VRAI... »

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Listes de liens monde des sites visités. Benzodiazépines

liens et pages infos
des tas de liens interressants
des tas de liens interressants
des tas de liens interressants
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Les temoignages de sevrage aux benzodiazepines et les victoires sur les benzos

70% des sevrages menés selon un plan de sevrage très lent se passent sans trop de problèmes

Les victimes des benzodiazépines
victimes des benzodiazépines
TÉMOIGNAGES DEVANT LE COMITÉ SPÉCIAL SUR LA CONSOMMATION NON MÉDICALE DE DROGUES OU MÉDICAMENTS
le temoignage du President de Benzodiazepine Awareness Network, Fondateur & National Co-ordinateur de VOT (Victimes des Tranquillisants) au RU
fondateur du site BAN et victime des benzodiazépines
un cauchemar vivant
L’histoire de Brian et de son rétablissement après le Lorazepam (non-benzodiazépines)
J’ai 73 ans maintenant (en2001), et quand je suis sortis des benzos j’avais 54 ans
31 ans de valium
30 ans de valium
les benzos devraient etre interdit a la vente
Les médecins qui m’ont prescrit des benzodiazépines ne m’ont jamais averti des dangers associés à l’usage de ces médicaments et des risques de dépendance dans le cas d’une utilisation prolongée
« Ceci doit S’ARRÊTER ! » « Cette « médecine » est réellement un poison » « Ma plus grande erreur: faire confiance à des médecins ! » «Les médecins qui les prescrivent devrait être jugés et condamnés»«Bienvenue en enfer quand vous vous arrêtez.
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Benzodiazépine et grossesse

Plus de 50.000 enfants par an sont à risque de lésions cérébrales ou de mort, parce qu’ils sont empoisonnés par les tranquillisants dans le ventre de la mère, le Sunday Express peut révéler
Il faut éviter de prescrire des benzodiazépines pendant le premier trimestre de la grossesse. Au cours des mois suivants, ces médicaments ne seront prescrits qu’en cas d’extrême nécessité et pendant la période la plus courte possible
C’est le montant estimatif 50000 ou plus d’enfants britanniques qui naissent chaque année endommagés parce que leur mère a pris des benzodiazépines ou des tranquillisants
Il y a une corrélation claire entre la prescription de benzodiazepines dans la grossesse et l’explosion dans les nombres d’enfants avec les désordres de déficit d’attention (non 4 de WDDTY, de vol. 8), et de penchant à l’alcool (une substance semblable
Maintenant, si vous pouvez imaginer ces effets surun bébé réduite de vigilance et de l’amnésie, à une très importante phase de développement, au début des quelques jours et semaines, cela pourrait avoir de profondes incidences sur les processus de développ
le diazépam s’accumule dans le foie, le cerveau, le cœur et les poumons du fœtus
GROSSESSE : BDZs peut interférer le système nerveux foetal se développant. LA MORT INFANTILE SOUDAINE : Les benzodiazépines causent-elles SIDS ? NAISSANCE : Les bébés risquent les effets directs de, et le sevrage des benzodiazépines
Benzodiazépines traversent le placenta et sont classés en classe D tératogènes
Usage pendant la grossesse: Les benzodiazépines peuvent causer des dommages au fœtus lorsqu’ils sont administré pendant la grossesse. Un risque accru de malformations congénitales associées à l’utilisation du diazépam
Durant la grossesse, la prescription de toute médication est déconseillée ; en fin de grossesse, ces médicaments peuvent faire courir le risque de survenue, à la naissance, d’hypotonie et de détresse respiratoire chez le nouveau né.
Un nouveau-né peut développer un syndrome de sevrage s’il a été exposé durant la grossesse ou durant l’allaitement à certaine substances comme les sédatifs-hypnotiques, les opiacés et peut-être les stimulants
Toute femme enceinte court un risque de 3 à 5 pour cent de donner naissance à un bébé présentant une anomalie congénitale
les études de cas-témoins ont montré un lien statistique entre l’utilisation des benzodiazépines en début de grossesse et des malformations congénitales telles que la fente labiale
Vous ne devez pas utiliser le Valium pendant la grossesse. Si une grossesse survient, en informer immédiatement votre médecin afin qu’il puisse décider de poursuivre le traitement ou l’arrêter. Vous ne devez pas utiliser le Valium pendant l’allaitement que le Valium et ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Si le traitement est inévitable, il doit cesser d’allaiter.
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Les sites associatifs benzodiazépines dans le monde et les sites de victimes

les coordonnés de BAN
Site d’information sur les dangers des benzodiazépines
Non-Benzodiazépines. Le site de ross
dépendance sevrage et réactions paradoxales
« C’est un grand problème pour la santé humaine que tant de gens à travers le monde consomment ce type de drogue »
Pour aider les personnes dans leur voyage pour sortir des benzodiazépines
Guide du sevrage aux benzodiazépines
site officiel
benzodiazépine Australie
Pour aider ceux qui sont intoxiqués aux tranquillisants, benzodiazépines et aux comprimés somnifères ou des drogues avec les effets semblables et qui souhaitent se sevrer.Nous tentont de faire un maximum pour que se soit le plus confortablet possibles
Ce site Web est conçu pour aider et soutenir ceux qui passent par le sevrage, diminue , ou récupèrent des benzodiazapines
Groupe de parlementaires tous partis contre la dépendance involontaire aux tranquillisants
Avril a été fondée par Millie Kieve qui a commencé ses recherches pour obtenir des renseignements sur les réactions indésirables aux médicaments (ADR), après la mort de sa fille Karen en 1995
Bienvenue à AATA (tranquillisant action contre la toxicomanie)!
president de BAN et de VOT
« … Ou comment nous avons réussi à arrêter les benzodiazépines et a appris à« Just Say No « forte dépendance à ces drogues dangereuses. »
Back to Life
Les benzodiazépines peuvent vous rendre anxieux
information et aide au sevrage des benzodiazépines
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Camisole de force chimique (contention chimique) et benzodiazépines

La contention chimique consiste à l’administration de médicaments dans le but de réduire la libre mobilité de la personne (Dr. Pradines, 2010). Les principales molécules utilisées à ces fins sont des anxiolytiques aux effets myorelaxants et sédatifs (principalement des benzodiazépines) et des neuroleptiques sédatifs (risperidone, tiapride…). La contention chimique présente des risques importants de somnolence, de troubles de la marche avec risques de chutes accrus et d’accidents vasculaires cérébraux (dans le cas des neuroleptiques)
la contention chimique peut correspondre à l’utilisation en urgence de benzodiazépines ou neuroleptiques, par voie injectable, avec des posologies permettant la sédation d’un patient sans son consentement.
en absence de cause évidente ou cause toxique, privilégier les benzodiazépines (BZD)
les neuroleptiques sont déconseillés en cas de prise de stupéfiant stimulant
Les contentions chimiques sont des médicaments qui servent à modifier ou à restreindre un comportement. Les tranquillisants et les sédatifs en font partie
32 % des plus de 65 ans et près de 40 % des plus de 85 ans se sont vu prescrire des anxiolytiques ou des somnifères, pour des durées souvent supérieures à trois ans
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Les jugements et procès benzodiazepine

Important : gardez bien toutes vos ordonnances !
le blog d’infos pour les victimes
L’obligation de déclaration s’impose à tout médecin
Avocats, class action, condamnations
mise en danger délibérée de la personne d’autrui
Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de sécurité
…par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, la mort d’autrui constitue un homicide involontaire
(2005) DEMANDE D’UNE GRÂCE PRÉSIDENTIELLE POUR UN PASSAGE À L’ACTE DU FAIT D’UN MÉDICAMENT
Retrait rapide et misprescribing d’une benzodiazépine mène à £1. 35m règlement pour Luke Montagu, co-fondateur de la CEP
valium: après avoir été traité pour un MAL DE DENTS ray Nimmo a gagné une indemnisation de £40,000
Un conseil d’arbitrage médical a attribué 75.000 euros pour la dépendance iatrogenic aux benzodiazépines
Le résultat de 30 ans de dommages suite à une dépendance aux médicaments prescript
UN HOMME D’AFFAIRES qui prenait un tranquillisant prescrit poursuit le fabricant de la drogue pour £3.5 million, se réclamant du fait que cela a impliqué l’effondrement de ses entreprises commerciales
Elle a plus tard poursuivi le fabricant Upjohn pour $21 millions. Upjohn a trouvé au civil un accord à l’amiable
Alec Jenner l’homme qui a aidé à créer le valium: un entraîneur de cirque avait l’habitude de donner un médicament sédatif à ses tigres
Trouver ici l’information sur le procès classe-action contre Sanofi-Aventis, le fabricant du somnifère Ambien (stilnox) (marque de fabrique pour le zolpidem
Temesta (ativan) peut provoquer une très forte dépendance, et la drogue a été dénoncé pour avoir des effets secondaires graves après utilisation prolongée. Quelques patients à long terme d’Ativan éprouvent la dépression, les ajustements épileptiques
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Rohypnol®

Conclusions : Le Rohypnol™ est une drogue dure, succédané de l’héroïne et un amnésiant puissant. Ce produit est dangereux par son pouvoir amnésiant et désinhibant. Ce produit n’a plus de place en thérapeutique
association d’Héroïne et de Rohypnol : C’est le Rohypnol qui est dangereux
Rohypnol est particulièrement dangereux
régime des stupéfiants
La défonce aux benzos c’est pas vraiment fleur bleue
Les médecins réclament à cor et à cri l’interdiction du Rohypnol,Ainsi, 800 professionnels de la santé ont envoyé cet été une pétition au secrétariat d’Etat à la Santé
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Stilnox ou ambien (zolpidem) et Imovane (Zopiclone)

Le stilnox est un produit dangereux !
base de données mondiale de certaines des victimes de l’Ambien, Ambien CR Stilnox / Ambien et Imovane: le sommeil des médicaments qui peuvent tuer
les dangers du stilnox
stilnox / ambien / zolpidem
Mi-janvier, le « Daily Express » rapportait des travaux présentés au congrès de l’American Heart Association selon lesquels sa consommation serait liée à une augmentation du risque d’infarctus.
En outre, la prise du somnifère a été associée à une hausse du risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) par une équipe du China Medical University Hospital. Enfin, elle serait même corrélée à un risque accru de cancers.
Toutefois, d’après les nouvelles données suggèrent que la commercialisation Stilnox et d’autres dits «à la drogue » (qui comprend aussi la zopiclone et zaleplon) sont associées à une gamme d’effets neurologiques et psychiatriques, y compris le somnéambulism
Les patients prenant des médicaments de sommeil pourraient être en danger des réactions allergiques graves et des comportements dormir-connexes complexes, qui peuvent inclure le sommeil conduisant, conduisant tandis que pas entièrement éveillés après l’ing
On dirait un mélange légal de substances illicites : comme avec le cannabis, on se sent bien, on rit pour un rien ; comme avec la coke, on est « speed », survolté ; comme avec le LSD, on succombe à des hallucinations
Une nouvelle étude montre que la thérapie cognitive du comportement est supérieure au somnifère zopiclone (IMOVANE) pour le traitement à court et à long terme de l’insomnie chez l’adulte
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Les prescriptions de benzodiazépines en France, Belgique

La Durée Moyenne de Traitement par BZD / Z Est de traitement médical Court Années en France
Le coût direct du « couple insomnie – hypnotiques » est évalué à environ 14 milliards de dollars aux USA, et le coût indirect à environ 80 milliards de dollars.
Les Français consomment trois fois plus de psychotropes que les autres Européens. Neuroleptiques compris, 109 millions de boîtes ont été vendues en 2007 – plus que les antibiotiques (82 millions de boîtes)
😯 millions de boîtes de tranquillisants consommées chaque année
La France détient le record d’utilisation des produits somnifères : chaque jour, y sont consommés environ dix millions de médicaments contre l’insomnie !
Médicaments psychotropes : consommation et pratiques de prescription en France métropolitaine. II. Données et comparaisons régionales, 2000
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Quelques sites et blogs de victimes

le site d’audrey
Brain Underwood : sevrage des benzodiazépines, bienvenue en enfer !
Carol’s blog Suisse (en français)
Le site de Betty Foote
Benzo Aren’t Us
Non Aux Benzodiazépines
Le site de ray Nimmo
Le site de Colin Downes-Grainger
le site de sandy
le site de ross
Le site de corinne (France)
Le site du docteur reag Peart
Le site de pam Amstrong
Le site de Sue Bibby
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Autres psychotropes et sites français parlant des benzodiazépines

Les dangers des antidepresseurs. Les antidepresseurs peuvent être des drogues dangereuses
la parole aux victimes de la médecine
blog sur les psychotropes. Pour que nos enfants ne connaissent pas cet enfer là !
Les benzodiazépines sont a l’origine de nombreux cas d’alcoolisme dont les victimes n’en comprennent pas l’origine, et sur lesquels les médecins garde un silence criminel
Par une victime des benzodiazépines et des réactions paradoxales aux benzodiazépines
Site consacré a la dépendance et aux sevrage des benzodiazépines
bgabrielli blog
Il s’agit ici de souligner le danger de ces produits, prescrits massivement par des médecins généralistes et sur des périodes très longues.
“Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse.”
danger !
Le syndrôme prolongé de sevrage aux psychotropes est nié par les médecins.
les dangers de la toxicomanie aux beta-bloquants
Les dangers de la toxicomanie aux neurontin, lyrica
“Le doute n’est plus de mise. Les antidépresseurs les plus prescrits ne sont guère plus efficaces qu’un placebo
Les antidépressseurs sont hautement addictifs.
Les dépression provoquées par les médecins
“Il est indispensable d’informer le patient du risque de syndrôme sérotoninergique” potentiellement mortel
cytochrome p450 et enzymes CYP
Pour les victimes d’effexor
Le danger de la toxicomanie aux antihistaminiques
La fibromyalgie provoquée par les médecins
La phobie sociale provoquée par les médecins
Les dangers de la toxicomanie à la ritaline ou concerta
« Le travail de l’agence est une comédie, tout est décidé en amont ! »
“Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse.” professeurs Breggin et Cohen
leur toxicité aiguë est très supérieure aux benzodiazépines.
Les dangers de la toxicomanie aux antidépresseurs
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Iatrogènie : maladies et morts provoqués par les médecins / « Les effets secondaires des médicaments sur ordonnance sont maintenant votre source la plus probable de décès, d’invalidité ou de blessure. »

maladies et morts provoqués par le médecin
« Les experts estiment que seulement 1 à 10% des événements indésirables graves (ceux provoquant une hospitalisation, une invalidité ou un décès) sont rapportés. »
médecins ou assassins ?
Les effets indésirables graves (RMIS) sont une cause majeure de morbidité et de mortalité dans le monde entier. Certains EIG peuvent être prévisibles, sur la base pharmacodynamiques et pharmacocinétiques…..L’incidence globale des EIG chez les patients hospitalisés aux États-Unis a été estimé à 06/02 à 06/07% et l’incidence des effets indésirables mortels est estimée à 0,15-0,3% (REF. 2 ). Cela se traduit par plus de 2 millions EIG estimés chez les patients hospitalisés chaque année, avec plus de 100.000 morts, ce qui rend ces réactions comme une des causes ies plus mportantes de décès aux États-Unis. Des études en Europe et en Australie ont donné des estimations semblables 3 . Le fardeau des coûts résultant est énorme, ce qui représente des dizaines de milliards de dollars, et a un impact sur les deux l’industrie pharmaceutique internationale des soins de santé et 4 .
Pourquoi tester?
Chaque année, plus de 8,6 millions d’événements indésirables médicamenteux (EIM) sont signalés aux États-Unis – 2,2 millions d’entre eux sont graves.
En fait, les événements indésirables sont la quatrième cause de décès à l’échelle nationale, après les maladies cardiaques, le cancer et les accidents vasculaires cérébraux, et ils placent un énorme fardeau financier pour le système de santé.
Même avec la prescription appropriée, la génétique d’un patient peuvent affecter la façon dont ils métabolisent et répondre aux médicaments. Plus de 85% des patients ont des variations détectables dans leur ADN qui augmentent leur risque d’une ADE.
200.000 morts par an en Europe par les médicaments ! (sauvegarde)
Mais :  Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas.
Le taux de mortalité lié aux prescriptions de médicaments est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75 ans
Une analyse rigoureuse des statistiques disponibles révèle une image de la médecine bien diffërente de celle couramment dépeinte. Dans les faits, le système pharmacologique et médical moderne s’octroie la première place au palmarès des causes de décès
44.000 à 98.000 personnes meurent tous les ans en raison des erreurs pendant l’hospitalisation.
médecins ripoux : les références
Viox: 27785 morts
SOINS TUEURS : COMMENT LES ERREURS MÉDICALES SONT DEVENUEES LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS AUX USA
Chaque année aux États-Unis, un quart de million de décès sont attribuables à une erreur médicale . Si le nombre choque, à un certain niveau vous le saviez déjà, il en fut ainsi. Tout le monde connaît quelqu’un, peut-être qu’il était vous-qui a subi un traitement misérable dans les hôpitaux américains, une partie du système de soins de santé la plus élaborée, la plus vaste et coûteux dans le monde. Mais il est peut-être le plus inefficace.
Les erreurs de diagnostic, prescriptions erronées, opérant sur le mauvais patient, même opérant sur le mauvais côté (et amputant il): ce sont les conséquences de la négligence généralisée, le surmenage, l’ignorance et les hôpitaux essaient de tirer le meilleur parti de leurs aidants naturels et le plus d’argent de leurs patients.
130 000 HOSPITALISATIONS SONT DUES CHAQUE ANNÉE À LA IATROGÉNIE MÉDICAMENTEUSE
ERREURS MÉDICALES Ceci signifie que jusqu’à 2.690.000 personnes sont handicapé par des malheurs médicaux chaque année, ce qui représente autour 4.5 pour cent de la population entière. Aux Etats-Unis, où la médecine est bien plus agressive…
La seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 /an, dont une partie évitable ».
Au cours des 10 dernières années, il a été estimé que la médecine a blessé 191 millions d’Américains et tués plus de 8 millions – plus de la totalité des pertes américaines à l’ensemble de nos guerres mondiales combinées. 2 Pourtant, ces morts n’ont pas
les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux Etats-Unis. La plupart du temps, ces événements dangereux auraient pu et dû être évitée
« Toute prescription médicamenteuse est susceptible de provoquer des effets iatrogènes plus ou moins graves. »
L’association Iatrogenic américaine est consacrée à l’étude et au reportage des erreurs médicales qui mènent à la maladie et à la mort.
Les médecins aux Etats-Unis tuent plus de personnes que la maladie de coeur ou le cancer Le numéro du mars 2004 du magazine de prolongation de la vie signale que « il est maintenant évident que le système médical américain est la principale cause de la m
Effets Secondaires des Médicaments « tuent des milliers de Malades »
Et cependant, la FDA continue à dealer encore plus de médicaments auprès des Américains, battant tous les précédents records en la matière, tout en prétendant que ces substances seraient efficaces et inoffensives, alors qu’en réalité elles sont exactement
Les effets secondaires de médicaments constituent la quatrième cause de mortalité humaine dans les pays développés
La FDA est simplement une branche criminele d’un gouvernement fédéral qui est devenu une menace pour les personnes mêmes qu’il est censé protéger et servir
L’experimentation médicale humaine à l »époque moderne
ereurs de dose, d’omission, de posologie, de médicament, technique d’administration, voie d’administration, débit d’administration, durée d’administration, moment d’administration, médicament périmé ou déterioré…
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que 33% des maladies d’aujourd’hui sont causées par un traitement médical ou le médecin iatrogène c’est-à-dire induite maladie. Doctors are the third leading cause of death in the US after heart disease
il est spécifiquement démontré que les accusés entretiennent et répandent délibérément les maladies contemporaines les plus communes en dépit du fait que ces maladies auraient pu être efficacement guéries et largement éradiquées
Les actes médicaux et les programmes d’action sanitaire sont devenues les sources d’une nouvelle maladie : la maladie iatrogène . C’est-à-dire toutes les conséquences néfastes engendrées par les soins professionnels dans leur ensemble
« Le travail de l’agence est une comédie, tout est décidé en amont ! »
Généralités :Les enquêtes menées en France par les centres régionaux de pharmacovigilance ont montré que 3 % des admissions dans les hôpitaux publics étaient en rapport avec un effet indésirable médicamenteux, permettant d’estimer à 130 000/an le nombre de patients concernés.

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
On y trouve aussi un témoignage sur l’enfer du sevrage du rivotril / klonopin vers la douzième minute. Puis, la suite vers la 26 ème minute. Puis, vers la 35 ème minute. Puis, vers la 45 eme minute, puis vers 1 heure 04 Et le témoignage de gwen Olsen, vendeuse et victime des psychotropes.

«Médicaments = armes de destruction massive »

SMT Healy ET STOP
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Quelques livres benzodiazépines, psychtropes, médicaments et santé

ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ; TRANQUILLISANT ; USAGE ;
« Les médecins prescrivent ces médicaments régulièrement sans jamais avertir les patients qu’une utilisation régulière peut provoquer une dépendance dangereuse. Pour beaucoup de gens, les benzos sont beaucoup plus difficiles a arrêter que de fumer, que l’héroïne, la cocaïne, le crack et d’autres substances illégales» gratuitement en ligne (anglais)
Seul livre qui fournit une description non censurée à jour des dangers qui’mplique la prise de chaque genre de drogue psychiatrique. C’est le premier et le seul livre pour expliquer comment cesser sans risque de prendre les médicaments psychiatriques.
Ce petit ouvrage explique les risques de somnifères dont vous pourriez ne pas avoir entendu parler.Il décrit aussi de meilleures alternatives.
This manual contains information about the effects that benzodiazepines have on the brain and body and how these actions are exerted. Detailed suggestions on how to withdraw after long-term use and individual tapering schedules for different benzodiazépines.
Sevrage Xanax fournit une feuille de route pour arrêter Xanax. La dépendance Xanax est un problème commun, et il ya peu d’informations pratiques sur la façon d’arrêter en toute sécurité et confortablement prendre. Un patient peut inconsciemment devenir dépendant de Xanax, avec la dépendance passe parfois après aussi peu que une semaine ou deux d’utilisation régulière. Dr Shipko aborde les questions liées à l’arrêt de Xanax; lesquelles il faut arrêter, quand arrêter, comment cône du médicament et ce qui les attend au cours du retrait. Un psychiatre en exercice depuis plus de 34 ans, le Dr Shipko a eu une expérience considérable avec Xanax raison de son intérêt de surspécialité en trouble panique.
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés ! …
MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES : Confessions d’une visiteuse médicale (sortie en français mars 2014) Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.
pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
de MILDT
« Drogues et dépendances » contient des informations sur toutes les drogues, le tabac, l’alcool, les médicaments psychoactifs et les produits dopants, ainsi que des statistiques de consommation, la loi, les adresses utiles…
Une insomnie, une pilule. Une contrariété, une pilule. Une déprime, une pilule. Sans leur boîte d’hypnotiques et leurs gélules d’antidépresseurs, les Français pourraient-ils survivre?
Dr. Malcolm Lader, professeur de la psychopharmacologie clinique, institut de la psychiatrie, Londres, Angleterre« … L’histoire bien-recherchée de Joan Gadsby devrait attirer une attention publique sur ce problème effroyable et sa solution
L’enjeu de ce réquisitoire contre les drogues vise à inventorier l’infinité du désastre sous le prisme pluridisciplinaire de sciences humaines dont l’ampleur est à la hauteur des intérêts d’un establishment corrompu ; depuis la cueillette au laboratoire
Les effets des Tranquilliisants: Utilisation de benzodiazépine au Canada. Publication du Canada de santé : 1982
Le processus de sortie des benzos peut être si dur que le travail soit difficile ou impossible, ajoutant des questions financiere à une situation déjà intimidante. Pour ceux qui ont de telles difficultés: le texte entier du BENZO LIVRE
« Les médecins prescrivent ces médicaments régulièrement sans jamais avertir les patients qu’une utilisation régulière peut provoquer une dépendance dangereuse. Pour beaucoup de gens, les benzos sont beaucoup plus difficiles a arrêter que de fumer, que l’héroïne, la cocaïne, le crack et d’autres substances illégales »
Professeur david Healy.The Creation of Psychopharmacology. Editeur : Harvard University Press; Édition : New Ed (3 septembre 2004). L’histoire de la psychopharmacologie. L’histoire des psychotropes. L’histoire des benzodiazépines.
«On ne s’est pas penché sur l’effet de ces médicaments, déplore l’avocate. Très vite après les faits, deux experts ont vu ma cliente pendant dix minutes, et tout le dossier d’instruction a été orienté à partir de ce prérapport. Les contre-expertises n’ont
Les médicaments font parfois la différence entre la vie et la mort. Porteurs d’espoir, ce sont aussi des machines à profit d’une efficacité prodigieuse. Les profits colossaux de cette industrie expliqueraient en partie pourquoi nous dépensons maintenant
Un aperçu effrayant et vrai de l’incapacité de notre établissement légal de comprendre et reconnaître les questions de santé mentales et les effets des médicaments psychoactifs prescrits.
Les récents décès de célébrités comme Michael Jackson, Anna Nicole Smith, Heath Ledger, et Whitney Houston ont montré un projecteur sur la surutilisation et l’abus de médicaments d’ordonnance. La plupart des gens croient que les médicaments d’ordonnance sont plus sûrs que les substances illicites. Mais, lorsqu’il est combiné avec d’autres over-the-counter sédatifs, médicaments d’ordonnance peuvent être tout aussi puissante, addictive, et dangereux. En 2006, les surdoses sur une classe d’analgésiques d’ordonnance appelés analgésiques opioïdes a tué plus de gens que ceux tués par surdoses sur la cocaïne et l’héroïne combinée. À l’heure actuelle, entre 35 à 54 ans, l’empoisonnement par médicaments d’ordonnance est la cause la plus fréquente de décès liés à l’auto-accidentelles mort plus encore que. Dans les médicaments qui tuent, Dr Marcum brille une lumière sur le pouvoir addictif de médicaments d’ordonnance et comment vous pouvez vous protéger votre famille et en pratiquant des habitudes saines.
La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir.
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia

La nouvelle dictature médico-scientifique : L’emprise des lobbies sur notre santéde Sylvie Simon

…Il est de notoriété publique que les ordonnances des médecins généralistes regorgent de ces molécules – deux, trois, et bien plus, on le verra – prescrites comme des bonbons dans le but non de traiter des maladies, mais en quelque sorte d’“améliorer l’ordinaire”. Tous les prétextes sont bons pour ingurgiter des cocktails de gélules. Dormir, se réveiller, être stimulé, moins angoissé, moins stressé, plus performant, plus en confiance, mieux concentré, moins timide, pour ne pas perdre pied, ne pas s’endormir au volant, se désinhiber, par peur de l’échec à un examen, à cause d’un chagrin d’amour, d’une rupture, d’un deuil, du chômage, de problèmes familiaux, etc.C’est ainsi que, selon les rapports officiels, 50 % de ceux qui prennent des antidépresseurs ne sont pas dépressifs. Le constat est encore plus flagrant pour les tranquillisants et somnifères et, de plus en plus, pour les neuroleptiques, puissantes drogues dont une seule dose suffit à assommer pendant plusieurs jours un individu normalement constitué. Quelles peuvent être les répercussions de cette overdose nationale et légale sur le cerveau de millions de gens – des plus jeunes en passant par les femmes enceintes jusqu’aux vieillards – qui ne sont pas à proprement parler malades, ou qui n’ont pas bénéficié d’un diagnostic fiable ? C’est ce que j’ai cherché à savoir en explorant ce continent noir de notre pharmacopée. On a tendance à l’oublier ; pourtant, à l’instar des drogues illégales – cocaïne ou amphétamines, par exemple –, ces chères petites pilules agissent en modifiant la chimie de nos neurones. Pour le meilleur et… pour le pire !
la prescription d’anxiolytiques et d’antidépresseurs est en France la plus forte de tous les pays industrialisés.
Les médicaments modernes nous mettent sous perfusion chimique, si possible pour toute notre vie. L’industrie pharmaceutique a d’ailleurs fait un effort considérable pour mettre au point des médicaments justement dits à libération prolongée ou programmée.
Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
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La médecine serait-elle devenue folle?
Quels sont les recours légaux et les chances d’aboutir à la réparation des préjudices? Les `Class Action’ vont-elles permettre ces changements en matière juridique ainsi qu’une plus grande vigilance et responsabilité de la part des laboratoires
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire
Drug-Induced démentia : a perfect crime(les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
Frank Wittig parle des structures mafieuses au sein de la médecine. Pour expliquer qu’il a noté des secteurs où la médecine, non seulement, n’aide pas, mais rend malade.
Dr. Erika Schwartz estime que le patient d’aujourd’hui est, mais une feuille dans le vent de protocoles groupe-think, sociétés médicales corrompus, les compagnies d’assurance sur la prise, et un milliard de dollars dans le marketing et la pression du lobbying des compagnies pharmaceutiques.
Histoire des origines de la mafia médicale , les voyous dont vous pensiez qu’ils vous aidaient au mieux pour vos maladies
Les Rockefellers possèdent la plus grande fabrication de médicaments  dans le monde et utilisent tous leurs autres intérêts pour faire pression pour augmenter la vente de médicaments. Le fait que la plupart des 12 000 produits pharmaceutiques distincts sur le marché soient nocifs ne préoccupe pas le Drug Trust
L’amérique dupée, la vérité sur les antidépresseurs, antipsychotiques et comment nous avons été trompés
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
Lorsque des médecins ayant une longue expérience se mettent à écrire des livres sur les dangers que la médecine moderne représente pour notre santé, nous pouvons être sûrs qu’il se cache bien des choses malsaines sous la blouse blanche.
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
« la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies » Spéculant sur l’ignorance et sur les souffrances d’innombrables personnes, sur leur peur constante de la douleur et de la maladie, soutenue par les mass médias, cette «pseudo-science» a créé l’illusion qu’elle détiendrait des pouvoirs mystérieux et illimités, dont le salut de l’humanité dépendrait. Ainsi donc, les peuples de l’hémisphère occidental se sont prosternés avec crainte et servilité à ses pieds, s’en faisant l’image d’une déesse omniprésente d’une beauté insurpassable, vêtue d’or et de brocart, ne pouvant être contemplée par le commun des mortels sous peine d’aveuglement.
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financier. Des médicaments, des vaccins, des biens de consommation dangereux sont mis sur le marché et y demeurent, malgré les accidents provoqués. Le Dr Louis De Brouwer, par une documentation rigoureuse, n’hésite pas à démontrer l’existence de fraude, d’abus de confiance et d’escroquerie au sein de notre système de santé.
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible.
En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !
Andrew Wakefield révèle de l’intérieur l’histoire de la connexion vaccin-autisme et ses recherches controversées. Comme le dit Andrew Wakefield dans son prologue, « si l’autisme n’affecte pas votre famille maintenant, il va le faire bientot,  si quelque chose ne change pas — et rapidement,  c’est presque une certitude mathématique.
Voici un ouvrage indispensable pour comprendre la dérive intellectuelle et morale de la science moderne occidentale, malheureusement copiée à la lettre par le reste du monde !
Ce livre démontre sans aucune contradiction possible que le vaccin du tétanos ou son traitement avec sérum n’a aucun fondement scientifique.
La Société cancérigène dénonce, chiffres à l’appui, les silences des discours officiels et les intérêts de bien des lobbies. Car la disparition du cancer serait préjudiciable à des pans entiers de notre économie. Veut-on vraiment faire reculer le cancer ?
…il y aurait finalement plus de gens pour en vivre que pour en mourir. N’y a-t-il aucun lien entre ceux qui produisent le cancer, ou du moins des substances cancérigènes, et ceux qui prétendent non le guérir mais l’affronter ?…
L’idée d’une maladie de civilisation [c’est-à-dire due aux activités industrielles de l’homme et non « naturelle »] était communément admise dans les années 30. Dans les années 50 encore, John Higginson, épidémiologiste du cancer et directeur du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à l’OMS, estimait que environ 80% à 90% des cancers sont provoqués par des facteurs environnementaux, c’est-à-dire essentiellement liés au cadre de vie ou au travail. En 1960, René Dubos, professeur de biologie moléculaire à l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, écrits que les cancers sont inconnus des « peuples primitifs » « tant que rien ne change dans leur mode de vie ancestral ».
Or, non seulement cette idée ne fait plus autorité aujourd’hui, mais elle se trouve immédiatement récusée et presque démentie, comme si de nouvelles données l’avaient remisée parmi les vieilles lunes. Il n’en est rien. Il semble plutôt que la maladie dite environnementale soit d’autant plus niée que la pression s’accentue et que les populations s’inquiètent davantage d’un environnement toxique. (…) Par ailleurs, le discours scientifique parvient à marginaliser les lanceurs d’alerte et à les faire passer pour des réfractaires au progrès, nostalgiques de la bougie ou du charbon. (…)
L’objectif des auteurs est montré les stratégies du lobbying des laboratoires et de pointer les conflits d’intérêts liant les industriels avec les politiques et les autorités.De comprendre, par exemple pourquoi les génériques sont vendus 30 % plus chers en France qu’en Italie ou qu’un médicament contre l’hépatite C est commercialisé 256 fois son prix de revient au laboratoire (les labos gonflent les chiffres en y incluant les dépenses de marketing, de communication).
psychiatrie mortelle et déni organisé grand forma
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Somnifères : pilules amères

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Xanax, Stilnox / Zolpidem,… somnifères et anxiolytiques, le piège de la dépendance : les responsables sont les médecins ! (juillet 2023)

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Les pillules du cauchemar

Les pillules du cauchemar DR Vernon Coleman

Les pillules du cauchemar
 http://www.benzo.org.uk/vernon.htm DR Vernon Coleman Les pillules du cauchemar – comment des millions de personnes sont pris dans le piège des Tranquillisants : Les dernières statistiques confidentielles du département de l’exposition de santé et sécurité sociale dit que dans les 12 derniers mois  environ 30 millions de prescriptions ont été écrit pour des tranquillisants tels que le valium, le Librium et l’Ativan(temesta). Il est assez facile d’expliquer pourquoi les médecins ont commencé à prescrire des tranquillisants il y a 20 ou 30 ans. Lorsqu’ils ont semblé êre des réponses parfaites. Les barbituriques n’étaient plus a la mode. Et les médecins commençaient à identifier que les maladies reliées par effort sont communes. Les tranquillisants tel que le valium ont semblé offrir une solution sûre. Mais il est plus difficile d’expliquer au juste pourquoi les médecins continuent à prescrire ces médicaments aujourd’hui.  Mais le fait étonnant est que les compagnies pharmaceutiques ont averti depuis un certain temps maintenant les médecins qu’elles ne sont pas appropriées pour l’usage à long terme. Ma propre évaluation – qui n’a pas été contestée par n’importe qui de la profession médicale, du DHSS ou de l’Office à la maison, est qu’il y a environ 2.500.000 utilisateurs de tranquillisants en Grande-Bretagne. Et beaucoup l’on dit: il est plus difficile de se sortir des benzodiazépines que de l’héroïne. Joseph Tutt n’est pas le seul patient qui est si fâché qu »il poursuit son docteur. Deux autres lecteurs ont déjà consulté des avocats-conseils et ont commencé des actions judiciaires. Et les douzaines de plus ont écrit pour m’indiquer qu’elles projettent d’autres actions judiciaires. Si Tutt a réussi, beaucoup de patients à qui ont été prescript des tranquillisants ou des comprimés somnifères et dont les vies ont été dévastées ou endommagées d’une manière quelconque pourrait avoir commencé des démarches dans les mois. Et ce sera leurs médecins qu’ils poursuivront, pas les compagnies pharmaceutiques. Il y a environ dix ou quinze ans les compagnies de drogue favorisaient des produits de ce type avec enthousiasme sans réserve. Et des médecins pourraient à peine être blâmés de croire que ces médicaments étaient efficaces et sûres. Mais depuis des années maintenant il n’y a plus aucune excuse. Les compagnies pharmaceutiques avertissent constamment des médecins de ne pas permettre à des patients de les prendre pour plus qu’une semaine ou deux. Ils conseillent aux médecins de ne pas rendre ces médicaments disponibles pour des « prescription a répétition ». Il est démontrer et prouver que ces médicaments provoquent des dépendances potentiellements dangereuses qui se sont accumulées rapidement depuis le début des années 70. Les nombreux articles de recherches ont été  éditée assurant que les produits de ce groupe peuvent causer des problèmes tels que la perte de mémoire aussi bien que l’inquiétude, la dépression et l’insomnie. Ironiquement, ce sont les trois symptômes pour lesquels elles le plus généralement sont prescrites. Le comité de la sûreté des médecines a reçu des rapports prouvant que ces médicaments sont bien connues pour causer bien plus de 100 effets secondaires différents. Plus tôt ce mois le DHSS et l’Office à la maison ont publiquement admis que la taille du problème de dépendance aux tranquillisant de la Grande-Bretagne les inquiète en apportant ces drogues sous l’abus de la Loi 1971 de drogues – la même législation cette des drogues de commandes telles que l’héroïne. Mais les milliers de médecins ne semblent pas ne prendre aucune notification. Il peut être vrai que beaucoup ne sachent toujours pas quoi encore pour faire pour les patients qui souffrent de l’inquiétude ou des maladies soumettre à une contrainte-connexes. La seule conclusion que je peux tirer est que plusieurs mille médecins britanniques ne lisent pas des articles dans les journaux médicaux ni pas ils étudient la littérature qui est éditée par les compagnies de drogue. Ces médecins péniblement ignorants ont entre eux créé le plus grand problème de dépendance aux médicaments que ce pays n’ai jamais vu. C’est leur penchant à prescrire ces médicaments terribles qui nous a donné une nation de drogués. Si M. Tutt – et d’autres comme lui – gagner, la profession médicale pourrait faire face à plusieurs millions de procès très chers et à la plus grande crise dans l’histoire moderne. Les portes d’inondation se seront ouvertes. DR Coleman est l’auteur de plus de 30 livres comprenant des fanatiques et des penchants. L’édition de livre broché à lui le dernier livre. La vie sans Tranquillisant, a été éditée il y a deux mois. Depuis lors il a reçu plus de 6.000 lettres des utilisateurs qui, il dit, sont assez fâchés pour poursuivre les médecinsqui les mettent sur la route au penchant. – Aujourd’hui, 7 mai 1986 Benzodiazépine Tranquillisers Citations des drogues Myth, 1992 DR Vernon Coleman, mb, ChB, DSc (Hon) Dans les années 60 et les années 70 quand les dangers se sont associés à des barbiturates était devenu largement connu, un groupe de drogues nouvellement découvert – les benzodiazépines – ont été présentés en tant que solutions de rechange sûres, efficaces et non provoquant une dépendance pour les patients qui ont eu besoin d’aide pour détendre ou obtenir le sommeil. Dans un espace très court des milliers de temps de médecins prescrivaient de vastes quantités des benzodiazépines pour des millions de patients et par la fin des années 1980 pratiquement chaque pays développé dans le monde a eu un problème important de dépendance aux benzodiazépines. Pour la troisième fois en moins d’un siècle des médecins et l’industrie pharmaceutique avait avec succès créé et favorisé une dépendance aux médicaments. Des drogues telles que l’héroïne et la cocaïne sont habituellement mises dans le premier groupe tandis que les drogues telles que les benzodiazépines se trouvent inévitablement dans le deuxième groupe. Cette sorte de classification n’a aucune base dans la science, parce que les tranquillisants de benzodiazépine sont beaucoup plus dangereuses et provoquent beaucoup plus de dépendance que les prétendues drogues « dures ». Et, naturellement, si un individu devient un fanatique par ses propres choix pauvres, par la chance malade ou par les erreurs d’un médecin, il sera encore considéré comme un fanatique. Le stigmate est identique. Des millions de personnes qui sont devenus dépendantes sans absolument aucune faute de leurs propres initiative sont mal traités par les médecins, par la société et par les employeurs. Pendant les deux dernières décennies j’ai reçu des dizaines de milliers de lettres des personnes dont les vies ont été ruinées (dans chaque sens possible du mot) en raison d’une dépendance aux benzodiazépines. La plupart signal que l’agonie de leur dépendances a été composée par les sentiments de la honte et de la culpabilité qu’elles ont été encouragées à soutenir (par les médecins), et par le sens de l’outrage elles se sentent à la manière elles ont été traitées. Une des manières classiques d’acquérir un marché de médicaments est de donner des échantillions de boites de médicaments gratuites aux non-utilisateurs afin qu’ils essayent ceux ci, ensuite ils doivent payer leurs médicaments. Cette technique est régulièrement employée par les professionnels des médicaments. Par ailleurs, peu de temps après les benzodiazépines ont été présentés pour la première fois dans des approvisionnements gratuit aux hôpitaux de Grande-Bretagne ont été donnés librement aux hôpitaux afin de calmer des inquiétudes de gouvernement au sujet du coût. Ce programme de commercialisation de masse doit sûrement avoir aidé à mener au problème massif de penchant qui existe maintenant. Les benzodiazépines sont probablement les médicaments les plus provoquant une dépendance jamais créées et la vaste armée des médecins enthousiastes qui ont prescrit ces médicaments par tonne ont créé le plus grand problème de dépendance aux drogues du monde. J’avais bien averti de la taille de ce problème parce que j’avais fait campagne pour persuader des politiciens et des médecins de commander les benzodiazépines plus efficacement pendant la majeure partie de ma vie professionnelle ; pendant ce temps j’ai entendu et ai parlé aux dizaines de milliers de fanatiques dont les vies ont été ruinées par ces drogues. Quand les patients sont sevrés des benzodiazépines avec succès, bon nombre d’entre eux disent qu’ils se sentent mieux qu’ils ne se sont sentis pendant des années, sans tout autre traitement. Le danger des benzodiazépines est insidieux. Ces médicaments ont des symptômes de sevrage très semblables à ceux des barbiturates et à l’alcool mais ces effets de sevrage peuvent prendre beaucoup plus longtemps. On l’a connu longtemps avant ceci que les benzodiazépines ont posé des problèmes. La première publication d’article scientifique émettant l’avis qu’ils pourraient être provoquer une dépendance ont été édités en 1961 – juste une année après que le chlordiazepoxide (le premier des benzodiazépines) ait été lancé en Amérique. Le premier rapport clinique j’ai pu constater que détaillé les qualités provoquant une dépendance des benzodiazépines a été publié à un journal appelé Psychopharmacologia. Il a été écrit par trois médecins de l’hôpital du ministère des anciens combattants à Palo Alto, la Californie. L’article a signalé des réactions de sevrage du Chlordiazepoxide et il a décrit dans les détails dramatiques comment les patients qui avaient pris le médicament ont souffert des symptômes de retrait quand les médicaments a été arrêtée. Les auteurs de l’article ont édité dans Psychopharmacologia décrit comment onze patients qui avaient pris les doses assez élevées du chlordiazepoxide pendant jusqu’à six mois ont été soudainement enlevés leurs pillules et comprimés donnés de sucre à la place. Dizaines des onze patients ont éprouvé de nouveaux symptômes après retrait. Six patients sont devenus enfoncés, cinq ne pouvaient pas dormir et étaient agités. Deux des patients ont eu des convulsions ou des ajustements principaux. La plupart des symptômes se sont développées de deux à neuf jours après que les médicaments aient été arrêtés. Par le début des années 70. A. le nombre d’autres article avait été l’apparence éditée que les benzodiazépines pourraient causerune dépandance. En 1975 le journal international des penchants a porté un article important intitulé abus de diazepam : Un problème médical de plus en plus commun. Au cours des années suivantes j’ai écrit des articles dans des douzaines de journaux et de magazine au sujet de la dépendance aux benzodiazépines et j’ai contribué à faire une masse d’émissions télévisées et de radio. En conséquence j’ai reçu des dizaines de milliers de lettres d’utilisateurs de tranquillisants (en même temps je recevais plus de mille lettres par semaine de personnes qui étaient dépendant aux tranquillisants et qui voulait de l’aide). Par le début des années 80 j’ai estimé qu’il y avait entre 2,5 et trois millions de fanatiques de benzodiazépine en Grande-Bretagne – et les millions de plus autour du monde. En plus des lettres des patients j’ai également reçu un vaste nombre de lettres des médecins, parce que bien que les dizaines de milliers de médecins distribuent toujours des benzodiazépines librement un nombre de plus en plus important se rendaient compte du problème. Beaucoup de conseillers et médecins généralistes m’ont écrit pour me dire qu’ils ont pensé que les benzodiazépines étaient des médicaments d’usages courants les plus provoquant une dépendance et les innombrables experts en matière de drogue m’ont dit que certains de leurs patients avaient eu beaucoup plus de mal sortir des benzodiazépines qu’a sortir de toutes les drogues illégales. Par la suite, en janvier 1988 le comité de la sûreté des médecines a finalement publié un « avertissement sur la dépendance aux benzodiazépines et des symptômes de sevrage ». Les médecins ont été averti que les benzodiazépines ne devraient pas être employées pendant plus de quatre semaines, et ont averti que l’utilisation chronique à long terme n’a pas été recommandée.  Mais il était trop tard pour des millions de patients. Le gouvernement, l’industrie pharmaceutique et la profession médicale auraient du agir quinze ans plus tôt – quand l’évidence a été rendue disponible la première fois . La profession médicale avait créé le plus grand problème de dépendance aux médicaments qui allait provenir du vingtième siècle. Tristement, égaliser aujourd’hui, trois ans ensuite que l’annonce officielle, je recevais toujours des lettres journalières de patients britanniques  a qui l’ont a prescript des tranquillisants de benzodiazépine et les traductions de mes articles et livres concernant des benzodiazépines ont prouvé que le problème de benzodiazépine est seulement juste émergent dans beaucoup d’autres pays. Le plus alarmant de tous, peut-être, est le fait que la profession médicale, les politiciens et les compagnies de drogue semblent n’avoir appris peu ou rien de l’histoire tragique de benzodiazépine. Je crois fermement que n’importe quel médicament prescrit pour l’inquiétude s’avérera par la suite provoquant une dépendance, mais il me semble que ni des médecins ni les compagnies de drogue ne sont disposés à abandonner la recherche d’une solution pharmacologique profitable à l’inquiétude. Le résultat est, je craignent, qu’à l’avenir les problèmes liés aux benzodiazépines soient répétés à maintes reprises. Les benzodiazépines ont causé infiniment plus de douleur et de désespoir que toutes les drogues illégales ,mais les gouvernements et les législateurs ont été tellement plus concentré sur les drogues illégales telles que l’héroïne, cocaïne et cannabis qu’ils ont unanimement pas agis ni prorèger les patients jusqu’à ce que d’énormes quantités de dommages inutiles aient été faites. Les avertissements efficaces sur les barbituriques sont venues une décennie trop tard et l’avertissement significatif au sujet des benzodiazépines également est bien venu une décennie trop tard. Les politiciens et les législateurs ont vraisemblablement supposé que parce qu’un médicament est disponible pour la prescription celui-ci doit être sûr. S’ils avaient mis un pour cent de l’effort qui est entré dans une tentative de stopper la contrebande de drogue illégale dans des textes reglementant la promotion et la prescription des benzodiazépines le public aurait bénéficié au delà de toute la mesure. des drogues Myth (1992) par DR Vernon Coleman
the drug myth
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la dangerosité des drogues

 C’est le premier classement fondé sur des preuves scientifiques de dommage à la fois les individus et la société.  Il a été conçu par des conseillers du gouvernement

 Le gouvernement britannique a commandé aux psychopharmacologist professeur David Nutt neuroscientifique et professeur Colin Blakemore de classer les drogues récréatives par leur dangerosité.

http://translate.google.com/translate?sourceid=navclient&hl=fr&u=http%3a%2f%2fwww.independent.co.uk%2flife-style%2fhealth-and-families%2fhealth-news%2fdrugs-the-real-deal-410086.html

1. Héroïne
2. Cocaïne
3. Barbituriques (Dépresseur ralentissant l’activité du système nerveux, comme l’alcool par exemple)
4. Methadone (des rues)
5. Alcool
6. Kétamine (Anesthésique rapide)
7. Benzodiazépine (hypnotiques, anxiolytiques, antiépileptiques, amnésiantes et myorelaxantes)
8. Amphétamine (Stimulant du système nerveux)
9. Tabac
10. Buprénorphine (Sert au sevrage des héroïnomanes)
11. Cannabis
12. Solvant
13. 4-MTA (4-methylthioamphetamine, une sorte d’ecstasy)
14. LSD
15. Méthylphénidate (Psychotrope agissant comme la cocaïne)
16. Stéroïde anabolique (Sport)
17. GHB (Drogue du violeur)
18. Ecstasy
19. Nitrites Alkyliques
20. Khat (feuilles séchées contenant des substances aux propriétés psychotropes provenant d’un arbuste africain)

Cependant nous proposons ce classement :

1.neuroleptiques

2. antidépresseurs

2. Barbituriques (Dépresseur ralentissant l’activité du système nerveux, comme l’alcool par exemple)
3. Benzodiazépine (hypnotiques, anxiolytiques, antiépileptiques, amnésiantes et myorelaxantes)
4. Methadone
5. Héroïne
6. Cocaïne
7. Alcool
8. Kétamine (Anesthésique rapide)
9. Amphétamine (Stimulant du système nerveux)
10. Tabac
11. Buprénorphine (Sert au sevrage des héroïnomanes)
12. Cannabis
13. Solvant
14. 4-MTA (4-methylthioamphetamine, une sorte d’ecstasy)
15. LSD
16. Méthylphénidate (Psychotrope agissant comme la cocaïne)
17. Stéroïde anabolique (Sport)
18. GHB (Drogue du violeur)
19. Ecstasy
20. Nitrites Alkyliques
21. Khat (feuilles séchées contenant des substances aux propriétés psychotropes provenant d’un arbuste africain)

association d’Héroïne et de Rohypnol : C’est le Rohypnol qui est dangereux !

“Le Rohypnol, c’est encore pire que l’héroïne. Le sevrage est encore plus difficile et cela rend fou ! « 

http://asso.nordnet.fr/gt-nord/rflexion/rohypcm.html

« ce que les usagers ne savent pas c’est que l’abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement. »

M. Emafo Président de l’OICS.

http://www.incb.org/pdf/f/press/2007/annual-report-press-kit-2006-fr-4.pdf

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L’obligation de déclaration s’impose à tout médecin

Question n° 37402

Surconsommation de psychotropes
Question posée au ministre de la Santé, publiée au J.O. le 13/04/2004, p. 2919 ; réponse publiée au J.O. le 28/12/2004, p. 10522

M. Noël Mamère souhaite attirer l’attention de M. le ministre de la santé et de la protection sociale sur l’abus de médicaments, notamment de psychotropes dont notre pays est l’objet. En effet, la France est le plus gros consommateur de ce genre de produits au monde. Cela crée pour de nombreux Français une dépendance à ces tranquillisants, hypnotiques ou antidépresseurs, les obligeant à tromper les acteurs du système de santé pour se procurer leur dose quotidienne. Pour certains, c’est 30 médecins ou pharmaciens dans le mois et 20 à 30 comprimés par jour. Les hypnotiques sont les plus recherchés mais les benzodiazépines sont également très demandées. Les conséquences individuelles et collectives sont les mêmes que pour les drogues dites illicites, à la différence qu’elles sont remboursées par l’assurance maladie et que la recherche de médicaments psychotropes n’est pas faite en cas d’accident de la voie publique… Aucune prise en charge structurée pour ces patients dépendants aux médicaments psychotropes n’est véritablement en place. Pourtant, cette dépendance peut d’ores et déjà être déclarée aux centres d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance (CEIP) qui constituent des émanations régionales de l’Afssaps. Le formulaire qui permet cette déclaration mise en place par les CEIP permet de respecter l’anonymat du patient. Pour autant, cette déclaration n’est toujours pas légalement possible, car on attend toujours, près de cinq ans après sa parution, l’arrêté ministériel évoqué dans l’article R. 5219-15 du code de la santé et qui en définirait les modalités. La gravité et la prévalence de la dépendance aux médicaments psychotropes sont en partie méconnues en France. A l’heure actuelle, les bases de données de l’assurance maladie permettent le repérage de ces patients mais l’absence de ce texte interdit aux médecins-conseils de la sécurité sociale toute déclaration aux centres de pharmacodépendance. Il souhaite donc connaître les mesures qu’il compte prendre afin de mettre un terme à cette situation.

Texte de la REPONSE : Selon la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT), qui a réalisé un point sur la consommation de médicaments psychotropes en France en 2002 (sources : EROPP 2002, OFDT et Baromètre santé 2000, INPES, exploitation OFDT), l’usage de médicaments psychotropes en 2002 concernait 14,1 % des hommes et 25,3 % des femmes. La consommation de tranquillisants ou de somnifères s’avère relativement fréquente au sein des générations les plus âgées : elle concerne une femme sur cinq et un homme sur dix parmi les 55-75 ans. Au cours des dix dernières années, les indicateurs de consommation sont restés relativement stables pour les anxiolytiques et les hypnotiques. En revanche, la tendance pour la consommation d’antidépresseurs est en nette augmentation. Ces consommations de médicaments psychotropes peuvent être à des fins thérapeutiques ou à usage détourné. Selon l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), la frontière entre ces deux types de consommations est difficile à observer. Les médicaments psychoactifs étant en général pris en charge par l’assurance maladie, les données issues de l’exploitation des ordonnances présentées aux organismes d’assurance maladie pourraient fournir des renseignements utiles. Les limites de ces données tiennent à la représentativité imparfaite des populations couvertes par ces organismes et au fait qu’ils ne prennent en compte que les prescriptions effectuées en médecine ambulatoire. Par ailleurs, le caractère polymorphe et la difficulté de définition précise de la dépression et de l’anxiété rendent particulièrement délicate l’étude de l’adéquation entre prescription et diagnostic, et donc l’observation des consommations excessives des médicaments psychoactifs. Il est difficile de distinguer, parmi l’ensemble des consommations celles qui sont excessives ou qui induisent une dépendance. La seule piste explorée jusqu’à présent repose sur l’étude de l’adéquation entre pathologies et prescriptions : ainsi, une enquête réalisée par la CANAM en 1996 suggère que les durées des prescriptions sont globalement respectées (depuis 1991, la durée des prescriptions des tranquillisants et des somnifères est limitée pour que le médecin évalue régulièrement l’intérêt du traitement : quatre semaines pour les somnifères, douze semaines pour les tranquillisants), mais que les ordonnances sont souvent renouvelées, l’arrêt de ces traitements étant d’autant moins envisagé par le patient qu’il est âgé et qu’une précédente tentative de sevrage s’est traduite par un échec. Les centres d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance (CEIP) disposent de données issues notamment de la notification dite spontanée (il s’agit en fait d’une déclaration obligatoire, prévue par l’article R. 5219-13 du code de la santé publique), réalisée par les professionnels de santé, directement auprès de ces centres, voire par l’intermédiaire des centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) auxquels ces professionnels sont plus accoutumés, ces deux réseaux gérés par l’Afssaps travaillant en coordination. Ces données sont transmises par l’intermédiaire du dispositif TREND (Tendances récentes et nouvelles drogues) à l’Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT). La mutualisation des données dont disposent les caisses d’assurance maladie et les CEIP, encore ponctuelle (réalisation d’enquêtes spécifiques), devrait effectivement évoluer vers une information réciproque plus systématique. Cela passe notamment par la déclaration aux CEIP des cas identifiés par les médecins-conseils de l’assurance maladie. L’obligation de déclaration s’impose à tout médecin, l’article R. 5219-13 du code de la santé publique (CSP) ne subordonnant pas cette obligation à la publication d’un arrêté. Le fait que les modalités de déclaration n’aient pas encore été fixées par l’arrêté du ministre chargé de la santé, pris sur proposition du directeur général de l’Afssaps, prévu à l’article R. 5219-15 ne dispense en rien les médecins de cette obligation. Pour l’heure, le modèle de déclaration devant figurer dans cet arrêté fait encore l’objet de réflexions afin de garantir parfaitement l’anonymat du patient. Dans l’intervalle, la déclaration peut être effectuée soit sur papier libre, soit à partir d’un modèle provisoire que l’Afssaps diffuse sur son site Internet.

Rappel :

Décret n° 95-278 du 13 Mars 1995 : « Tout médecin, chirurgien-dentiste ou sage-femme ayant constaté un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d’être dû à un médicament ou produit, qu’il l’ait ou non prescrit, doit en faire la déclaration immédiate au centre régional de pharmacovigilance. » « De même, tout pharmacien ayant eu connaissance d’un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d’être dû à un médicament qu’il a délivré doit également le déclarer aussitôt au centre régional de pharmacovigilance. » « Tout membre d’une profession de santé ayant fait la même constatation peut également en informer le centre régional de pharmacovigilance. » (Article R-5144-19).

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HAS et benzodiazépines : risques supérieurs aux bénéfices

une surprescription et une consommation prolongée des benzodiazépines (médicaments  anxiolytiques et hypnotiques) dans les troubles du sommeil et de l’anxiété, alors que les risques liés à ces médicaments sont supérieurs aux bénéfices

http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/qr_ameliorer_prescip_psychotropes_personne_agee.pdf

Les bénéfices

BRAND NAME CONSUMER PRICE
(For 100 tabs/caps)
COST OF GENERIC ACTIVE INGREDIENT
(For 100 tabs/caps)
PERCENT MARKUP Xanax 1mg $136.79 $0.024 569,958% Prozac 20 mg $247.47 $0.11 224,973% Norvasc 10 mg $188.29 $0.14 134,493% Tenormin 50 mg $104.47 $0.13 80,362% Prilosec 20 mg $360.97 $0.52 69,417% Vasotec 10 mg $102.37 $0.20 51,185% Prevacid 30 mg $344.77 $1.01 34,136% Claritin 10 mg $215.17 $0.71 30,306% Celebrex 100 mg $130.27 $0.60 21,712% Zoloft 50mg $206.87 $1.75 11,821% Keflex 250 mg $157.39 $1.88 8,372% Zithromax 600mg $1,482.19 $18.78 7,892% Lipitor 20 mg $272.37 $5.80 4,696% Zocor 40mg $350.27 $8.63 4,059% Paxil 20 mg $220.27 $7.60 2,898% Zestril 20 mg $89.89 $3.20 2,809%
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Rivotril

En accord avec l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (Afssaps),
le laboratoire Roche souhaite porter à votre connaissance des informations importantes destinées à favoriser le bon usage des spécialités RIVOTRIL® (clonazépam).
L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment céphalées, douleurs osseuses, neuropathiques, articulaires, analgésie post-opératoire), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil).
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L’analogie d’usage entre les médicaments prescrits pour la sphère mentale et les drogues de rue est frappante (Marc Jamoulle, MD)

« Ma grand-mère, du
Témésta, elle en a tant qu’elle veut. Son médecin lui en fait autant qu’elle
demande ». « Des médocs, il y en a toujours chez mois, mes vieux en
prennent tous les deux »

"Le sac du patient et le sac du tox ont des
similitudes frappantes. "



Ecraser

Raboter

Tranquillisants 

Antipsychotiques

et somnifères

 et connexes

 

 

Théralène (alimémazine)

Haldol (halopéridol)

Tranxène (clorazépatte)

Dipipéron (pipampérone)

Uni-tranxene

Dogmatil (sulpiride)

Lexotan (bromazépam)

Deanxit (flupentixol+mélitracène)

Clozan (clotizépam)

Orap forte (pimozide)

Valium (diazépam)

Clopixol (zuclopenthixol)

Procalmadiol (méprobamate)

Tremblex (dexétimide)

Rohypnol (flunitrzépam)

Vesalium (halopéridol +isopriamide)

Stilnoct (zolpidem)

 

 

 

Ranimer

Gagner du temps

Antidépresseurs

Placebos

Trazolan (trazodone)

Défatyl plus

Seroxat (paroxétine)

Sedinal

Vivalan retard (vilaxazine)

 

Pertrofan 25 (désipramine)

 

Prozac (fluoxétine)

 

Anafranil 25 (clomipramine)

 

 

  Tableau 1 Le Sac du
patient :Contenu du sac de médicaments d’une patiente polypsychiatrisée
vue en consultation de médecine générale, Gilly, Belgique, 1996.  Médicaments prescrits en 4 ans par trois
psychiatres et un généraliste

 

 

S’Ecraser

Se Raboter/Délirer

Opiacés, tranquillisants 

psychodysleptiques

et somnifères

 

 

LSD

Morphine

Psylocibine

Buprénorphine IV

DXM

Codéine

PCP

Méthadone

 

Héroïne

 

Cannabis

 

 Tranxène (chlorazépatte)

 

 Lexotan (bromazépam)

 

Clozan (clotiazépam)

 

Valium (diazépam)

Gagner du temps

Procalmadiol (méprobamate)

 

Rohypnol (flunitazépam)

 Méthadone

Vesparax (brallobarbital+hydroxyzine)

Buprénorphine

 

Codéine

s’animer /s’ECLATER

Dextropopoxyphène

 

Cannabis

Amphétamines

 

Cocaïne

 

XTC

 

 

  Tableau 2 Le sac du
tox : Essai de classement raisonné des substances utilisées

en
auto-médication de mal-être

Marc Jamoulle, MD,

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Témoignages sevrage benzodiazépines

Pour vendre leurs dangereuses drogues : Vos (dealers) médecins vous mentent !

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LE SYNDROME PROLONGE DE SEVRAGE AUX BENZODIAZEPINES

LE SYNDROME PROLONGE DE SEVRAGE AUX BENZODIAZEPINES

 

Publié dans
Comprehensive Handbook of
Drug & Alcohol Addiction 2004

Professeure C Heather Ashton, DM, FRCP
2004

School of Neurosciences
Division of Psychiatry
The Royal Victoria Infirmary
Queen Victoria Road
Newcastle upon Tyne NE1 4LP

 

Nous avons déjà abordé le problème des symptômes prolongés de sevrage aux benzodiazépines (1,2). Ce chapitre propose une mise à jour de ces articles et comprend de nouveaux résultats de recherche.

Pour certains utilisateurs chroniques de benzodiazépines, le sevrage peut être un processus très long. Une importante minorité d’utilisateurs, qui avoisine les 10 à 15% (3), développe un syndrome prolongé de sevrage (4) pouvant durer des mois, voire des années. Ce syndrome, qui n’est naturellement pas une pathologie en soi, est vraisemblablement le produit d’une association de facteurs pharmacologiques et psychologiques en lien tantôt direct, tantôt indirect avec l’usage de benzodiazépines. Ce syndrome inclut (1) des symptômes pharmacologiques de sevrage, qui impliquent la réadaptation lente des changements induits directement par les benzodiazépines au niveau des récepteurs du cerveau (1,5 – 7) et (2) des symptômes psychologiques, qui résultent indirectement de l’usage prolongé des benzodiazépines, et incluent la révélation de capacités amoindries à gérer le stress et d’autres difficultés personnelles.

Ces symptômes se fondent en un tableau clinique complexe, compliqué d’autant par (3) la réapparition de l’anxiété ou de la dépression préexistante et (4) peut-être aussi par les effets neurologiques à long terme des benzodiazépines (1), qui sont mal connus.

Ainsi, le syndrome de sevrage aux benzodiazépines dans son ensemble est aussi difficile à définir et à identifier que l’est un accès de grippe, lequel peut être caractérisé par une superposition de pathologies diverses, comme une toxémie d’origine virale, une infection bactérienne secondaire, une dépression post-virale prolongée et des atteintes somatiques comme la cardiomyopathie.

Néanmoins, le fait de savoir que des symptômes peuvent être prolongés est important pour les praticiens en charge du sevrage aux benzodiazépines de leur patient. La façon dont le sevrage initial est mené peut également minimiser l’incidence, la sévérité et la durée des symptômes de sevrage prolongés et améliorer les chances de guérison.

I. LA PHASE AIGUE DE SEVRAGE

Il est généralement admis que la phase aiguë de sevrage “pharmacologique” aux benzodiazépines dure entre 5 et 28 jours, avec un pic de sévérité après deux semaines de sevrage, période après laquelle la plupart des symptômes reviennent au niveau qui précédait le sevrage (8-14). Cet ensemble de symptômes inclut des symptômes communs à tous les états d’anxiété, mais certains sont atypiques et considérés comme étant assez spécifiques au sevrage aux benzodiazépines (tableau 1).

Tableau 1. Symptômes courants de sevrage aux benzodiazépines

Symptômes communs à tous les états d’anxiété

Symptômes moins couramment rencontrés lors des cas d’anxiété et relativement spécifiques au sevrage aux benzodiazépines

Anxiété, attaques de panique, agoraphobie

Distorsions perceptuelles, impression de mouvement

Insomnie, cauchemars

Dépersonnalisation, déréalisation

Dépression, dysphorie

Hallucinations (visuelles, auditives),
perceptions faussées

Excitabilité, agitation, nervosité

Distorsion de l’image corporelle

Pertes de mémoire et faible capacité de concentration

Picotements, engourdissements, sensations altérées

Vertiges, étourdissements

Formication

Faiblesse, « jambes de coton »

Hypersensibilité sensorielle (lumière, bruit, goût, odeur)

Tremblements

Spasmes musculaires, fasciculation

Douleurs musculaires, raideur (membres, dos, cou, mâchoire, tête)

Acouphènes

Sueurs, suées nocturnes

*Confusion, délire

Palpitations

*Convulsions

 

*Symptômes psychotiques

*Habituellement circonscrits au sevrage rapide de doses élevées de benzodiazépines

Toutefois, la durée de cette phase aiguë a probablement été sous-estimée. En premier lieu, la plupart des études cliniques ne durent pas au-delà de 4 à 8 semaines après le sevrage, et l’évolution des symptômes qui peuvent perdurer n’est pas surveillée. En second lieu, la plupart des études n’incluent pas les expériences de rechute, alors que la raison de la rechute est souvent la persistance des symptômes. En effet, la persistance de hauts niveaux d’anxiété au-delà de 28 jours est souvent interprétée non comme un effet du sevrage, mais comme la réémergence d’un état d’anxiété préexistant, qui était maîtrisé par la benzodiazépine (14, 15), et a souvent comme conséquence le rétablissement du traitement aux benzodiazépines. Enfin, il est admis que le retour d’un niveau d’anxiété comparable au niveau précédant le sevrage, pour les patients qui ont réussi à se sevrer, correspond à la fin du syndrome de sevrage aux benzodiazépines.

Certaines données cliniques ne confirment pas ces hypothèses. L’observation de patients suivis sur des périodes plus longues suggère qu’il faut compter, chez certains individus tout au moins, un délai de 6 à 12 mois pour que disparaissent complètement (8,16 – 23) les symptômes typiques de sevrage aux benzodiazépines, ainsi les paresthésies, l’hypersensibilité sensorielle, les spasmes musculaires, les acouphènes, ainsi que d’autres symptômes moins spécifiques tels que l’anxiété, l’insomnie ou la dépression.

L’interprétation des symptômes préexistant au sevrage pose également problème. Les patients qui sont candidats au sevrage ont souvent des symptômes typiques de sevrage aux benzodiazépines, ainsi qu’une anxiété très importante, alors même qu’ils sont encore sous traitement (1,21). Bien que ces symptômes puissent revenir au niveau précédant le sevrage quelques semaines après un pic de sevrage aigu, les observations postérieures démontrent qu’une amélioration peut encore être constatée dans les mois suivants. Même sans traitement spécifique, ils peuvent atteindre des niveaux bien en deçà du niveau d’anxiété préexistant au sevrage, permettant parfois même à des patients de reprendre le cours normal de leur vie après des années d’incapacité (1,19,21).

 

II. LA PHASE PROLONGEE DE SEVRAGE

La phase aiguë de sevrage peut se fondre imperceptiblement en une phase plus prolongée au cours de laquelle les symptômes diminuent progressivement mais peuvent réapparaître par vagues (16,21) ponctuées de fenêtres de normalité qui se multiplient en fréquence et en durée jusqu’à une guérison éventuelle, quoique parfois incomplète. D’après les données actuellement disponibles, les symptômes qui sont le plus susceptibles de durer sont l’anxiété, l’insomnie, la détérioration cognitive, la dépression, un certain nombre de phénomènes sensoriels et moteurs et des perturbations gastro-intestinales (Tableau 2).

Table 2. Symptômes prolongés de sevrage aux benzodiazépines

Symptômes

Durée habituelle

Anxiété

Diminution progressive en un an

Insomnie

Diminution progressive en 6 à 12 mois

Dépression

Quelques mois : répond au traitement par antidépresseur

Détérioration cognitive

Amélioration progressive mais peut durer un an ou plus et être occasionnellement incomplète

Symptômes perceptuels
Acouphènes
Paresthésies – picotements

Engourdissement, douleurs, habituellement dans les membres et les extrémités

Disparition progressive, mais peuvent durer au moins un an et occasionnellement persister à jamais

Symptômes moteurs
Douleurs, faiblesse, tension musculaire, spasmes douloureux, tremblements, contractions, blépharospasme

Disparition progressive, mais peuvent durer au moins un an au moins et occasionnellement persister à jamais

Symptômes gastro-intestinaux

Disparition progressive, mais peuvent durer au moins un an et occasionnellement persister à jamais

A. Anxieté

L’anxiété persistant après la phase aiguë du sevrage peut être en partie dûe à la révélation d’un défaut d’apprentissage causé par les benzodiazépines. Ces médicaments causent des déficiences cognitives (23,24) et détériorent en particulier les stratégies de gestion du stress. Par exemple, Gray (25) et d’autres ont montré que les traitements comportementalistes de l’anxiété, y compris ceux visant à traiter l’agoraphobie, sont en général inefficaces tant que les patients prennent des benzodiazépines, mais deviennent plus efficaces lorsque le traitement est arrêté. Les patients peuvent avoir une faculté amoindrie à gérer les situations stressantes longtemps après le sevrage aux benzodiazépines. Une guérison complète peut nécessiter l’apprentissage de nouvelles stratégies pour remplacer les années de gestion par des moyens pharmacologiques.

En outré, le sevrage aux benzodiazépines peut révéler des problèmes de la vie du patient qui n’ont jamais été résolus. Tyrer (26) souligne, par exemple, que l’effet amnésique des benzodiazépines peut empêcher la résolution de stress personnels tels que le deuil. La nécessité de faire face à ces stress enfouis ou à demi oubliés à l’issue du sevrage peut prolonger l’anxiété et la dépression. Inversement, l’anxiété peut être aggravée par le souvenir d’une tentative antérieure de sevrage traumatisante, conduisant à des symptômes comparables à ceux du syndrome de stress post-traumatique (cauchemars et flashbacks).

Ainsi, la persistance ou l’aggravation de l’anxiété après le sevrage n’implique pas nécessairement la réémergence d’un état d’anxiété existant avant le sevrage. En effet, certains patients font, pour la première fois, l’expérience d’attaques de panique majeures et d’agoraphobie à l’occasion du sevrage, et peuvent développer temporairement un niveau d’anxiété plus sévère que celui qui existait lorsque les médicaments leur avaient été prescrits initialement. Néanmoins, ces symptômes tendent à diminuer de façon progressive après quelques mois, même sans traitement particulier, bien que le processus puisse être accéléré grâce à un soutien psychologique approprié.

B. Insomnie

Les benzodiazépines perturbent les cycles normaux du sommeil, en supprimant le sommeil lent, le sommeil paradoxal, et les rêves. L’arrêt des benzodiazépines engendre souvent une insomnie de rebond (27), et parfois des cauchemars et autres perturbations, notamment un syndrome des jambes sans repos, des myoclonies nocturnes, et des hallucinations hypnagogiques. Les perturbations du sommeil peuvent faire partie d’un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines mais subsistent rarement comme symptôme isolé. Quelques mois peuvent s’écouler avant qu’un rythme de sommeil normal soit rétabli.

C. Dépression

Bien que la dépression soit courante chez les usagers chroniques de benzodiazépines et puisse être aggravée par le traitement (23), elle est également un symptôme de sevrage à part entière (8-21). Les symptômes dépressifs peuvent apparaître pour la première fois après le sevrage, souvent quelques semaines après, et peuvent être sévères et prolongés des mois durant. Des suicides ont été signalés dans certaines études. Par exemple, parmi 50 patients en sevrage aux benzodiazépines (21), un patient s’est suicidé, trois patients ont développé des troubles dépressifs sévères, et 17 patients ont souffert d’une dépression suffisamment sévère pour nécessiter un traitement antidépresseur.

Il n’est pas établi que la dépression consécutive au sevrage serait la résultante directe de l’action pharmacologique des benzodiazépines, comme une diminution des niveaux de sérotonine, mais elle répond aux traitements antidépresseurs et disparaît après quelques mois. Aucune étude ne permet de savoir si elle peut revenir des années plus tard ou non.

D. Détérioration cognitive

Il est admis depuis longtemps que les benzodiazépines provoquent une détérioration cognitive, et notamment des troubles de la mémoire, même lorsqu’elles sont utilisées à doses thérapeutiques pour le traitement de l’anxiété ou de l’insomnie. L’acquisition d’informations nouvelles est déficiente, un effet probablement dû en partie à l’action sédative. Toutefois, certains effets amnésiques semblent être sans rapport avec la sédation (24). La mémoire épisodique (le souvenir d’événements récents) est particulièrement affaiblie, tandis que la mémoire somatique (mémoire des mots), la mémoire immédiate et la capacité à faire réémerger de vieux souvenirs sont relativement peu affectées. Des défauts particuliers dans la capacité visuelle et spatiale, ainsi que la difficulté à maintenir une attention soutenue ont également été décrites chez des usagers de long terme de benzodiazépines à dose thérapeutique (28).

Contrairement à la tolérance aux effets sédatifs des benzodiazépines, qui est développée rapidement, et à la tolérance aux effets anxiolytiques, qui apparaît plus lentement, une tolérance totale aux effets amnésiques et autres détériorations cognitives ne semble pas se développer,  même après plusieurs années d’usage chronique. De nombreuses études portant sur des usagers de long terme de benzodiazépines ont démontré des défauts d’apprentissage, de mémoire, d’attention et de capacité visuelle et spatiale (24,29 – 34). Ces effets sont plus prononcés chez les personnes âgées (35) et chez les grands buveurs (36).

Les capacités cognitives sont recouvrées progressivement après le sevrage aux benzodiazépines mais ce processus peut être lent et même incomplet, la détérioration cognitive persistant comme symptôme de sevrage prolongé aux benzodiazépines. L’amélioration des capacités cognitives après le sevrage aux benzodiazépines a été constatée chez des pensionnaires de maison de retraite (37) et chez des patients âgés sevrés d’hypnotiques après un traitement de long terme (38). Cependant, un certain nombre d’auteurs ont rapporté que les déficits cognitifs pouvaient persister chez des patients anxieux plusieurs semaines après le sevrage (39), même s’ils n’étaient plus apparents après trois ans et demi (40). Gorestein et al. (33) ont montré que le recouvrement des fonctions mémorielles et du fonctionnement psychomoteur pouvait être incomplet 10 mois après le sevrage aux benzodiazépines et Tata et al. (32) ont constaté une très faible amélioration des fonctions de la mémoire épisodique six mois après le sevrage aux benzodiazépines chez des utilisateurs chroniques. Bergman et al (41) et Borg (42) ont signalé que le recouvrement des capacités neuropsychologiques chez certains patients dépendants de hautes doses de benzodiazépines (qui n’avaient pas de problèmes d’alcool) pouvait être incomplet, un an et six ans après le sevrage. Curran et al. (38) mettent en avant l’hypothèse selon laquelle l’usage des benzodiazépines peut aggraver la détérioration cognitive liée à l’âge, et qu’il pourrait également contribuer aux changements induits par la consommation chronique de l’alcool dans le cerveau (36).

E. Symptômes moteurs et symptômes liés à la perception

Le tableau 1 dresse une liste de symptômes moteurs et symptômes perceptuels qui sont caractéristiques du sevrage aux benzodiazépines. Ces symptômes disparaissent en général après la phase aiguë du sevrage, mais peuvent parfois durer plus longtemps.

 1. Acouphènes

Les acouphènes peuvent résulter, à l’origine, d’une hypersensibilité sensorielle générale constatée tôt dans le sevrage, mais ils peuvent persister après la disparition des autres symptômes. Busto et al. (43) décrivent deux cas d’acouphènes persistant 6 et 12 mois après le sevrage aux benzodiazépines, et ils évoquent le cas d’un patient qui n’a pas réussi à se sevrer en raison de la persistance d’acouphènes sévères lors de chaque tentative. 

Ashton (1) signale quatre cas d’acouphènes unilatéraux ou bilatéraux apparaissant pour la première fois durant le sevrage aux benzodiazépines et persistant pendant plusieurs années. Trois de ces patients avaient de défauts acoustiques bilatéraux et symétriques, ce qui peut avoir causé ou aggravé leurs acouphènes. D’autres études de cas ont émergé, de façon sporadique, dans la littérature. Les acouphènes, qui sont généralement vécus comme localisés à un endroit précis, peuvent atteindre des niveaux presque intolérables. Un patient a décrit ses acouphènes comme une « aiguille de son » transperçant profondément sa tête.

2. Paraesthésies

Les fourmillements et engourdissements aux extrémités, au niveau du cuir chevelu ou du visage sont des symptômes communs au sevrage aux benzodiazépines, aux états d’anxiété et peuvent être associés à la spasmophilie. Ils peuvent être prolongés par une sensation persistante de piqûre d’aiguille (« pins and needles ») ou par une douleur sévère de type brûlure, sans cause neurologique avérée (5). Deux cas de ce type ont été décrits par Ashton (1)..

D’autres perturbations de la perception, notamment des sensations de mouvement, de vibration intérieure, et des impressions épidermiques anormales peuvent persister sans que soit détectée une quelconque psychopathologie.

3. Les symptômes moteurs :

L’accroissement de la tension musculaire, l’hyperréflexie, les tremblements, fasciculations et spasmes musculaires sont courants dans les premiers temps du sevrage. Ces symptômes peuvent être interprétés comme un effet rebond des propriétés myorelaxantes des benzodiazépines. Toutefois, un certain nombre de ces symptômes peuvent perdurer des mois ou des années, ainsi la tension, la faiblesse, les crampes musculaires, les frissons, les crises de tremblement, les spasmes musculaires et le blépharospasme (1,6). De même que pour les perturbations sensorielles, les symptômes moteurs prolongés ne sont pas nécessairement associés à de hauts niveaux d’anxiété ou à d’autres troubles de l’humeur.

4. Les symptômes gastro-intestinaux

Les symptômes gastro-intestinaux sont courants, à la fois lors de l’usage et du sevrage des benzodiazépines. Ils sont à rapprocher de la diarrhée nerveuse et du syndrome du côlon irritable, et peuvent être aggravés par l’hyperventilation (44). Ce type de symptômes est susceptible de disparaître après le sevrage mais est très courant chez les patients qui développent un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines. Les patients se plaignent de ballonnements, de douleurs abdominales, le plus souvent localisées au bas de l’abdomen, d’alternance de diarrhée et de constipation. Les symptômes semblent être aggravés par certains aliments, et les patients peuvent être convaincus qu’ils ont des allergies alimentaires ou souffrent de candidose intestinale, en dépit des résultats négatifs de leurs examens sanguins. Cependant, les phénomènes d’intolérance alimentaire et les réactions pseudo allergiques sont fréquents chez les spasmophiles, et peuvent être liés à la libération d’histamine (44).

La cause de ces symptômes lors du sevrage n’est pas clairement établie mais l’effet du sevrage aux benzodiazépines sur le fonctionnement gastro-intestinal et sur les réactions immunitaires mérite un examen attentif.

III. Les mécanismes pharmacologiques de la tolérance et des symptômes de sevrage

Les mécanismes pharmacologiques qui sous-tendent la tolérance et le sevrage sont encore mal compris. Le mode d’action des benzodiazépines est d’accroître l’activité du neurotransmetteur inhibiteur GABA (acide gamma-aminobutyrique) dans le système nerveux central, en interagissant avec les sites de récepteurs spécifiques situés sur le récepteur post-synaptique GABAa.

Toutefois, la découverte de l’existence de plusieurs types de récepteurs GABA a montré que les changements induits au niveau des récepteurs par l’administration chronique de benzodiazépines pouvaient être encore plus compliqués. Par exemple, un récepteur GABAa peut comprendre au moins 18 sous-unités (par exemple l’alpha1-6, le beta1-3 ou le gamma1-3) (45). La distribution dans le cerveau des différentes combinaisons de récepteurs, ainsi que leur affinité avec les agents qui exercent une action sur elles n’est pas la même (7). D’après des expériences d’extractions de gènes menées sur les souris, il semblerait aujourd’hui que les combinaisons contenant le sous-type alpha2 relayeraient les effets anxiolytiques des benzodiazépines ; que les combinaisons comprenant le sous-type alpha2 relayeraient les effets sédatifs et amnésiques, et que les combinaisons comprenant le sous-type alpha2 entre autres sous-types, relayeraient les effets anti-convulsivants (45). Une étude récente des mécanismes probables de la tolérance aux benzodiazépines (7) suggère que l’administration chronique de benzodiazépines provoque une série de réactions dans lesquelles le dédoublement du lien entre le GABAa et les sites de récepteurs aux benzodiazépines conduit à la dégradation spécifique de certaines unités des récepteurs GABAa. Celles-ci sont alors assimilées au neurone et transmettent à leur tour un signal pour que change la réponse génétique, ce qui engendre une adaptation homéostatique de long terme à la présence chronique des benzodiazépines. Il est possible que cet enchaînement se fasse en un temps qui varie suivant le sous-type de récepteur et ou la région du cerveau concernée, ce qui peut expliquer que la tolérance aux différents effets des benzodiazépines ne se développe pas au même rythme. Dans ce modèle, une fois que la tolérance s’est développée, le sevrage mettrait à nu toutes les altérations induites par les benzodiazépines au niveau des récepteurs GABA, qui ne sont plus neutralisés par la présence du traitement. La conséquence en serait une sous- activité des nombreux domaines où le fonctionnement du système nerveux central est normalement modulé par les mécanismes GABA-ergiques. Dans la mesure où le GABA est un inhibiteur universel d’activité neuronale et qu’il réduit la libération d’un grand nombre de neurotransmetteurs excitateurs (acétylcholine, noradrénaline, dopamine, sérotonine, glutamate) (46), cela conduirait à une poussée de l’activité nerveuse excitatrice. Il a été rapporté une libération accrue de dopamine, de noradrénaline et de sérotonine dans certaines régions du cerveau chez le rat durant le sevrage aux benzodiazépines, mené après une administration chronique. (47, 48). Cette libération de neurotransmetteurs excitateurs, conjuguée à un accroissement, en aval, de la sensibilité des récepteurs excitateurs, peut rendre compte de nombreux symptômes de sevrage aux benzodiazépines. Le réajustement des récepteurs GABA, modifiés lors du développement de la tolérance, peut se produire de façon lente après le sevrage, et à des rythmes variés (7), ce qui explique probablement que les symptômes de sevrage ne se déclarent pas au même moment et qu’ils ne soient pas de même durée selon chez tous les individus (1,18), ainsi que le fait que le syndrome de sevrage aux benzodiazépines puisse être parfois prolongé (1,2). Ainsi, le caractère durable des perturbations perceptuelles et musculaires décrites ci-dessus suggère que les benzodiazépines peuvent causer une hyperexcitabilité de long terme du système nerveux somatique.

Les résultats obtenus avec le flumazénil, un antagoniste compétitif des récepteurs aux benzodiazepines, démontrent que les transformations des récepteurs GABA sont impliquées dans la tolérance aux benzodiazépines et dans le sevrage aux benzodiazépines, y compris dans les symptômes prolongés. Bien que de faible envergure, deux études cliniques contre placebo ont prouvé que le flumazénil peut inverser ou atténuer les symptômes persistant après le sevrage aux benzodiazépines (6, 49). Lader et Morton (6) ont souligné qu’une administration intraveineuse de flumazénil soulageait rapidement les symptômes prolongés de sevrage persistant entre 5 et 42 mois après le sevrage aux benzodiazépines (y compris la tension musculaire, les paresthésies, la faiblesse musculaire, les crampes ou spasmes musculaires, les frissons et tremblements), alors que l’administration de saline n’apportait aucun soulagement.  L’amélioration des symptômes pouvait varier de 27 à 82%. L’anxiété, la dépression et les difficultés de concentration étaient également soulagées mais ceci pouvait être une conséquence de l’amélioration somatique.  Naturellement, le flumazénil peut provoquer des réactions de sevrage chez des patients sous traitement chronique de benzodiazépines (50-53), mais certaines études rapportent également qu’il peut réduire certains symptômes durant le sevrage chez des patients tolérants aux benzodiazépines (54-56). Nutt (5) examine les mécanismes probables de ces effets, par exemple le réajustement des récepteurs aux benzodiazépines.

IV. AUTRES MODIFICATIONS DU CERVEAU

Dans la mesure où la tolérance aux changements cognitifs et la guérison de la détérioration cognitive causée par l’usage de long terme des benzodiazépines sont incomplètes, et que certains symptômes neurologiques semblent persister indéfiniment, il est difficile d’expliquer ces symptômes en terme de réadaptation lente des récepteurs. Il est possible que certains changements au niveau des récepteurs ne soient pas totalement réversibles, mais on ne peut pas exclure que l’usage des benzodiazépines à long terme puisse créer des atteintes neurologiques permanentes.

Curran et al (38) avancent qu’un traitement chronique de benzodiazépines peut être impliqué dans le déclin cognitif lié à l’âge et la démence sénile, qui sont l’un et l’autre associés à la perte de cellules neuronales et à une atrophie corticale. L’hypothèse selon laquelle l’usage de long terme ou de hautes doses de benzodiazépines pourrait causer des atteintes structurelles au cerveau n’est pas établie sans équivoque. Deux études de scanners (tomographie axiale calculée par ordinateur) ont donné des résultats contradictoires (57,58). Cependant, une étude menée par Schmauss et Kried (59) a montré un élargissement significatif des ventriculaires cérébraux, lié à la quantité de benzodiazépines administrée à forte dose et de façon chronique à 17 patients qui n’avaient pas de problèmes d’alcool. Une autre étude basée sur l’examen de scanners (41) a signalé que certains sujets (7 patientes sur 29) qui avaient consommé de fortes doses de benzodiazépines montraient des signes d’atrophie cérébrale, cette incidence étant significativement plus importante que celle observée chez un échantillon de 200 sujets témoins féminins. Moodley et al. (60) ont observé des anormalités marginales sur des scanners (réductions de densité du lobe frontal du cerveau et d’autres régions) chez des usagers de long terme de lorazépam, mais pas chez les usagers de long terme de diazépam. Ces résultats sont difficiles à interpréter mais suggèrent que l’usage de long terme de lorazépam peut provoquer des changements neuroanatomiques mineurs. Toutefois, ces chercheurs précisent qu’aucune conclusion anatomique ou physiologique ne peut être tirée de cette étude pour le moment. Les travaux les plus récents (61) basés sur l’étude de scanners de 20 consommateurs de benzodiazépines de long terme, âgés de 23 à 59 ans, comparés à ceux de 36 témoins de même âge et de même sexe n’ont montré aucune différence dans l’atrophie cérébrale des deux groupes et ont conclu que l’administration de long terme de benzodiazépines ne provoque pas d’anormalités cérébrales qui seraient visibles sur scanner. Par conséquent, les données actuelles suggèrent que le risque d’atrophie corticale, s’il existe, concerne principalement les usagers de benzodiazépines à long terme et à forte dose, et peut être combiné à l’abus d’alcool.

Il est indispensable de mener des recherches complémentaires, appuyées sur des techniques d’imagerie médicales de pointe, pour confirmer ou infirmer l’hypothèse selon laquelle les benzodiazépines pourraient provoquer des lésions neurologiques permanentes.

 

V. IMPLICATIONS POUR LA GESTION DU SEVRAGE

Le traitement de la dépendance aux benzodiazépines doit prendre en compte le sevrage prolongé aux benzodiazépines, et le soutien thérapeutique ne doit pas être interrompu trop tôt (4). Les deux axes principaux d’une stratégie de sevrage réussie sont la réduction progressive de la dose et le soutien psychologique. Une gestion attentive du sevrage initial est importante car elle détermine la probabilité de succès du sevrage et, surtout, elle permet de réduire l’incidence et la sévérité des symptômes prolongés de sevrage.

A. La réduction de la posologie

Il est admis que la posologie doit être réduite progressivement chez les consommateurs de long terme de benzodiazépines. Le rythme du sevrage doit être adapté au style de vie du patient, ainsi qu’à sa personnalité, aux facteurs de stress environnementaux, aux raisons pour lesquelles il a pris des benzodiazépines, et au degré de soutien dont il dispose. Pour la plupart des patients qui prennent des benzodiazépines à doses thérapeutiques, le sevrage peut se faire en ambulatoire. Cette méthode, qui maintient le patient dans son propre environnement, permet de laisser les ajustements pharmacologiques et psychologiques se faire progressivement et permet également au patient de continuer le cours de sa vie tout en construisant des stratégies alternatives de gestion du stress.

Pour les usagers de doses élevées en revanche, une hospitalisation peut-être indiquée – le sevrage peut y être débuté, sous surveillance, à une vitesse plus élevée. Lorsque des doses plus modérées sont atteintes, le sevrage peut être poursuivi de la même façon que pour les usagers de doses thérapeutiques.

En règle générale, le sevrage des benzodiazépines à demi-vie longue, comme le diazépam, est plus facile – le diazépam étant par ailleurs disponible en faibles posologies. Il est conseillé de faire procéder, chez les patients prenant des benzodiazépines puissantes à élimination rapide, comme l’alprazolam,  à une substitution du diazépam. Des conseils détaillés concernant les protocoles de sevrage de différentes benzodiazépines sont proposés par Ashton (62) et fournis sur Internet à l’adresse www.benzo.org.uk. Contrairement à ce que l’on croit, les symptômes de sevrage ne sont pas inévitables si la réduction de posologie est menée de façon suffisamment progressive.

A l’heure actuelle, aucun élément ne permet de démontrer qu’il existe un traitement médicamenteux pouvant aider à prévenir ou soulager le syndrome de sevrage. Dans certains cas, les antidépresseurs, les bétabloquants (pour soulager les palpitations ou les tremblements), ou la carbamazépine (pour aider au sevrage de fortes doses de benzodiazépines) peuvent recevoir une indication (63). La buspirone est inefficace (17,20). Bien qu’il ait été utilisé avec succès lors de certains essais (54-56), le flumanézil n’est pas adapté à un usage chronique car il a une durée d’action courte et nécessite une administration intraveineuse. Le zopiclone, le zolpidem et le zaleplon sont contre-indiqués dans la mesure où ils ont le même mode d’action que les benzodiazépines, qu’ils engendrent de la dépendance et sont parfois détournés de leur usage thérapeutique. Il a été signalé que la gabapentine a été efficace chez un patient (64) mais ces résultats n’ont pour le moment pas été confirmés par des essais contrôlés.

B. Le soutien psychologique

Malgré une réduction de posologie très graduelle, certains patients dépendants des benzodiazépines peuvent développer des symptômes (Tableau 1), et un protocole de sevrage adapté devrait inclure une forme ou une autre de soutien psychologique. Le degré de soutien nécessaire dépend de chacun : pour certains, des encouragements et une information suffiront, tandis que d’autres auront besoin de thérapies cognitives et comportementales, ou d’autres types de thérapies. Les personnes souffrant de polytoxicomanie et faisant un usage abusif de fortes doses de benzodiazépines peuvent avoir besoin d’un traitement particulier pour régler certains aspects de leur toxicomanie, même si leur anxiété et leurs autres symptômes de sevrage sont similaires à ceux des usagers de doses thérapeutiques. Un soutien approprié devrait être disponible pendant la durée du sevrage, mais aussi durant une période prolongée par la suite.

Les patients qui ont le plus de mal à se sevrer et qui sont le plus vulnérables au syndrome de sevrage prolongé sont les patients qui avaient des niveaux élevés d’anxiété avant le sevrage, ceux qui ont des troubles de la personnalité, et ceux qui sont soumis à des facteurs de stress environnementaux. Toutefois, aucun de ces facteurs n’est une contre-indication au sevrage chez des patients motivés.

Malheureusement, aucun traitement ne s’est montré efficace pour les quelques patients qui développent des symptômes neurologiques prolongés, même si l’intensité de ces symptômes tend à diminuer au fil du temps. Dans la majorité des cas, on constate qu’un sevrage aux benzodiazépines mené lentement et avec un soutien bienveillant, a de grandes chances de bien aboutir. La plupart des patients se sentent mieux que lorsqu’ils prenaient des benzodiazépines, et constatent une amélioration de leur santé tant physique que mentale. (2,38,65).

Résumé et conclusions

Chez une minorité de patients, le sevrage aux benzodiazépines est suivi d’un syndrome prolongé de sevrage qui peut durer de nombreux mois. Ce phénomène peut être expliqué par des facteurs à la fois pharmacologiques et psychologiques. Parmi ces symptômes, on retrouve l’anxiété, l’insomnie, la dépression, la détérioration cognitive, et un ensemble de perturbations perceptuelles, motrices et gastro-intestinales. Le traitement initial de la dépendance aux benzodiazépines devrait prendre en compte la possibilité de survenue de ces symptômes prolongés, car ils peuvent être minimisés par une réduction graduelle de posologie et un lien thérapeutique de long terme, avec un soutien psychologique approprié.

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Effets à long terme des benzodiazépines
Un mécanisme qui pourrait être impliqué dans les effets à long terme (et peut-être permanents) des benzodiazépines est une altération de l’activité des récepteurs de benzodiazépines dans les neurones GABA du cerveau. Ces récepteurs régulent négativement (deviennent moins) à mesure que la tolérance aux benzodiazépines se développe avec une utilisation chronique. Une telle régulation à la baisse est une réponse homéostatique du corps à la présence constante des médicaments. Étant donné que les benzodiazépines elles-mêmes renforcent l’action du GABA, il n’est plus nécessaire de disposer de récepteurs de benzodiazépines supplémentaires, de sorte que bon nombre d’entre elles sont en réalité rejetées. Ces récepteurs régulés à la baisse sont absorbés par les neurones où, au fil du temps, ils subissent divers changements, notamment des altérations de l’expression des gènes. Lorsque ces récepteurs sont rétablis lentement après le retrait du médicament, ils peuvent revenir sous une forme légèrement modifiée. Ils ne seront peut-être plus aussi efficaces qu’avant pour augmenter les actions de GABA, le neurotransmetteur naturel «calmant». En conséquence, le cerveau peut être généralement moins sensible au GABA et l’individu se retrouve avec une excitabilité accrue du système nerveux central et une sensibilité accrue au stress. Les biologistes moléculaires soulignent que les changements dans l’expression des gènes peuvent être très lents, voire impossibles, à s’inverser. (L’action des benzodiazépines sur les récepteurs GABA est expliquée plus en détail dans le Manuel ).

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Liste de symptômes de sevrage aux benzodiazépines

Symptômes de sevrage aigu

Acouphènes

Agitation

Agoraphobie

Agressivité

Akathisie

Anxiété

Apathie

Ataxie (trouble de la coordination des mouvements)

Attaques de panique

Bouffées de chaleur

Cauchemars

Manque de souffle

Constipation

Convulsions (en cas de sevrage brutal)

Démangeaisons, peau sèche

Dépersonnalisation

Dépression

Déréalisation

Diarrhée

Distorsion de l’image corporelle, perceptions faussées

Douleurs dentaires

Dysphorie

Excitabilité

Faiblesse musculaire, « jambes en coton »

Fasciculations

Fibromialgie (symptome de)

Formication

Goût métallique dans la bouche

Hyperacousie (hypersensibilité au son)

Hypersensibilité sensorielle

Hyperosmie (odorat sensible)

Hyperthermie

Hyperventilation

Insomnie

Irritabilité

Jambe sans repos (symptome des)

Nausées

Nervosité

Obsessions

Palpitations cardiaques

Pensées intrusives

Perte de poids (peut être très rapide)

Perturbations sensorielles

Photosensibilité

Prise de poids

Rage irrationnelle

Sensation de brûlure au niveau du cuir chevelu

Sensation de choc électrique à travers le corps

Sensation d’étouffement

Sensation d’inconfort et d’oppression dans la poitrine

Spasmes (habituellement musculaires)

Sueurs, suées nocturnes

Symptômes psychotiques (habituellement temporaires et limités au sevrage rapide)

Tasikinésie

Tremblements

Vomissements

 Symptômes de sevrage “Cold Turkey” (arrêt brutal)

 Les symptômes suivants sont en général limités au sevrage par arrêt brutal ou au sevrage rapide à partir de doses élevées de benzodiazépines :

Crise d’épilepsie

Confusion

Convulsions

Délire

Hallucinations

Symptômes psychotiques

Symptômes de sevrage prolongé

Acouphènes

Anxiété

Akathisie

Apathie

Ataxie

Blépharospasme (saut de muscle de la paupière)

Brûlures d’estomac

Changement de couleur de l’iris

Constipation (alternant souvent avec la diarrhée)

Convulsions myocloniques (spasmes des muscles / des nerfs)

Crampes d’estomac

Crampes musculaires

Démangeaisons et douleurs des yeux

Dépersonnalisation

Dépression

Déréalisation

Déshydratation

Diarrhée (alternant souvent avec la constipation)

Douleurs articulaires

Douleurs dentaires

Douleurs dorsales

Douleurs mammaires

Dysphagie (gêne ou blocage de la déglutition)

Envies irrépressibles (« cravings »)

Faiblesse (des muscles et des os)

Fasciculations

Fibromialgie (symptômes de)

Formication (sensation d’avoir des insectes rampant sur la peau)

Fluctuations de la tension

Fluctuations de la libido

Gastrite

Hyperacousie

Hyperesthésie (hypersensibilité sensorielle)

Hyperosmie

Infections fongiques (du type candidose)

Insensibilité de la peau

Insomnie

Irrégularité menstruelle

Kakosmie (impression de sentir des odeurs nauséabondes)

Leukonychie (coloration des ongles par tâches blanches)

Maux de tête sévères

Nausée

Oedèmes (habituellement des chevilles ou du visage)

Oesophagite

Palpitations cardiaques

Paresthésies (engourdissement, brûlures et picotement, douleurs d’aiguilles)

Perte de cheveux

Perte de concentration

Perte de mémoire à court terme

Perturbations visuelles (vision floue, double, ou images très vives, éclatantes)

Problèmes neurologiques (anesthésie topique)

Pupilles minuscules

Réactions allergiques

Regard vitreux

Rétention d’eau

Rigidité musculaire

Sensation de choc électrique dans le corps

Sensation de brûlure dans la colonne vertébrale

Sinusite

Soif

Spasmes musculaires

Symptômes grippaux

Tension musculaire anormale

Toux sèche, irritante

Transpiration excessive et suées nocturnes

Tremblements

Troubles de l’équilibre (le sol semble bouger sous les pieds)

Troubles urinaires (vessie hyperactive / ou le contraire)
Vertige

Vomissements

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témoignage de corinne (France)

 J’avais 26 ans quand en novembre 2004 j’ai décidé d’arrêter de fumer. Je me sentais très bien dans mes baskets, j’avais une vie intellectuelle, sociale et professionnelle très riche, beaucoup d’amis, beaucoup de hobbies, un petit copain adorable, une famille formidable, mais j’avais cette vilaine habitude qui me contrariait beaucoup (j’en avais assez de l’odeur, de la dépendance, et je pensais que c’était le bon moment pour arrêter puisque tout allait bien dans ma vie).

J’ai donc arrêté de fumer à l’aide de patchs mais sans suivi médical. Après la première semaine, je n’ai pas rencontré de difficultés particulières, mais au printemps de 2005 j’ai ressenti le manque de façon plus pernicieuse (je dormais mal, me réveillais la nuit et rêvais de cigarettes, et j’étais assez nerveuse). J’ai consulté une généraliste qui m’a prescrit de l’Effexor, que je n’ai pris qu’une semaine car il me rendait extrêmement malade. On m’a finalement prescrit Seropram (un antidépresseur) pour me détendre et Lexomil pour m’aider à dormir.

Au départ je me plaignais uniquement de troubles de la mémoire et d’anorgasmie, je me rappelle avoir pour cette raison évoqué la possibilité d’interrompre mon traitement, ce à quoi mon médecin m’avait répondu : certaines personnes doivent prendre ces médicaments à vie.

Après quelques mois de traitement j’avais recommencé à fumer et surtout mon état psychologique s’était sévèrement dégradé (modification de ma personnalité, avec anxiété très forte, dépression, idées suicidaires, agressivité, obsessions, violence, hypomanie, insomnie sévère etc.). Cette aggravation de mon état était interprétée par mon médecin généraliste (et par moi-même) comme un besoin de traitement (et non pas comme un effet secondaire de ce même traitement),

Malheureusement chez moi la dépendance s’est installée très rapidement avec accoutumance, ce qui fait qu’après quelques mois j’avais besoin d’augmenter les doses pour obtenir un répit, et surtout que je souffrais le martyr toutes les fois que j’essayais de limiter ma consommation ou de l’arrêter.

En janvier 2006, désespérée de ne jamais venir à bout de cette dépendance, je suis allée consulter un psychanalyste – je pensais que j’avais une prédisposition PSYCHOLOGIQUE à la dépendance vu que je n’avais pas réussi à arrêter de fumer – et il m’a envoyée me faire traiter par une psychiatre qui a remplacé le Lexomil … par le Rivotril !!! A l’époque je n’avais aucune idée de ce qu’étaient les benzodiazépines et une confiance absolue en la compétence des médecins. Au fil des mois, les symptômes ont continuer à s’aggraver (dépression sévère, apparition de l’agoraphobie, anxiété redoublée, repli complet sur soi) mais à nouveau cette aggravation a été interprétée comme endogène (et pas liée aux benzodiazépines.

En février 2007, j’ai constaté que je commençais à augmenter les doses de Rivotril (sur une semaine, de 2-3 mg je suis passée à 4-5mg) pour pouvoir trouver le sommeil avant d’aller au travail (je ne dormais à l’époque plus que deux heures par nuit. Me rendant compte que je faisais la même chose qu’avec le Lexomil, j’ai eu une sorte d’illumination et je me suis dit : c’est peut-être le Rivotril qui m’empêche de dormir. J’étais en vacances (scolaires car je suis prof) et ma psy était d’accord pour que j’essaie de me sevrer ; j’ai donc arrêté le Rivotril sur 4 – 5 jours, pensant que l’arrêt me causerait quelques nuits blanches pendant deux semaines maxi.

Et là !! Catastrophe. En quelques jours … maux de tête extrêmement violents, tremblements, secousses de tout mon corps, sueurs, attaques de panique, impression que les immeubles me rentrent dans les yeux, tous les bruits m’agressent, agoraphobie extrême (incapable de sortir de mon appart, même sur le palier), spasmes très violents à l’estomac, nausées, vomissements, diarrhées, évanouissements, confusion extrême. Jointe par téléphone, ma psy dit que j’ai une gastro-entérite, le médecin de SOS médecins me fait une piqûre de Primperan, et je reprends le Rivotril à 0,5mg (car mes parents découvrent le manuel Ashton qui dit de diminuer tout doucement, mais je ne veux pas perdre le bénéfice de ces quelques jours de sevrage … je pensais encore que ça ne durerait que quelques jours /semaines).

A 0,5mg je suis retournée travailler ; j’ai tenu une semaine ou deux – j’étais totalement inapte, persuadée que les élèves se moquaient de moi, j’avais peur d’eux, je suais à grosses gouttes sur le bureau, j’avais l’impression que les murs le sol tout vacillait autour de moi, je ne me souvenais plus des prénoms de mes élèves, je corrigeais n’importe comment les copies, je pleurais à tout bout de champ, et j’ai fini par vomir en salle des profs devant tout le monde.

J’ai arrêté de travailler et commencé à diminuer lentement de 0,5 mg à 0,2 mg ; le calvaire a continué et a même empiré, toutes les fois que je diminuais le Rivotril un symptôme nouveau apparaissait, avec perte totale de mémoire longue et immédiate, perte de la faculté de lecture, d’écriture, de signature même de mon propre nom, je ne me reconnaissais pas dans le miroir, mes proches m’inspiraient une impression d’étrangeté folle, j’avais l’impression que mon corps n’était pas le mien, mes vêtements pas les miens, ma tête un ballon de foot, j’étais par ailleurs incapable de sortir seule, et très difficilement même accompagnée, et bientôt incapable de rester seule, je me cachais sous ma table, dans mon placard, si quelqu’un s’avisait de frapper à ma porte, la terreur, une paranoïa infernale, peur que les voisins m’entendent, et peur de les entendre aussi, les moindres bruits m’inspiraient une panique profonde, j’étais en sueur toute la nuit, je me mordais la langue tant mon sommeil était violent, mon coeur cognait dans tous les sens à tout instant, les mêmes symptômes en permanence, 24 heures sur 24, jusqu’à ce qu’en mai je voie ma première window (fenêtre de normalité où tous les symptômes disparaissent – ainsi nommée par le Professeur Ashton, GB) : j’étais redevenue moi-même, l’espace d’une demi-heure, la vieille Corinne, sans anxiété atroce, sans avoir le sentiment que tout allait s’effondrer dans la minute, capable de respirer normalement. Après des mois de souffrances continuelles, une deuxième window est venue me rassurer le 18 juillet, elle a duré 8 heures, et cette fois j’étais convaincue que c’était le médicament qui m’avait rendue malade comme ça (alors que la psychiatre disait que j’inventais ces symptômes, et le psychanalyste que je créais mes propres symptômes).

Arrivée à 0,20mg j’étais incapable de diminuer sans avoir des symptômes traumatisants, à mes hallucinations auditives (impression qu’on m’appelle, impression qu’on me chante quelque chose, impression qu’on me dit quelque chose, bruits familiers de l’enfance) se sont ajouté des hallucinations visuelles et surtout tactiles (chien qui me saute dessus, personne qui me touche, objets qui m’attaquent, etc.). C’était donc l’horreur que je prenne des benzos ou que je n’en prenne pas, donc le 4 septembre (après avoir été bloquée entre 0,11mg et 0,20 mg du 9 juin au 4 septembre) j’ai arrêté et j’ai vécu cinq semaines d’enfer plus grand encore (comme si c’était possible :-((((.

Puis vers le 5-10 octobre (??) je suis allée dans la rue un soir à 22 heures (la lumière rendait impossible toute sortie) et ça allait un peu mieux, j’ai réussi à faire le tour de pâté de maison, et les jours suivants j’ai réussi quelques exploits, faire mes courses seules, ou sortir au parc en bas de chez moi. Depuis cette période mes symptômes psychiatriques se sont atténués de façon très progressive, les uns après les autres (exceptés peut-être la dépression qui pointe trop souvent le bout de son nez), mes symptômes physiques atténués aussi en nombre mais pas en intensité, j’en ai hélas ai encore beaucoup et ‘ils sont très durs à supporter lorsque je me trouve au creux de la vague.

Aujourd’hui, après un an et un mois de sevrage total, et 20 mois après le début de mon sevrage, je ne peux pas : lire un livre ou un magazine en entier (je peux lire quelques articles mais parfois je ne comprends rien à ce que je lis néanmoins), conduire (car je suis dans un état de désorientation et de confusion mentale trop importants), gérer des affaires (payer mes impôts, appeler une administration), travailler, prévoir des choses, faire du sport, faire trop de marche.

Mais je peux (le plus souvent) : sortir dans la rue sans avoir peur, prendre un café à une terrasse, ne rien faire, manger normalement, dormir assez correctement.

Mes symptômes principaux aujourd’hui : maux de tête, douleurs au dos, aux hanches, aux bras et aux mains, raideur de tout mon corps, surtout le matin après le réveil, mal aux pieds, vibrations dans mon corps, sensations de piqûres et de bourdonnements, spasmes musculaires, faiblesse musculaire énorme, acouphènes, cerveau en coton, vertiges, étourdissements, asthénie, diarrhée (tous les jours) ; nausées, sueurs, attaques de panique, anxiété, tristesse profonde (par vagues) ; vomissements, petits retours d’agoraphobie (devenu très rare). En dépit de ces symptômes, j’ai l’impression d’être redevenue moi-même en effet, car je ne suis plus parano/agoraphobe/ anxieuse et plus trop ruminante… J’ai retrouvé (en partie seulement car je suis trop fatiguée et souvent déprimée) la Corinne que j’étais avant !

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médecin : danger !

nos médecins nous tuent : danger médicaments

la parole aux victimes survivantes

« Le vioxx a tué 60 000 personnes et provoqué 140 000 crises cardiaques. »
« Les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées. »

« AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, »

…antidépresseur, anti cholesterol, agreal, thalidomide, benzodiazépine, maladie nosocomiale, roaccutane, bêta-bloquant,, médiator, isoméride…
« Il y a plus de 2 millions d’hospitalisations et 180.000 décès chaque année aux États-Unis uniquement due à des réactions indésirables aux médicaments »
« Au cours des 10 dernières années, il a été estimé que la médecine a blessé 191 millions d’Américains et tués plus de 8 millions – plus de la totalité des pertes américaines à l’ensemble de nos guerres mondiales combinées »

« Une médecine répugnante »

« je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé. »
« les gens seraient en bien meilleure santé si la médecine moderne disparaissait à 90% »
« Le médecin, qui était une fois notre agent guérisseur, est devenu aujourd’hui celui qui nous rend malade. »

http://robert-silverman.net/medecinerepu.htm

Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »

« Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ».

« cette situation est aussi bien vraie aux Etats Unis qu’en France. »

Cliquer pour accéder à Le_scandale_pharmaceutique.pdf

La fraude médicale, les rois de la corruption
http://users.skynet.be/nomoreillusions/fraudemedicale.html


4 pages de vidéo pour ne pas mourir idiot

http://jeanpaul.jody.free.fr/cheres%20toxines/Le%20monde%20des%20m%E9dicaments%20%20Page%201.html

les pilules qui tuent

« la médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent » 
« l’intérêt des patients n’a aucune importance »
docteur Ghislaine Lanctôt  extrait de : la mafia médicale
 
La médecine nous tue
http://www.marcmenant.fr/3.html

Des tranquillisants pour tous, des antibiotiques dès la petite enfance, des hormones pour cacher le vieillissement, des médicaments qui rendent malades, la grande mode des vaccins pour tout, des diagnostics qui font vendre…

La médecine serait-elle devenue folle ? A-t-on le droit aujourd’hui de critiquer cette nouvelle religion où le médecin, véritable moine en blouse blanche, nous assène des connaissances comme paroles d’Évangile ? Parce que la médecine actuelle retire à l’individu la responsabilité de sa santé, parce que le citoyen est infantilisé et conditionné à vivre dans la terreur des maladies, il est temps qu’une voix s’élève contre cette dérive. Cette voix est celle d’un homme, libre penseur, qui a choisi une philosophie de vie où la réflexion et l’action ne sont pas sous le joug du bien pensant consensuel.

Marc Menant nous propose une réflexion solidement fondée sur des faits d’actualité, une mise en perspective historique des liens qui unissent la médecine et le religieux. Le style est celui d’un écrivain, qui là encore, fait œuvre de liberté, d’originalité. C’est une pensée buissonnière qui nous entraîne hors des sentiers battus, hors des clichés rebattus, loin des certitudes que l’arrogance des spécialistes nous distille quotidiennement. Marc Menant revendique le droit à la suspicion devant tant d’informations, tant de préconisations et tant de prescriptions concernant notre alimentation, notre sexualité, notre sommeil, nos loisirs.


Il cherche le ressort de cette volonté de puissance d’une médecine qui, à vouloir tellement nous guérir, finit par nous affaiblir jusqu’à la mort. Dénonçant cet étrange paradoxe d’une médecine qui nous tue, ce livre participe d’une démarche citoyenne, il s’agit d’éthique et de liberté, il s’agit de reprendre la maîtrise de soi, de refuser la passivité et la manipulation, il s’agit de vivre pleinement. Pour autant Marc Menant, dans la deuxième partie du livre, ne choisit pas la simplicité de nouvelles recettes qui viendraient s’ajouter à la longue liste de celles proposées par les thérapeutes, médecins, spécialistes, coachs et psy en tous genres. Il nous parle d’une dynamique de vie et nous invite à quitter la survie pour une vie supérieure, une « sur vie » qui ne s’acquiert qu’à la condition d’un engagement complet, d’un désir ardent et d’un appétit de vivre qui apparaissent comme source de santé. Marc Menant est l’homme de cet engagement.

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benzodiazépines : inefficaces lors de l’administration chronique.

http://books.google.fr/books?id=v5-36jds9QMC&pg=PA101&lpg=PA101&dq=rcepteur+gaba+neuroleptique&source=web&ots=uRweCQjteR&sig=ljHcP8r_R0nRW9RbzScEoUjN1eo&hl=fr&sa=X&oi=book_result&resnum=1&ct=result#PPA103,M1

Il est prouvé, par de nombreuses études, que les hypnotiques deviennent objectivement inefficaces lors de l’administration chronique. Cette inefficacité se voit objectivement sur les enregistrements de sommeil. Après un temps variable allant de 2 semaines a un mois, les hypnotiques a demi-vie d’élimination courte ou moyenne (jusqu’à 24 heures) ne sont plus capables de réduire la latence d’endormissement, de diminuer le nombre et la durée des réveils intercurrents et d’auguementer la durée du sommeil.

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nos médecins nous empoisonnent

France : notre pays consomme de deux
à quatre fois plus d’anxiolytiques, hypnotiques, antidépresseurs
et autres neuroleptiques que n’importe quel autre pays européen
.

"Mais pourquoi diable les médecins prescrivent-ils ces produits à tour de bras à des gens qui n’en ont pas réellement besoin ?"
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manuel professeure Ashton et conférence


CONTENULes Benzodiazépines: Comment agissent-elles
et comment s’en sevrer ?
• PROTOCOLE À SUIVRE LORS DU SEVRAGE DES BENZODIAZÉPINES
• Information sur la recherche médicale effectuée
lors du sevrage clinique des benzodiazépines

Professeure C Heather Ashton DM, FRCP, 2002

Index
• Contenu
Introduction
Chapitre I: Comment fonctionnent-elles dans notre organisme ?
Chapitre II: Comment se sevrer des benzodiazépines après un usage prolongé ?
Chapitre II: Programmes de sevrage lent
Chapitre III: Les symptômes aigus et prolongés du sevrage

CONTENU

AVANT-PROPOS 2000

AVANT-PROPOS DE L’ÉDITION RÉVISÉE, AOÛT 2002

NOTE BIOGRAPHIQUE

RÉSUMÉ DU CONTENU

DÉNI MÉDICAL

CHAPITRE I: COMMENT FONCTIONNENT-ELLES DANS NOTRE ORGANISME ?

HISTORIQUE

AU SUJET DE CE CHAPITRE

Les benzodiazépines
La puissance
La vitesse d’élimination
La durée de son effet
Les actions thérapeutiques des benzodiazépines
Les mécanismes d’action

Les effets contraires des benzodiazépines
La sursédation
Les interactions avec les autres drogues
Les troubles de mémoire
Les effets stimulants paradoxaux
Les dépressions et les émotions émoussées
Les effets contraires chez les personnes âgées
Les effets contraires durant la grossesse
La tolérance
La dépendance
La dépendance d’une dose thérapeutique prescrite
La dépendance d’une dose thérapeutique prescrite élevée
L’abus récréatif des benzodiazépines

Les coûts socio-économiques de l’usage prolongé d’une benzodiazépine

Lectures supplémentaires Tableau 1. Les benzodiazépines et les drogues similaires
Tableau 2. Les actions thérapeutiques des benzodiazépines
Tableau 3. Les coûts socio-économiques de l’usage prolongé des benzodiazépines
Fig. 1. Diagramme du mécanisme de l’action du neurotransmetteur naturel GABA (acidegamma-aminobutyrique) et d’une benzodiazépine sur les cellules nerveuses (neurones) du cerveau

CHAPITRE II. COMMENT SE SEVRER DES BENZODIAZÉPINES APRÈS UN USAGE PROLONGÉ ?

HISTORIQUE

Pourquoi devez-vous arrêter l’usage des benzodiazépines ?

Avant de commencer le sevrage des benzodiazépines
Consulter votre médecin
Assurez-vous d’avoir un appui psychologique adéquat
Ayez un état d’esprit ouvert
Ayez confiance
Soyez patient
Choisissez votre propre voie

Le sevrage
Diminution progressive du dosage
Changer à une benzodiazépine à longue demi-vie
Établir et suivre le programme de sevrage
Le sevrage chez les gens âgés
Le sevrage des antidépresseurs

Lectures supplémentaires

Programmes de sevrage lent

CHAPITRE III. LES SYMPTÔMES AIGUS ET PROLONGÉS DU SEVRAGE DES BENZODIAZÉPINES

Les mécanismes de réactions au sevrage

Les symptômes aigus du sevrage

Les symptômes individuels, leurs causes et comment y réagir
L’insomnie, les cauchemars, le sommeil agité
Les souvenirs inopportuns
Les crises d’anxiété
Anxiété généralisée, crises et phobies
Thérapies psychologiques
Techniques complémentaires – médecine douce
Exercice et différentes techniques
L’hypersensibilité sensorielle
La dépersonnalisation, la déréalisation
Les hallucinations, les illusions et les distorsions perceptives
La dépression, l’agressivité et les obsessions
Les symptômes musculaires
Les sensations corporelles
Le cœur et les poumons
Les problèmes d’équilibre
Les problèmes digestifs
Le système immunitaire
Le système endocrinien
Les crises et les convulsions

Les médicaments supplémentaires durant le sevrage d’une benzodiazépine
Les antidépresseurs
Les bêtabloquants
Les hypnotiques et les sédatifs
Les autres médicaments

L’usage d’une benzodiazépine pendant et après le sevrage

Diète, breuvage et exercice
Fumer

Le cours du sevrage

Les symptômes prolongés du sevrage
L’anxiété
La dépression
L’insomnie
Troubles sensoriels et moteurs
Mécanismes éventuels des symptômes sensoriels persistants et moteurs
Mémoire et connaissance défaillantes
Les benzodiazépines endommagent-elles la structure du cerveau ?
Les symptômes gastro-intestinaux
Vivre avec des symptômes de sevrage prolongés
Les benzodiazépines et leur temps résiduel dans l’organisme après un sevrage

Épilogue
Éducation
Recherche
Méthodes de traitement
Centre pour le sevrage

Lectures supplémentaires

Tableau 1. Les symptômes du sevrage d’une benzodiazépine
Tableau 2. Les symptômes du sevrage des antidépresseurs
Tableau 3. Les symptômes prolongés du sevrage d’une benzodiazépine
Tableau 4. Les causes probables des symptômes prolongés du sevrage d’une benzodiazépine

http://www.benzobookreview.com/ashton.html

Professeur C. Heather Ashton est le principal expert en benzodiazépines et sevrage des benzodiazépines. La professeur Ashton discute de sa méthode de sevrage aux benzodiazépines  
Les benzodiazépines sont parmi nous depuis presque 50 ans et raremement un groupe de médicaments a donné des espoirs thérapeutiques aussi prometteurs. La large étendue d’action que nous connaissons déjà, hypnotique, anxiolytique, myorelaxante, anticonvulsive, combinée avec une faible toxicité et une prétendue absence de dépendance a conduit à un taux de prescriptions et d’extra prescriptions à des millions de personnes pour des problèmes de santé courants. Elles sont dispensées à long terme et souvent régulièrement pendant de nombreuses années pour l’insomnie, l’angoisse et la dépression et aussi pour le stress des examens, pour les étudiants en médecine, et je pense qu’il y a un ou deux étudiants en médecine présents dans la salle (n’en prenez pas si vous allez passer des examens), pour des douleurs menstruelles, pour des acouphènes ou des blessures sportives, pour des douleurs de dos, des asthénies post-virales, les femmes battues, des deuils et en fait pour des stress ordinaires de la vie et ceci pour n’en citer que quelques uns.
Le diazepam ou Valium, l’une des onze benzodiazépines disponibles à l’époque devint dans les années 1970 la drogue la plus largement prescrite dans le monde ; puis vint le retour de flammes. Dans les années 1980, des utilisateurs de longue date se rendirent compte par eux-mêmes que le temps passant les drogues perdaient leur efficacité et que s’y associaient des effets contradictoires ; en particulier les patients trouvaient difficile d’arrêter les benzodiazépines à cause des syndromes de sevrage, et un groupe de patients véhéments Royaume Uni se sont plaints de dépendance à ces médicaments. Et des essais cliniques, menés par Lader, Tyrer sur ces patients en 1982 et 1983 démontrèrent indubitablement que les symptômes de sevrage à partir de doses thérapeutiques de benzodiazépines étaient réels et qu’ils indiquaient leur dépendance à ces médicaments

Professeur Heather Ashton sur des benzodiazépines – vue d’ensemble

Comment diminuer progressivement les benzodiazépines
La taille de chaque dose de réduction dépend de la dose de départ. Les malades qui prennent une forte dose peuvent généralement supporter une plus grande réduction de dose que ceux qui prennent une dose plus légère.Par exemple, les malades qui prennent l’équivalent de 40 mg de diazépam peuvent tolérer une diminution de 2 voire, 4 mg toutes les deux semaines. Quand ils arrivent au palier de réduction de moins de 20mg, une réduction de 1 à 2 mg toutes les semaines ou toutes les deux semaines est préférable et même une réduction de ½ mg peut être souhaitable jusqu’à ce qu’ils atteignent le palier de 5mg.
L’arrêt des 3 derniers mg est souvent perçu par les patients comme particulièrement difficile car ils redoutent comment ils vont faire sans drogue du tout..
Cependant, la séparation finale est étonnamment facile alors que la confiance augmente et que les patients sont encouragés par leur nouvelle liberté de « désintoxiqués »
Et l’objectif général de la stratégie de diminution progressive de doses est d’accomplir une diminution lente, stable, et douce de la concentration de benzodiazépines dans le sang, qui laisse le temps aux ajustements pharmacologiques et psychologiques nécessaires que j’ai déjà mentionnés auparavant. Et cela peut inclure une véritable resynthèse des récepteurs de gababenzodiazépines qui ont un fonctionnement déficient pendant la prise chronique de benzodiazépines comme je l’ai déjà expliqué

Et je ne prétends pas que le message que je vais décrire est le dernier mot en ce qui concerne le sevrage de benzodiazépines, mais il est fondé sur des expériences très proches avec ces patients qui ont fréquenté ma clinique, et qui s’exprimaient très bien, et cela a été dernièrement confirmé par des centaines et des centaines de patients avec qui je suis en contact depuis que la clinique a fermé, et ces principes de bases concernant le sevrage de benzodiazépines sont vraiment très simples . Ils consistent simplement en une réduction graduelle du dosage et du soutien psychologique si besoin. Il est généralement admis que le dosage devrait être diminué graduellement. Un sevrage brutal, particulièrement d’un dosage important peut précipiter des convulsions, des psychoses et des réactions de panique.
Et le rythme de la diminution devrait être individuellement adaptée au besoin personnel du patient, en prenant en compte le style de vie, la personnalité, les stress environnementaux, les raisons pour la prise de benzodiazépines, la durée et la dose de l’utilisation du médicament, , la quantité de soutien possible et beaucoup d’autres facteurs personnels. Il ne peut pas y avoir un seul protocole qui s’applique à tout le monde parce que tout le monde est différent, et le processus entier peut prendre des semaines, ou même une année ou plus. Il me semble qu’il n’est nul besoin de se presser chez les patients qui prennent des benzodiazépines depuis des années, de toute façon.
Faire sans les médicament est essentiellement un processus d’apprentissage qui peut prendre très longtemps, et d’après mon expérience, les meilleurs résultats des essais sont accomplis si le patient lui-même et non pas le docteur contrôle le rythme de sevrage et qu’il peut procéder au rythme qui lui semble tolérable.

La plupart des patients sont tout à fait capables de contrôler leur propre sevrage à condition d’avoir les conseils adaptés et des encouragement ; le docteur et le patient ensemble peuvent décider initialement d’un planning de sevrage, mais cela peut exiger des réajustements de temps en temps en fonction des progrès.Et si des problèmes apparaissent, le dosage peut être stabilisé pendant quelques semaines ou le taux de sevrage diminué.
Mais il est important de toujours aller de l’avant et d’éviter de revenir à un palier antérieur qui consisterait à réaugmenter le dosage. Pour la plupart des patients à une dose thérapeutique de benzodiazépines, le sevrage est mieux pris en charge en ambulatoire.
Des désintoxications rapides dans des centres de désintoxication sont totalement inappropriées parce que c’est trop rapide et le patient n’a pas le temps de construire des techniques alternatives dans son propre environnement, un processus qui peut prendre plusieurs mois, et les patients qui deviennent involontairement dépendants par des prescriptions médicales trouvent souvent très traumatisant d’être traités

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les drogues légales

Les
Benzodiazépines : valium, temesta, lexomil, tranxène, xanax, etc….
les drogues légales : effets et conséquences, addiction et sevrage

"Il est plus difficile de sevrer les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne." professeur M Lader (1999)

 

Nous
sommes le premier pays consommateur de somnifères, anxiolytiques et
anti-dépresseurs en tous genre, qui ne sont rien d’autre que des
drogues légales
, ayant des effets similaires à celles qui ne le
sont pas, au point qu’il existe désormais un véritable trafic de ces
pilules dans la rue à usage de stupéfiants

Un dossier très complet "The Ashton Manual" (liens et historique dessous) sur les effets et le sevrage des benzodiazépines, a
été ecrit et mis en ligne (en français ouf !, par
Chrystal Heather Ashton,
DM FRCP, Professeure Emeritus en Psychopharmacologie Clinique à
l’Université de Newcastle upon Tyne en Angleterre qui a commencé à
dénoncer les conséquences de l’utilisation abusive de ces substances
depuis plus de 15 ans.

Les
benzodiazépines, dont le tableau est donné sur ce site c’est entre
autre le valium, temesta, lexomil, trangsène, mogadon, xanax, stilnox,
Rohypnol … la liste est longue.

Une
question que vous pourriez vous poser, vu qu’il s’agit bien de drogues,
et même de drogues dures, dont  les dégâts sont considérables, bien
qu’elles soient prescrites par des médecins et remboursées par la
Sécurité Sociale. L’existence d’un véritable marché dans la rue et sur
le net, de ces produits en direction des toxicomanes, montre qu’eux les
voient bien pour ce qu’ils sont : des drogues !

Pourquoi
interdire ou considérer illégales les autres, et criminaliser leur
usage et leur vente ? Pourquoi faire passer des tests pour le cannabis
lors d’un accident de voiture, alors que la conduite est tout aussi,
voire plus dangereuse selon les cas, lorsque l’on prend ces cachets ?
Pourquoi pousser les haut-cris parce que des adolescents fument du
cannabis, en même temps que l’on ne cesse d’augmenter les prescriptions
de ces drogues légales aux adolescents, voire même aux enfants puisque
l’autorisation de leur prescrire du Prozac (*) vient d’être donnée en
France ? Je ne prône absolument pas la consommation de cannabis ou de
toute autre substance altérant la perception de la réalité, mais sa
diabolisation est hystérique compte-tenu de la consommation de
somnifère, anxyolétiques et anti-dépresseurs en tout genre, qui est en
parallèle prescrite à tout de bras, pose question. D’une part la
diabolisation de la première, vise à masquer la seconde, et divise les
drogués en "bons drogués" fournis par le médecin et "mauvais drogués"
fournis par le dealer du coin. Cette distinction arbitraire est
perverse.
Je cite :
"Médicaments psychotropes : Un grossiste (le pharmacien), un dealer (le
médecin) et un consommateur de drogue (l’assuré) sous la surveillance
de deux organisations criminelles (l’Etat et l’Industrie du médicament)"
 
Dr Martin Winckler (son site Winckler’s Webzine)

le site "Non aux benzodiazépines" (voir dessous) : "Les

pires ravages attribués à la drogue ne passent pas par l’action véreuse
d’un dealer propiétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable
médecin lové dans son cab
inet"


L’accoutumance
aux benzodiazépines est rapide et élevé, plus important que celui de
l’héroïne et son sevrage plus difficile. Ses effets secondaires sont
importants entraînant selon les personnes : état dépressifs, troubles
de la mémoire, perte de l’émotionnel, troubles de la personnalité,
désocialisation, agressivité, avec un risque non négligeable de suicide
… bref tout ce que l’on peut reprocher aux drogues dures illégales !
Sur le plan individuel, votre vie quelque part vous est volée, sans même que vous en soyiez conscient !
Mais le coût social, lorsqu’une partie non marginale de la population
est sous l’emprise de ces drogues,  en terme de relation humaines, de
relations familiales, d’éducation des enfants, de conscience et
responsabilité individuelle est bien plus dramatique, sans parler du
coût financier induit pour la sécurité sociale de ces prescriptions,
mais également de la prise en charge des soins médicaux et accidents
conséquences de la prise de ces pilules.

Il
n’y a donc aucune raison de faire de distinction entre les drogues en
légales et illégales, mais à voir en fonction de leur dangerosité, de
la dépendance qu’elles engendrent, de leur altération du champ de
conscience et du comportement, etc… question méritant d’être
approfondie.

Toutefois
on peut déjà poser la question, concernant ces drogues légales
prescrites sur ordonnance : à qui profite le crime ? Elle profite en
premier lieu à l’industrie pharmaceutique, et c’est une véritable
rente. Cette société génère mal-être et dépression, que l’on fait
perdurer en mettant les personnes sous camisole chimique, les coupant
de la perception de celui-ci et les rendant inaptes à prendre
conscience de ses causes de celui-ci : une vie qui n’en est pas ou plus 
une. Elles ne remettrons pas, de ce fait, en cause le fonctionnement de
la société et ne chercheront pas à le changer pour reprendre possession
de leur vie. Il s’agit de faire porter le poids du dysfonctionnement
collectif à l’individu, si vous n’êtes pas heureux, c’est que vous
refusez de l’être …

Les
drogues, qu’elles soient légales ou non, sont une recherche d’oubli de
la réalité, un désir de lui échapper, de la fuir, au lieu d’agir sur
elle pour la changer. Et si nous cherchons à la fuir, c’est que nous
sommes malheureux, mais que nous pensons que nous sommes impuissants à
y changer quoi que ce soit. Or si nous sommes de plus en plus nombreux
à être malheureux, ce n’est pas parce qu’individuellement, nous ne
voulons pas être heureux, c’est que cette société génère, propage du
malheur, de la misère autant psychologique que matérielle. Mais si nous
croyons ce qui nous est dit, que le bonheur serait un choix individuel,
et cherchons à oublier notre mal-être, c’est nous même que nous
oublions, c’est à ce que nous sommes que nous devenons sourds et nous
nous privons des moyens de changer cette société du malheur pour
l’engager dans la voie d’une société où nous serions heureux de vivre.
Car refuser une société du malheur est un choix dépend de nous. Dans un
petit royaume d’Asie, le gouvernement a posé comme critère de mesure,
en place du PNB, Produit national brut, le BNB Bonheur national brut …
si ! … voir Le Bhoutan et le BNB Bonheur National Brut

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hospitalisation pour sevrage

Témoignage d’un internaute :

en cas d’hospitalisation pour sevrage et bien on ne te demande pas ton
avis . En unitée psy tu dois respecter ou plutot te soumettre a ce que
décide le docteur, si il fallais que le toubib demande a chaque
personne en unitée psy le désire de chacun je ne crois pas qu’il puisse
y arriver.

La première des choses c’est de savoir que si on décide d’aller en
spy il faudras respecter les contraintes que cela impose mais ca c’est
avant donc il faut bien réfléchir avant d’y aller et si ma foi la
personne y rentre en urgence pour x raison la il faut suivre hélas et
c’est comme ca ce que décident les docteurs. Je connais bien ce milieux
c’est pour ca que j’écris et met en garde

HP DANGER : « c’était pire que la prison »
Selon un rapport officiel, plus de 40 % des personnes internées en psychiatrie n’ont rien à y faire !

http://dbminos.club.fr/libreinfo/plaquette03_2.html

temoignage
Une amie , infirmière en psychiatrie , et qui a démissioné depuis , m’a
dit qu’elle avait vu arriver des patients , en dépression , à qui on a
donné ces coktails empoisonnés , et qui ne sont jamais sortis de leur
dépression , ou partis  de l’hopital les pieds devant , soit par
interaction médicamenteuse , soit se sont suicidés . elle a reçu
plusieurs fois l’ordre d’attacher ces pauvres gens aux radiateurs , ou
tripler leur dose le soir pour avoir la paix la nuit . Vu des jeunes
arriver avec un léger problème psy , à qui on a donné ces neuros et
autres saloperies , et qui , au bout de quelques jours , commençaient à
avoir des spasmes musculaires , des myoclonies et j’en passe …
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benzo.org.uk Le site de ray Nimmo

           MERCI RAY
http://www.benzo.org.uk

Le plus grand problème de dépendance a la drogue dans le monde

  » Le plus grand problème de dependance a la drogue dans le monde n’implique pas l’héroïne, la cocaïne ou la marijuana. En fait, il n’implique pas une drogue illégale du tout. Le plus grand problème de dependance a la drogue du monde est posé par un groupe de drogues, les benzodiazépines, qui sont largement prescrites par des médecins et prises par d’innombrables millions de gens parfaitement commun autour du monde… les experts en matière de dependance a la drogue qui obtiennent des sevrages reussis aux benzodiazépines declarent que ces sevrages sont plus difficile que des sevrages des dependances a l’héroïne… Pendant plusieurs années maintenant les groupes de pression ont combattu pour aider les individus intoxiqués à se sortir librement de leurs chaînes pharmacologiques. Mais le combat a été désespéré. Aussi rapidement qu’ un individu devient libre d’une des benzodiazépines, un autre patient quelque part devient autrement intoxiqué. Je crois que la raison principale de ceci est que les médecins sont intoxiqués aux prescriptions de benzodiazépines, comme beaucoup de patients sont accrochés a les prendre. Je ne pense pas que le problème puisse jamais être résolu par la persuasion douce ou par l’essai de sevrer des patients de ces drogues. Je pense que la seule veritable solution à long terme est que les patient se rendent compte du danger de ces drogues et de les éviter comme la peste. l’utilite des benzodiazépines est modeste et relativement insignifiante. Nous pouvons faire sans elles. Je ne pense pas que le problème des benzodiazépines ne soit résolu avant que les patients autour du monde s’unissent et indiquent clairement qu’ils ne sont pas disposés à accepter des prescriptions pour ces produits dangereux.  » – DR Vernon Coleman, la vie sans Tranquillisers, 1985.  »  »

« il est plus difficile de sevrer des personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. »  

en 1999 le professeur Lader a indiqué : « il est plus difficile de sevrer des personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. Il semble juste que la dépendance est si encrassé et les symptômes de sevrage que vous obtener soient si intolérable que les gens aient beaucoup de problème a se dégager. L’autre aspect est qu’avec de l’héroïne, habituellement le retrait est de une semaine ou ainsi. Avec des benzodiazepines, une proportion de patients continuent a avoir des symptomes de sevrage à long terme et ces symptômes très désagréables pour mois après mois, et je reçois des lettres des personnes disant que vous pouvez continuer pendant deux années ou davantage. Certains des groupes de tranquilliser peuvent documenter les personnes qui ont toujours des symptômes dix ans après l’arrêt . »

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France : pacification chimique de populations entières ?

« On administrera des psychotropes aux ennemis capturés et aux civils soupçonnés de collaboration pour leur soutirer des informations, en ne reculant pas, lorsque ce sera nécessaire, devant l’usage d’une torture chimique à l’efficacité dévastatrice. Les composés chimiques seront rapidement métabolisés et ne laisseront aucune trace en cas d’examen médico-légal. Dans ce sombre scénario d’avenir, de nombreuses démocraties fragiles seront tombées sous le joug du totalitarisme, dont les gouvernements répriment toute dissidence avec une efficacité brutale, en recourant à la pacification chimique de populations entières, à l’usage d’agents incapacitants pour contrôler les foules et capturer les dirigeants dissidents, et à l’utilisation de substances chimiques pour torturer et interroger les dissidents. »

https://web.archive.org/web/20081202201130/http://www.icrc.org/Web/fre/sitefre0.nsf/htmlall/review-859-p553/$File/irrc_859_Whelis_Dando.pdf

Cliquer pour accéder à irrc_859_Whelis_Dando.pdf

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il est démontré que les hypnotiques au long court sont non seulement inefficaces, mais délètères

 "Par exemple, en cas d’insomnie chronique, il est démontré que les hypnotiques au long court sont non seulement inefficaces, mais délètères : en effet, si l’on enregistre le sommeil d’un insomniaque, on trouve un sommeil de mauvaise qualité, raccourci et émaillé de nombreux reveils. Lorsqu’on lui prescrit un hypnotique, le sommeil s’allonge et les éveils disparaissent pendant deux ou trois semaines. le patient se dit satisfait. Si l’on poursuit la prescription au-delà d’un mois, le patient continue à dire qu’il dort et pourtant, les enregistrements montrent un retour à la case départ : le sommeil est raccourci et les réveils nombreux"
 
extrait de : L’Enfer de la médecine…
Patrick Lemoine
 
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PASSAGE À L’ACTE DU FAIT DES BENZODIAZEPINES

(2005) DEMANDE D’UNE GRÂCE PRÉSIDENTIELLE POUR UN PASSAGE À L’ACTE DU FAIT D’UN MÉDICAMENT

Monsieur Jacques CHIRAC
Présidence de la République
55, Rue Saint Honoré
75008 PARIS

Paris le mardi 19 avril 2005

Monsieur le Président de la République,

Une femme sous l’empire d’un tranquillisant (Lexomil’) avait tué fin 1999 de 11 coups de haches son mari. Cette dernière vient d’être condamnée le 31 mars 2005 à 5 ans de prison dont 1 an avec sursit par la cour d’assises des Hauts-de-Seine.
Notre Association a témoigné à la barre en sa faveur, ainsi que le Professeur de psychiatrie Jean-Pierre Olié de l’hôpital Sainte-Anne à Paris.

En effet, les médicaments psychotropes de la classe des benzodiazépines favorisent les actes de violence contre soi-même et parfois contre autrui. Les effets indésirables  » bizarres  » et la désinhibition provoquée par ces succédanés de la cocaïne semblent mieux connus des spécialistes et des magistrats, grâce aux actions de notre association.

Paradoxalement, un autre crime effroyable commis également par une femme sous l’empire d’un traitement similaire (Lysanxia’) est incarcérée depuis plus de 15 ans, et à perpétuité. Celle-ci n¹a pas pu bénéficier de notre aide (notre association n’existe que depuis 1992), toutefois le Professeur Jean-Pierre Olié avait déjà à l’époque témoigné par écrit en sa faveur.’

Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir accorder votre grâce
présidentielle à cette mère de 2 enfants, incarcérée à Rennes sous le nom de Sylvie Reviriégo. Un rapport d’expertise psychiatrique datant de l’an 2000 réaffirme la responsabilité du traitement médicamenteux, et atteste de la non-dangerosité de cette pauvre femme piégée par les Benzodiazépines.

Par avance nous vous remercions pour votre juste intervention et nous vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, à l’expression de nos hommages les plus respectueux.

Le régime amaigrissant mortel. Sylvie Reviriego voulait perdre du poids. Son médecin lui prescrit un régime amaigrissant à base d’amphétamines et de benzodiazépines, du Lisanxia. Au bout de six mois de traitement, et quinze kilos en moins, Sylvie devient irascible et paranoïaque. En décembre 1988, elle assassine une amie d’enfance qu’elle découpe consciencieusement en morceaux, Elle avouera aux enquêteurs que son amie l’agaçait. Si les psychiatres la déclarent saine d’esprit, d’autres experts mettent en cause les médicaments lors du procès. Le conseil de l’ordre suspendra pendant trois mois le médecin qui s’enfuiera par la suite à l’étranger… Sylvia a été condamnée à la prison à perpétuité, son avocat se bat pour obtenir une révision du procès
.
Remarque : l’aaavam ne reconnait pas la torture qu’est le syndrome de sevrage aux benzodiazépines pour certains, ne reconnait pas le syndrome prolongé de sevrage, n’a  pas le soutient des associations benzodiazépine internationales et ne diffuse pas les pétitions internationales contre l’usage abusif des psychotropes. Cette association refuse d’autre part de mettre les adhérents en contact, a pour expert un professeur qui défend les électrochocs !, elle n’attaque pas non plus les antidépresseurs (malgrè les alertes multiples diffusés sur internet depuis de très nombreuxes années et les multiples actions judiciaires a l’international)  Cette « association » est donc à évité à tous prix !
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« défonce toxicomaniaque »

 

Antidépresseurs, tranquillisants, psychotropes en général : surmédicalisation et toxicomanie médicamenteuse

Un extrait de l’émission de Canal+ « Lundi investigation », mars 2008 : « Tranquillisants : l’overdose ? » Il y est question de ces patients drogués avec les « drogues du pauvre », comme le dit spontanément une femme traitée depuis une dizaine d’années par des quantités ahurissantes de plusieurs types de psychotropes à la fois. C’est le même constat que faisait Paul Arcand dans son documentaire « Québec sur ordonnance », dont nous avons rendu compte dans cette note. Certains patients passent d’un comprimé au « millefeuille thérapeutique », puis à la « défonce toxicomaniaque »… Mais dire, comme le fait un médecin interviewé, que les médecins sont conscients mais ne peuvent pas résister à la pression des patients est bien trop léger… Les médecins seraient, paraît-il, trop gentils et n’auraient pas appris à dire non… Plus raisonnable semble l’explication du directeur de la revue Prescrire et celle de Philippe Pignarre qui mettent en cause le marketing de l’industrie pharmaceutique, y compris la publicité déguisée en « campagnes d’information », qui atteint à la fois les médecins et les patients.

 

 

 http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/04/20/antidepresseurs-tranquillisants-psychotropes-en-general-surm.html

témoignages
 
J’ai 25 ans, je vis seul, au chomage.j’ai decouvert les drogues a 14 ans
cannabis toute la journée (avec un bang) et meme ces derniers temps la nuit.
de 17 a 21 ans j’ai passer ma vie en teuf et teknival (tekno), ou j’ai eu la curiositée de gouter d’abord l’extasi, ensuite le speed (amphetamines), puis le LSD, puis la cocaine, la ketamine, puis l’heroine (voie nasale), tous ca arroser d’alcool et parfois, tous, en 48heures de teuf non-stop
de 21 a 24 ans j’ai arreter de faire la fete car j’etais blazé mais chez moi de grosses sequelles sont aparrue donc traitement au subutex pour ma toxicomanie a l’hero et prise de LEXOMIL (ordonnances de mon pere medecin) mais je re-prennais aussi le weekend certains produits (LSD exta, coke)j’ai reussi a arreter le subutex il y a 6 mois, j’avais essayer seul et sans conseils au moins 5 fois avant mais c’etais trop dur, j’ai arreter grace a une plante: l’iboga. Je ne dirais pas que l’iboga c bien car ca reste une drogue mais, moi ca m’as bien aider.le probleme c que depuis je me suis mis a boire tous les jours et lexo a gogo (1 jours et 1 nuit quand « ca va bien… »)
depuis c’est encore pire qu’avant, je suis en train de devenir fou, j’ai perdu bcp de memoire, donc j’ai decider d’arreter de boire, de fumer et de prendre du lexomil, etre « clean »l’alcool ca va, j’ai confiance, et ca ne me pose pas trop de pb, j’ai reduit ma conso depuis quelques semaines et ca fais 8 jours que j’ai pas bu une goute.
le cannabis, je le connait « par coeur », c pareil ca devrait bien ce faire mais alors j’ai prit un enorme claque en arretant les benzo
je pensait que ca allez etre simple par rapport au opiacé, kel erreur !!!!
je vient d’arreter brutalement, il y a 3 jours, et

ca n’as jamais ete aussi dur physiquement et mentalement, c plus dur que pour l’hero (mentalement) fatigue extreme, crampes, insomnies, sudations enormes, mal de cranes tres tres tres intensse, phobie social, parano aigue, trouble visuel et sensoriel, spasmes, mouvement anormal de mes membres, tremblement, depression, crises d’angoises, anxiétée constente ou presque.

j’ai decider hier, d’allez voir sur internet car j’etais pres a allez a l’HP tellement ca n’allait pas et je me sens mieux en sachant ce qui es en train de m’arriver, de savoir que c CA le sevrage du lexo
tous c temoignages c de l’or pour moi, ca m’aide, vive l’internet !
mais voila, j’ai reussi a ecrire ce texte car j’ai pris une moitiée de lexo ce soir. Sinon impossible de garder les yeux plus de 10minutes devant l’ecran, trop trop mal au crane.

d’ailleur j’aimerais savoir comment faire

pour arreter ou reduire ce mal de crane (j’ai l’impression que ma tete va exploser), c ce qui me derange le plus avec la parano et l’anxiétée.

http://www.benzo.monforum.net/viewtopic.php?t=534

Pire que l’héroïne :
témoignage
 
 
  
« J’aurais dû mentionner que, physiquement parlant, les opiacés DEO est un morceau de gâteau par rapport aux benzos. »
« Je l’ai dit, je n’ai pas dormi pendant 21 jours »
« C’est peut être la plus horrible chose au monde à avoir à passer »
 
 
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Dépendance involontaire aux tranquillisants

APPGITA  : groupe parlementaire tous partis sur la dépendance involontaire aux tranquillisants (Royaume-Uni)

http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fmickbehan.blogspot.com%2F&sl=en&tl=fr&hl=&ie=UTF-8

http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.appgita.com%2F&sl=en&tl=fr&hl=&ie=UTF-8

traduction google

http://translate.google.com/translate?sourceid=navclient&hl=fr&u=http%3a%2f%2fwww%2ebenzo%2eorg%2euk%2fappg2%2ehtm

HOUSE OF   COMMONS CHAMBRE DES COMMUNES

 Propositions pour le Manifeste de l’APPG
 Addiction Involontaire aux tranquillisants 

February 12, 2008 12 février 2008

INTRODUCTION

 Par plusieurs critères involontaire tranquillisants prescrits à la toxicomanie est le plus grave problème de la drogue en Grande-Bretagne aujourd’hui.

 Benzodiazépine : Le nombre de décès liés aux benzodiazépines chaque année dépasse celui de toutes les drogues illégales, sauf l’héroïne.

  • Le nombre de toxicomanes (1,5 millions) (environ 7 millions en France), dépasse de loin le nombre accro à toutes les drogues illégales.

  •  L’ampleur de la toxicomanie – tranquillisants sont plus addictive que l’héroïne.

  •  La durée de la toxicomanie: Les toxicomanes sont souvent dépendants à 10, 20 ou 30 ans.

  • Le coût social de la toxicomanie est énorme, mais pas encore quantifiés par les statistiques officielles.

  •  La souffrance des toxicomanes est tranquillisant et de l’extrême est immoral.  Elles ont été introduites pour une dépendance de drogues par leur médecin de confiance.  Ils sont ensuite abandonnés sans traitement pour leur maladie iatrogène.

 Suggéré des politiques pour manifesto

  1.  L’éducation des médecins et du grand public sur les dangers de la dépendance involontaire tranquillisant, avec pour objectifs de réduire de 1,5 millions de toxicomanes, et afin d’éviter la création de nouveaux toxicomanes par la mise en oeuvre des directives de traitement qui restreignent la prescription à 2 semaines.

  2.  De fournir des services spécialisés au retrait involontaire tranquillisant toxicomanes notamment; locales d’auto-saisine des cliniques, des groupes d’auto-assistance, un service d’assistance 24 heures nationales et régionales résidentiel retrait cliniques.  Pour mettre en place un groupe de travail pour identifier les bonnes pratiques pour tranquillisant retrait.

  3.  Réadaptation des toxicomanes prescrit conçu pour leur permettre de réintégrer le marché du travail – la plupart des toxicomanes sont dans l’incapacité de travailler.  Ces politiques à fixer des objectifs qui sont régulièrement suivies et les résultats devant être publiés.

  4. La recherche médicale dans le mécanisme de tranquillisant dommages à l’organisme pour permettre le traitement à apporter aux ex-toxicomanes qui ont subi des dommages de la toxicomanie.

  5.  Pour quantifier le tranquillisant problème en collectant des données officielles sur le sujet. For example: Par exemple:

    1.  Le nombre de toxicomanes de longue durée.

    2.  Le nombre de bébés nés de toxicomanes accros mères.

    3.  Le nombre d’ex-toxicomanes qui sont irrémédiablement endommagés.

    4.  Le nombre de nouveaux toxicomanes créés chaque année.

    5.  Le nombre de toxicomanes qui ont réussi à retirer chaque année.

    6.  Les chiffres sur la durée de la toxicomanie.

    7.  Un coût de tranquillisant retrait des services spécialisés, qui ont un taux de réussite élevé lorsque c’est fait correctement et en comparaison avec le retrait de drogues illégales.

    8.  Tenter de quantifier le coût social de la toxicomanie, y compris tranquillisant:

      1.  Calculer la corrélation entre la toxicomanie et l’incapacité tranquillisant avantage.

      2.  La quantité de temps et d’argent gaspillé par le renvoi de tranquillisant toxicomanes à l’hôpital pour investigation des maladies diagnostiquées à tort, par exemple ME / MS / dépression qui sont, en réalité méconnue tranquillisant effets secondaires.

      3.  Accidents, notamment les accidents de la circulation en raison de "tranquillisant conduite" et d’accidents dans les foyers de personnes âgées, y compris les fractures de la hanche, en raison de «drogués» de patients.

    1.  Benzodiazépine tranquillisants avant la Medicines Act (1968) et l’actuel système de licences (1972) Ils ont été attribués "licences de droit» comme un projet d’enregistrement avec peu ou pas de contrôle.  D’effectuer un examen indépendant de la sécurité tranquillisant licences pour l’efficacité et le nombre de permis délivrés.

    2.  À examiner si la dépendance à Internet dans le commerce de drogues, basé dans le Royaume-Uni, en passant par le système de presc Comment tranquillisants sont de plus en plus un abus de drogues illégales utilisées par les toxicomanes à "dynamiser" les drogues illégales ou de "descendre".

    3.  Pour revoir la pratique consistant à traiter les toxicomanes à la drogue par un transfert à un deuxième plus grande accoutumance des drogues, par exemple.  Méthadone à l’héroïne ou de l’alcool à des tranquillisants.

    4.  À identifier et à attribuer la responsabilité de la tranquillisants problème entre les différents ministères et organismes: le Home Office, ministère de la Santé, Département des Travaux et Pensions, Primary Care Trusts, l’Agence nationale de traitement, les autorités sanitaires locales, les cabinets de médecins généralistes, les autorités locales et les pharmaciens .

    5.  D’introduire une taxe sur l’industrie pharmaceutique pour faire face à l’héritage de problème de la drogue – les jeux de hasard et d’alcool industries versent une redevance de prestation de services pour les victimes de leurs produits. A "pharmaceutical levy" similarly to be used to provide services for prescribed drug casualties. Un «prélèvement pharmaceutique" de même à être utilisés pour fournir des services aux victimes des drogues prescrites.

    6.  Une enquête publique sur le scandale des tranquillisants.

Jim Dobbin MP, Chair Jim Dobbin député, président
John Grogan MP, Vice Chair John Grogan, député, vice-président
Nigel Evans MP and Paul Rowen MP, Joint Secretaries Nigel Evans, député et Paul Rowen MP, co-secrétaires

Email Pat Dobbin Email Pat Dobbin
Email Mick Behan Email Mick Behan

APPG for Involuntary Tranquilliser Addiction, Newsletter 1, January 22, 2008APPG involontaire pour Tranquilliser Addiction, Newsletter 1, le 22 janvier, 2008

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pétition internationale benzodiazépines

cette pétition a été, hélas, censurée

« STOP KILLING PEOPLE NOW »

pétition internationale benzodiazépine de Benzodiazépine Awareness Network

 Appel aux fabricants de benzodiazépines, aux médecins prescripteurs, aux pharmaciens, à la F.D.A. ,  à l’OMS et à l’Afssaps.

 

Nous, individus nommés ci-dessous, avons électroniquement signé cette pétition afin de faire savoir que la prise des benzodiazépines telles que prescrites par nos médecins, a eu pour chacun de nous comme résultat, une grave intoxication, une dépendance au produit, une maladie chronique mal diagnostiquée, générant une angoisse émotionnelle profonde et une incapacité globale de fonctionner normalement pendant des périodes prolongées au cours des phases de tentatives de sevrage.
Nous savons tous que prendre des médicaments prescrits par les médecins inclut quelques risques et qu’un certain pourcentage de patients est susceptible d’éprouver des résultats défavorables. Cependant nous ressentons fortement que les risques impliqués par les prises de médicaments appelés benzodiazépines sont beaucoup plus importants que le milieu médical et nos gouvernements ne le réalisent. Certainement beaucoup plus grand qu’il ne nous l’a jamais été dit. Ces médicaments sont extrêmement addictifs. Le degré de douleur physique provoquée par le syndrome de sevrage aux benzodiazépines est énorme comparé à celui d’autres prescriptions et même comparée à celui du sevrage aux drogues illicites. Nous estimons également que le pourcentage des patients défavorablement affectés par les médicaments de la famille des benzodiazépines (anxiolytiques) est beaucoup plus grand que ce que nos médecins, nos gouvernements et peut-être les fabricants de ces drogues tel que Roche, Wyeth et Upjohn ne veulent nous le faire croire.
Nous espérons que cette pétition aidera à faire prendre conscience à nos médecins, à nos gouvernements comme aux industries pharmaceutiques responsables de leur fabrication que la dépendance aux anxiolytiques n’est pas un petit problème qui touche seulement une poignée de personnes,
comme ils voudraient nous le faire croire. C’est un problème global qui a les proportions d’une épidémie. Le constat doit être dressé immédiatement, mais en premier lieu : il doit être reconnu.
À la différence des dépendances aux drogues illicites telles que la cocaïne et l’héroïne il n’y a à cette heure aucun protocole de traitement ni antidote pour cette maladie iatrogénique (maladie induite par le médecin). Les symptômes de sevrage sont graves et débilitants. La période de sevrage (avant rétablissement) est de durée beaucoup plus longue que celle nécessaire pour les drogues illégales mentionnées ci-dessus ou pour toutes autres médicaments ou drogues que nous connaissions à ce jour.
Les profits réalisés par la vente de ces benzodiazépines non seulement pour Roche et d’autres fabricants mais pour les médecins qui les prescrivent et pour les pharmacies qui les vendent dépassent l’imagination. Il y a certainement un intérêt commun à nier l’ampleur du phénomène : le nombre des personnes dépendantes aux benzodiazépines, et la nature de la maladie provoquées par cette famille de médicaments afin de suggérer que le problème est dû aux patients et non aux médicaments. Cette pétition a pour but de prouver le contraire. Nos vies ont été inopinément brutalisées par l’impact négatif d’un médicament de la famille des benzodiazépines. Nous sommes unis en esprit par le désir que la vérité éclate enfin au grand jour et pour que d’autres soient épargnés par la douleur physique que nous avons éprouvée de façon directe.


http://www.petitiononline.com/benzo/petition.html

Plus de 2000 témoignages sur le sevrage aux benzodiazépines sur le net :

 

 

«Ma plus grande erreur : faire confiance à des médecins !»
«Les médecins qui les prescrivent devrait être jugés et condamnés»

«il s’agit d’un holocauste moderne» 
« Il est temps de juger les compagnies pharmaceutiques et les médecins responsables de prendre la solution de facilité aux dépens de leurs patients. »

traduit de : http://www.petitiononline.com/mod_perl/signed.cgi?benzo&1

traduction Google : http://translate.google.com/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.petitiononline.com%2Fmod_perl%2Fsigned.cgi%3Fbenzo%261&langpair=en%7Cfr&hl=fr&ie=UTF-8&oe=UTF-8&prev=%2Flanguage_tools

« Toutes les benzodiazépines sont des drogues horribles prescritent par des médecins qui ne devraient pas prescrire ce poison. Il faut interdire toutes les benzodiazépines !
Cette drogue est horrible.
Cette « médecine » est réellement un poison ; elle te tuera toi et ton esprit, lentement et silencieusement et ce malgré les haussements d’épaules du docteur.
Rivotril a ruiné ma vie.
C’est l’enfer pour cesser de prendre ces comprimés terribles. Les médecins que les prescrivent devrait être jugés et condamnés.
Ma mére s est suicidée a cause des benzodiazepines (témoignage France)
Les benzos ont ruinés ma vie.
Les Benzos devraient être interdites. Ils ont assuré 10 ans de ma vie. Le sevrage est horrible.
Ces drogues ont détruit 22 ans de ma vie .
Je stoppe Lorazepam il y a 3 mois et je souffre énormément et maintenant mes 4 enfants n’ont plus de maman pour prendre soin de eux. C’est mon plus mauvais cauchemar
Dévasté par le sevrage de cette drogue… ! ! ! !
Les médecins doivent cesser de distribuer leur poison comme de la sucrerie.
Ce sont les plus mauvaises drogues qui n’aient jamais existé. Elles devraient tout être jeté dans les toilette. Ne jamais les prendre, elles ruineront votre vie.
On m’a dit que cela ne provoquait pas de dépendance
Ils ont fait un désastre de ma vie.
Temesta a presque pris ma vie.
Je suis passé par l’enfer dû au sevrage des benzos.
Si j’avais su dans quel enfer ces drogues me menait, je ne les aurais jamais pris.
Cette drogue horrible a ruiné ma vie.
Je suis presque mort de prendre des benzos. Quelque chose doit être faite maintenant.
Je passe par l’enfer pour me sortir du Tranxène.
J’ai passé les deux dernières années dans l’enfer. J’ai souffert la torture physique et mentale journalière et insupportable.
J’AI PERDU MON ÉPOUSE À CAUSE DES BENZOS
Ma plus grande erreur faire confiance à des médecins.
Ces médicaments sont extrêmement dangereux.
Les drogues les plus terribles sur la planète ! Toutes benzos drogues devraient être retirés du marché, AUSSITÔT QUE POSSIBLE ! !
Les benzos sont des poisons.
Arrêter la douleur provoquée par les benzos !
Je suis passé par l’enfer. J’ai des amis qui sont passé par là aussi et qui ont tout perdu. Ceci doit S’ARRÊTER !
Bienvenue en enfer quand vous vous arrêtez. »
…etc

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xanax : L’arnaque

Assez récemment, un jeune retraité d’un laboratoire pharmaceutique a expliqué à l’un de nos interlocuteurs que le concept «d’attaques de panique», qui est classé dans le DSM4, avait été spécifiquement élaboré par Donald Klein pour le laboratoire Upjohn qui allait mettre sur le marché le médicament Xanax. Les critiques et les exemples pleuvent : les psychoses maniaco-dépressives sont devenues dans le DSM4 des troubles bipolaires, censés être bien plus fréquents : chaque patient peut ainsi s’approprier ce diagnostic, pour réclamer un traitement à son médecin !
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catastrophiques quand on les prend d’une manière régulière

 benzos : Ils deviennent catastrophiques quand on les prend d’une manière régulière.

Avec l’apparition des benzodiazépines, on est passé à des produits actifs mais moins toxiques. Il est difficile d’arriver à se suicider avec des benzodiazépines. On a donc obtenu un certain confort avec ces médicaments. Ensuite, on a évolué avec des molécules plus modernes et qui fonctionnent encore mieux.
Néanmoins, si tous ces produits sont excellents quand ils sont pris d’une manière discontinue ou occasionnelle, ils deviennent catastrophiques quand on les prend d’une manière régulière. Actuellement, pour l’insomnie chronique, on conseille une prise discontinue de ces produits, c’est-à-dire une fois, deux fois, trois fois maximum dans la semaine ou bien par périodes. Dans tous les cas, il faut vraiment éviter une prise régulière parce que cela entraîne une accoutumance et même une dépendance : il devient difficile d’arrêter le médicament. On doit augmenter les doses pour obtenir le même effet positif sur le sommeil. Surviennent alors des effets secondaires importants sur le lendemain.

docteur sylvie Royant-Parola

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généraliste : La honte !

La honte des 32 secondes !
c’est le temps moyen qui a été calculé entre la plainte du patient et la rédaction d’une ordonnance contenant un hypnotique. L’automédication suivra…

Trop, voire dangereusement banalisée ( l’hyper consommation entraînant une insomnie rebelle).

Il apparaît une atteinte de la mémoire immédiate (de fixation) dans la prise prolongée et il existe peut-être un rapport entre hypnotique au long court et la recrudescence de la maladie d’Alzheimer.
Le malade sera informé des symptômes de sevrage auxquels il sera confronté
,de manière à ne pas être victime de sa bonne volonté, deux jours après vous avoir rencontré, et de repartir dans une logique de surconsommation ou d’auto prescription effrénée.

http://exp.gen.free.fr/SOIREES/DOCS/sommeil/sommeil.htm

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La drogue appelé psychotrope

« En d’autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé  » drogue  » et un autre appelé  » médicament  »

http://www.personnalitelimite.org/droguesmedicaments.html
professeur david Cohen
professeur Guilhème Pérodeau

 

L’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies
(OFDT) propose la définition suivante pour le terme «
drogues » :

 » produit psychoactif naturel ou synthétique,
utilisé par une personne en vue de modifier son état
de conscience ou d’améliorer ses performances, ayant
un potentiel d’usage nocif, d’abus ou de dépendance
et dont l’usage peut être légal ou non « 
.

« Depuis des temps immémoriaux, les hommes ont utilisé
des produits naturels à des fins médicales. Ces produits,
autrefois appelés « drogues », correspondaient aux
médicaments d’aujourd’hui
et, jusqu’au
19ème siècle, étaient vendus chez « le
droguiste » puis chez « l’apothicaire ». »

http://www.caat.online.fr/toxicomanie/toxicointro.htm

Définir la dépendance physique                  Si
un médicament provoque des effets de sevrage déplaisants, certains
usagers en deviendront inévitablement physiquement dépendants. En
effet, cette conclusion est inhérente à la définition de dépendance physique.
Selon le World Task Force, un groupe de travail qui s’est penché sur
les sédatifs hypnotiques, «la dépendance physique se définit comme
l’apparition de symptômes spécifiques lorsque la médication est
brusquement interrompue». Le service de glossaire pharmacologique en
ligne de l’Université de Boston affirme que la dépendance «se
caractérise par la nécessité de maintenir la prise de médicament afin
d’éviter l’apparition de symptômes de sevrage incommodants ou
dangereux». Et un rapport récent publié dans le New England Journal of Medicine
le confirme : «L’utilisation du terme « dépendance physique » implique
qu’un syndrome de sevrage se produira après l’arrêt d’un remède
psychiatrique.»

http://www.agidd.org/chap9_livre_breggin_cohen.htm

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Benzo Drug Addiction

 

Un vieux Brass Tacks documentaire de 1987 sur la toxicomanie benzodiazépine. Les toxicomanes dans ce court documentaire ne font rien d’illégal, leur toxicomanie est de médicaments prescrits par leur médecin. Ces médicaments comprennent l’alprazolam, clonazépam, chlordiazépoxide, diazépam, le lorazépam, nitrazépam, oxazépam, témazépam. Vous le savez peut-être ces médicaments sous leurs noms de marque xanax, klonopin, rivotril, librium, le valium, ativan, mogadon, serax ou restoril. Ce documentaire montre les effets dévastateurs de ces médicaments lorsqu’ils sont pris à long terme, notamment en tournant les gens souffrant d’amnésie zombies avec un large éventail de drogues, y compris les troubles psychiatriques induits agoraphobie, la dépression, l’anxiété et le sentiment suicidaire. Les symptômes de sevrage benzo qu’un toxicomane peut s’attendre à faire l’expérience peuvent comprendre une augmentation de la tension, l’anxiété, des sensations de brûlure, des crampes abdominales, une sensation irréelle et un détachement de la réalité, des sensations de brûlure, oversensitvity à la lumière et le son, à l’exploration des sentiments sous leur peau, la perte d’équilibre , La panique, tremblements, la transpiration, l’insomnie, des tremblements ou des convulsions et même la psychose. Dans ce clip vidéo, vous verrez les membres du Comité sur la sécurité de la médecine, tels que le professeur Malcolm Lader, le professeur Michael Rawlins et d’autres médecins. Un tranquillisant toxicomane drogue paye souvent de leur carrière, de leur mariage, elles oublient leurs enfants qui ont grandi en leur laissant comme un agoraphobe suidical recluses chez elles. Comme vous pourrez le voir confirmé dans ce clip vidéo la dépendance (toxicomanie) se produit sur les soi-disant « normale » doses thérapeutiques. Ce documentaire est une vidéo éducative très importante au sujet de cette immense dépendance aux benzos, une dépendance souvent ignorés lorsque les victimes souffrent en silence et ignorent souvent que ce sont les médicaments qui les rendant malade, pris au piège dans un cycle de la misère des effets secondaires et des effets de sevrage.

 

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déficiences mentales et benzodiazépines

worstpills  
 
http://www.worstpills.org/public/page.cfm?op_id=5  
 
en traduction google : http://translate.google.com/translate?hl=fr&langpair=en%7Cfr&u=http://www.worstpills.org/public/page.cfm%3Fop_id%3D5

  Les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux Etats-Unis. La plupart du temps, ces événements dangereux auraient pu et dû être évitée.  

 

Environ 163000 anciens Américains souffrent de graves déficiences mentales (pertes de mémoire, démence), soit causée ou aggravée par la drogue. Selon une étude menée dans l’Etat de Washington, dans 46% des patients à qui l’ont prescrit de la drogue induit mental, le problème est Causés parles tranquillisants légers ou somnifères et dans 14%, par des médicaments contre l’hypertension artérielle , et dans 11%, par des médicaments antipsychotiques.(Voir la liste des médicaments qui peuvent provoquer ou aggraver la démence.)  

 
Induits par les médicaments, la dyskinésie tardive est développé chez 73000 adultes âgés; cette condition est la plus grave et la commune de réactions indésirables aux médicaments antipsychotiques, et il est souvent irréversible. La dyskinésie tardive se caractérise par des mouvements involontaires du visage, des bras et des jambes. Environ 80% des personnes âgées reçoivent les médicaments antipsychotiques n’ont pas de la schizophrénie ou d’autres conditions qui justifient l’utilisation de ces médicaments puissants, un si grand nombre de ces patients ont de graves effets secondaires de médicaments qui ont été prescrits à tort. (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer Dyskinésie tardive ou d’autres troubles du mouvement.)  
 
Induits par les médicaments, le parkinsonisme s’est développée dans 61000 adultes âgés également dues à l’utilisation de médicaments antipsychotiques tels que l’halopéridol (HALDOL), la chlorpromazine (THORAZINE), la thioridazine (MELLARIL), trifluoperazine (STELAZINE), et fluphénazine (PROLIXIN). Il existe d’autres parkinsonisme Inducteurs de la drogue, tels que le métoclopramide (REGLAN), prochlorperazine (COMPAZINE), et promethazine (PHENERGAN), prescrits pour des problèmes gastro-intestinaux.  (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer parkinsonisme.)  
 
   
Un homme de 58 ans développe le parkinsonisme du aux drogues antipsychotique employée pour traiter son problème « d’entrailles irritables (douleurs intestinales »  
 
Larry, un homme autrement en bonne santé de 58 ans avec la diarrhée pensée pour être dû « au syndrome irritable d’entrailles, » a été donné Stelazine, un tranquillisant antipsychotique puissant « à calmer en bas » de sa région intestinale. Stelazine n’est pas même approuvé pour traiter de tels problèmes médicaux. Pendant six mois après avoir commencé Stelazine, le parkinsonisme grave développé par Larry et a été commencé sur la L-dopa, une drogue pour traiter le :maladie de Parkinson. Vraisemblablement, le docteur n’a pas réalisé que le parkinsonisme était induit par la drogue, et le Stelazine suite. Pendant sept années, Larry a pris les deux drogues. Alors un neurologue spécialisé dans le :maladie de Parkinson a vu Larry, a identifié la vraie cause de son problème, arrêtée le Stelazine, et lentement a retiré la L-dopa au-dessus d’un semestre. Larry grave, parkinsonisme de neutralisation s’est dégagé complètement.  
 
Comme mentionné ci-dessus, 61.000 adultes plus âgés développent le parkinsonisme drogue-induit tous les ans. Au moins 80% d’entre eux, comme Larry, devrait jamais n’avoir été mis sur les drogues causant le parkinsonisme en premier lieu. En outre, comme dans la situation de Larry, une grande proportion de ces personnes ont des médecins qui pensent que leur parkinsonisme s’est développé spontanément.  
 
Les médecins non seulement ne suspectent pas qu’il soit provoqué par une drogue telle que Stelazine, ou d’autres drogues antipsychotiques (Reglan, Compazine, ou Phenergan), mais ils ajoutent une deuxième drogue pour traiter la maladie qui a été provoquée par la première drogue.  
 
Le même neurologue qui « a guéri » Larry de son parkinsonisme drogue-induit a vu, depuis juste trois années, 38 autres patients présentant le parkinsonisme drogue-induit et 28 avec le dyskinesia tardive drogue-induit.  
 
Aucune de ces personnes n’était psychotique, l’une justification pour les médicaments antipsychotiques. Les raisons les plus communes pour l’usage des drogues induisant le parkinsonisme étaient l’inquiétude chronique et des plaintes gastro-intestinales. Le coupable le plus fréquent (dans 19 de ces 39 patients) était le metoclopramide (REGLAN), habituellement prescrit pour la brûlure d’estomac, ou pour la nausée et le vomissement. Les médecins prescrivent souvent Reglan avant d’essayer d’autres méthodes plus conservatrices et plus sûres. D’autres drogues qui ont apporté sur le parkinsonisme ont inclus Compazine, Haldol, et Thorazine

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COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER ?

COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER ?

 » La personne qui présente la plus grande probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque très probablement de vous tuer est votre docteur. Ce livre vous montrera comment s’occuper de ce problème et se protéger contre cette menace sérieuse à la vie et à la bonne santé. « 

Docteur Vernon Coleman
how to stop your doctor to kill you

http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.vernoncoleman.com/htsydky.htm&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dvernoncoleman%2Bbenzodiaz%25C3%25A9pine%26hl%3Dfr%26lr%3D%26sa%3DG 

Le site santé du docteur Vernon Coleman en traduction google

http://translate.google.com/translate?u=http://www.vernoncoleman.com/main.htm&langpair=en|fr&hl=fr&ie=UTF-8&oe=UTF-8&prev=/language_tools

https://i.pinimg.com/736x/94/35/52/943552c789c0a397b9035cad80a5b129.jpg

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

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l’action véreuse d’un dealer : le médecin

« Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové dans son cabinet. Joan Gadsby dénonce l’épidémie de la pilule. »
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« La France est-elle un pays de drogués ? »,

A la question posée par le quotidien «La France est-elle un pays de drogués ?», Edouard Zarifian déclare qu’il existe dans notre pays une consommation considérable de produits licites ou autorisés dont les propriétés sont exactement les mêmes que celles de la drogue dans la mesure où ils modifient de façon significative les comportements et les performances tout en provoquant dépendance et accoutumance ».
« distribués aux usagers qui ne sont pas forcément tous atteints de maladie psychiatrique, n’importe quand, n’importe comment et pour n’importe quoi ».

 

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mort par prescription et drogues légales

En France c’est bien pire !

  • Le principal problème de drogue aux États-Unis aujourd’hui, ce n’est pas l’usage de drogues illicites mais l’usage de drogues légales.
  • La quatrième cause de mortalité aux Etats-Unis est correctement prescrit et administré des médicaments. En ajoutant mal médicament prescrit à cette équation, il devient la troisième cause de décès.
  • Il ya plus de 2 180000 décès chaque année aux États-Unis exclusivement due à des réactions indésirables aux médicaments
  • Quand la FDA approuve un médicament à l’usage du grand public, moins de la moitié des réactions graves en matière de drogues sont connus. Vous les patients êtes devenus le dernier essai clinique.

http://www.amazon.com/Death-Prescription-Shocking-Behind-Overmedicated/dp/0785264841

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stilnox : Une drogue légale

stilnox : « ce n’est pas difficile de s’en procurer, les médecins vous les jettent à la tête. »
« Comme un bon dealer, elle n’en prend par contre jamais« 
« On dirait un mélange légal de substances illicites : comme avec le cannabis, on se sent bien, on rit pour un rien ; comme avec la coke, on est « speed », survolté ; comme avec le LSD, on succombe à des hallucinations. »
Grosses hallus sur mon tapi marocain. Les motifs bougeaient ! Idem pour l’ordi, à matter une photo (OnSeDouteBienDeQuelGenre) t’as l’impression de matter un film. Musicalement, comme c’est un hypnotique, Plastikman oblige. Et puis c’est vraiment bizarre la montée. On se sent un peu ramolli et d’un coup BWAOROA, grosse claque, trip complètement honteux, sans transition aucune (ouais ouais j’ai eu des dialogue avec des objets, mais genre je les embarquait dans mon trip, j’étais leur leader et tout et tou, un peu comme je faisais avec mes peluches…). Je supputes que c’est à relier avec l’hypnose mesmerienne ou le sujet rentre brutalement en transe…

La pétition

Nous, soussignés, demandons à l’Australian Therapeutic Goods Administration (TGA) d’interdire immédiatement le zolpidem, la zopiclone et tous les autres non-benzodiazépines hypnotiques pour le traitement de l’insomnie et d’autres troubles associés au sommeil.

. Zolpidem est l’un des plus fréquemment prescrit hypnosedatives dans le monde.  En Australie en 2006, à elle seule, environ 1,2 millions de boîtes de Stilnox (le plus populaire marque de somnifères contenant zolpidem) ont été dispensés, ce qui en fait le deuxième plus couramment prescrits sommeil comprimé dans le pays.

Toutefois, d’après les nouvelles données suggèrent que la commercialisation Stilnox et d’autres dits «à la drogue » (qui comprend aussi la zopiclone et zaleplon) sont associées à une gamme d’effets neurologiques et psychiatriques, y compris la marche du sommeil, le sommeil pendant la conduite, en mangeant et  pendant le sexe .

Les autres effets secondaires rapportés des hallucinations, des cauchemars, la somnolence diurne et fogginess, sérieux à court terme des pertes de mémoire, dépression grave, la perte de poids, fatigue, perte de concentration, nervosité, la confusion, l’anxiété et les attaques de panique, altéré la personnalité, une perte d’inhibitions sexuelles , La paranoïa, le délire, la perte de la pensée rationnelle, de pannes, de l’amnésie, de la personnalisation, la toxicomanie, l’auto-mutilation, des épisodes psychotiques et des comportements criminels.

Il ya également eu un nombre important de rapports en Australie et à l’étranger des patients connaissent une forte idées suicidaires, ainsi que plusieurs rapports de tentatives de suicide, les accidents occasionnant la mort et achevé ‘suicides’.

Beaucoup de ces effets secondaires sont susceptibles d’avoir un impact non seulement sur l’individu de prendre le médicament / s, mais sur d’autres membres du public ainsi – en particulier dans le cas de réactions indésirables comme les troubles du sommeil au volant.
Il a été rapporté que Stilnox est aussi couramment utilisé comme drogue récréative, la prendre avec les utilisateurs pour ses hallucinogènes modifient l’activité mentale et les effets.En outre, des rapports récents que le zolpidem a réussi à se réveiller les patients de longue durée comas doit sûrement alerter la TGA sur le fait que le zolpidem n’est pas un sommeil médicaments.

Manifestement, les effets secondaires potentiels du zolpidem et zopiclone l’emportent largement sur les avantages, en particulier lorsqu’il existe des produits de remplacement sur le marché sous la forme d’benzodiazapenes, et quand il ya beaucoup d’autres remèdes et des thérapies à la disposition du grand public pour le traitement de l’insomnie .

al. Alors que les fabricants de médicaments en rapport avec le Stilnox et ont été en mesure de classer un grand nombre des effets secondaires graves qui se sont présentés au cours des essais cliniques dans le cadre de la trompeusement anodines terme «complexe du sommeil liés au comportement », plusieurs autres effets secondaires que les membres du public ont déclaré avoir subi Ne pourrait jamais être signalé par le biais de témoignages anecdotiques, comme il serait évidemment hautement immoral et dangereux de reproduire ces situations dans un essai clinique contrôlé.Par conséquent, nous pensons que le TGV doit commencer à prendre au sérieux les milliers de rapports qui ont été fait de la dangereuse et parfois mortelle des réactions à ces médicaments.

Both zolpidem and zopiclone have been listed on the WHO Drugs Schedule 5 Drugs of Dependence and Abuse since 2002. Les deux zolpidem et zopiclone ont été cotées à la drogue OMS annexe 5 de la drogue et l’abus de dépendance depuis 2002. Unfortunately, as Australian doctors have not been alerted to this fact, these drugs are far more readily prescribed in Australia than in the UK, Europe and Canada. Malheureusement, comme les médecins australiens n’ont pas été alertés sur ce fait, ces médicaments sont beaucoup plus facilement prescrits en Australie qu’au Royaume-Uni, en Europe et au Canada.

Nous sommes fermement convaincus que les récentes tentatives de la TGA pour augmenter les avertissements sur les dangers potentiels de ces médicaments ne vont pas assez loin, pour alerter le grand public sur les graves et potentiellement dévastateur des effets secondaires de ces médicaments peuvent causer, elles ne permettent pas de s’acquitter du mandat de la TGA Pour «assurer la qualité, sécurité et efficacité des médicaments en Australie ».

Nous exhortons le TGA d’agir conformément à son mandat de protéger le public en général australiennes interdisant immédiatement par le zolpidem, la zopiclone et autres non-benzodiazépines hypnotiques pour le traitement de l’insomnie et d’autres troubles associés au sommeil.

http://translate.google.com/translate?sourceid=navclient&hl=fr&u=http://www.ipetitions.com/petition/stilnox/

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